EN IRAN, PLUSIEURS FEMMES LIBÉRÉES DE PRISON


Yasaman Aryani, Saba Kordafshari, Armita Abasi… ces femmes iraniennes, symboles de la lutte pour les droits des femmes en Iran, ont été libérées de prison. Des bonnes nouvelles importantes, porteuses d’espoir dans un contexte où le soulèvement déclenché par la mort de Mahsa Amini continue d’être violemment réprimé par les autorités.  

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Iran : «Nous, prisonnières politiques, vivons dans une prison où plane l’ombre des peines de mort»


Sept femmes détenues dans la prison d’Evin à Téhéran, dont la célèbre avocate Nargess Mohammadi, qui a publié cette lettre en persan sur son compte Instagram, racontent les tortures psychologiques et interpellent l’opinion publique internationale sur les exécutions.

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Malgré le gel des expulsions vers l’Iran, des préfectures françaises continuent de délivrer des OQTF aux Iraniens


Devant l’intensité de la répression en Iran, la France a gelé les expulsions de migrants en situation irrégulière vers ce pays. Pourtant la préfecture de police de Savoie a contacté le consulat d’Iran à Paris pour demander un laissez-passer consulaire, après avoir délivré une obligation de quitter le territoire français, à la mi-janvier, à une ressortissante iranienne ayant fui la répression du régime iranien.

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Otages français détenus en Iran

Iran : quatre mois de révolte, répression toujours aussi féroce


Lundi 16 janvier, quatre mois se seront écoulés depuis la mort de Mahsa Amini, décédée après avoir été arrêtée par la police des mœurs. Son décès a plongé le pays dans une révolte sans précédent. Les femmes ont brûlé leur voile et les manifestations se sont multipliées à travers le pays. Inflexibles, les autorités iraniennes répondent par une répression féroce.

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D’ici et d’ailleurs


Inégalités

Depuis le Covid, les 1% les plus riches ont capté 63% des richesses produites, selon l’ONG Oxfam


Migrants

Vidéo : comment aider ses enfants à aller mieux après des traumatismes liés à la migration ?


TÉMOIGNAGES. « Aide au retour volontaire »: « On repart pour toujours », confient des étrangers qui abandonnent leurs rêves d’exil pour « rentrer au pays »


Aide au retour volontaire : « Un bon investissement » pour la France, estime le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration


Iran

La répression implacable contre les jeunes en Iran


Afghanistan

Afghanistan : face à la volonté des talibans de réduire les femmes au silence, « Radio Begum » continue d’émettre


Etats-Unis

« Ils essaient de me faire pareil qu’à George Floyd » : aux Etats-Unis, un enseignant noir meurt à l’hôpital après avoir reçu six décharges de Taser


Israël

Israël : des dizaines de milliers de manifestants contre le gouvernement

Iran: de nouvelles sanctions contre les femmes non voilées

Quartier commercial du nord de Téhéran, en Iran, le lundi 14 novembre 2022. AP – Vahid Salemi


Après avoir exécuté ces derniers jours quatre personnes accusées d’avoir participé aux manifestations, la justice a annoncé un net durcissement sur l’obligation du port du voile. 

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En Iran, l’angoisse des soignants au secours des manifestants

Depuis septembre, la rue iranienne reste mobilisée pour mettre un terme au fondamentalisme religieux dans l’encadrement de la vie quotidienne.

Des médecins se mobilisent, pour relever les victimes de la brutalité policière.

Au péril de leur vie.

Comme dans tout conflit, les médecins sont les premiers à vouloir porter assistance aux blessés. En Iran, ils se comptent par milliers, victimes des balles tirées par les forces de l’ordre iraniennes et de leur brutalité. Or, la prise en charge des blessés dans les hôpitaux iraniens a été rapidement entravée. « Des gens du régime sont venus chercher des blessés dans les hôpitaux pour les emmener dans les prisons . »

Le régime iranien cible des médecins qui tentent de soigner des  manifestants blessés
Le régime iranien cible des médecins qui tentent de soigner des manifestants blessés

Le régime iranien n’hésite pas à menacer les médecins de la peine capitale pour intimider ceux qui seraient tentés de secourir leurs concitoyens.

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Iran : deux nouvelles exécutions en lien avec les manifestations

Une manifestation contre le régime iranien, le 17 décembre 2022 à Berlin (Allemagne). 
(PAUL ZINKEN / DPA / AFP)


Deux hommes ont été pendus après avoir été reconnus coupables d’avoir tué un paramilitaire lors des manifestations qui ont récemment secoué le pays.

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Iran : deux jeunes hommes bientôt exécutés pour haine contre Dieu ?



En Iran, la justice a confirmé la condamnation à mort de deux jeunes hommes de 18 et 19 ans, selon une ONG. Leur infraction commune ? La haine contre Dieu.

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Iran: une nouvelle campagne de surveillance du port du voile pour les femmes

Des femmes dans une rue de Téhéran en juillet 2022. AFP – ATTA KENARE


Plus de 100 jours après la mort en détention de la jeune Iranienne Mahsa Amini, arrêtée par la police des mœurs pour mauvais port du voile, la police iranienne a lancé une nouvelle campagne pour surveiller le hijab des femmes. Depuis fin septembre, plusieurs centaines de personnes ont été tuées lors des manifestations et des milliers de personnes ont été arrêtées.

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Un Iranien se suicide à Lyon pour dénoncer la répression dans son pays

Des habitants se rassemblent pour rendre hommage à Mohammad Moradi, qui s’est suicidé en se jetant dans le Rhône pour sensibiliser à la situation du peuple iranien, à Lyon, le 27 décembre 2022. JEFF PACHOUD / AFP


L’homme, âgé de 38 ans comme il se présente dans sa vidéo publiée sur les réseaux sociaux, n’a pas pu être réanimé malgré l’intervention des pompiers, qui l’ont ramené sur la berge.

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Iran : près de 100 Iraniens en lien avec les manifestations risquent d’être exécutés

Iran : des visages et des noms fauchés par la répression

L’Iran condamne certains de ses manifestants à mort. Ils sont douze pour l’instant, dont deux ont déjà été exécutés.

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Mohsen Shekari, exécuté

Majid Reza Rahnavard, exécuté

Sahand Nourmohammad-Zadeh, condamné à mort

Manouchehr Mehman-Navaz, condamné à mort

Mohammad Boroughani, condamné à mort

Mohammad Ghobadlou, condamné à mort

Saman Seydi, condamné à mort

Sayed Mohammad Hosseini, condamné à mort

Hamid Ghare-Hasalou, condamné à mort

Mohammad Mehdi Karami, condamné à mort

Hossein Mohammadi, condamné à mort

« Femme, vie, liberté » en Iran : l’actrice féministe Taraneh Alidoosti arrêtée

Taraneh Alidoosti lors de la présentation du film Leila et ses frères au 75e festival international du film de Cannes, 26 mai 2022.  ©AP Photo/Daniel Cole


Elle est Leïla dans Leïla et ses frères, Rana dans Le Client. L’actrice Taraneh Alidoosti a été arrêtée le 17 décembre 2022 pour son soutien à la contestation qui gronde en Iran depuis plusieurs mois. Aujourd’hui, les appels fusent pour que soit libérée cette militante des droits des femmes.

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Des Iraniens réfugiés en Irak témoignent de la répression dans leur pays

La ville irakienne de Souleymane, très proche de la frontière iranienne, est devenue un refuge à des Kurdes voulant fuir le régime de Téhéran. Ici, des travailleurs iraniens attendent la proposition d’un travail à la Place des travailleurs, devant la Grande mosquée de la ville, le 5 octobre 2022. © Shwan Mohammed / AFP


En Iran, les opposants au régime ont compté dimanche 11 décembre plus de 485 victimes du régime depuis le décès de Mahsa Amini, il y a près de trois mois, et plus de 18 000 manifestants arrêtés. La moitié en seraient kurdes. Ceux-ci font parfois le choix de l’exil, notamment en Irak, où la frontière est ouverte pour fuir cette répression. Rencontre avec deux réfugiés iraniens dans la ville de Souleymane, à 40 kilomètres de la frontière iranienne.

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Iran : une deuxième exécution liée aux manifestations


L’agence de l’autorité judiciaire du pays, Mizan News Agency, a annoncé l’exécution lundi de Majidreza Rahnavard. Celle-ci a eu lieu en public à Machhad, dans le nord-est du pays.

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L’Iran exécute un homme impliqué dans les manifestations

Une femme passe devant une peinture murale dans la capitale iranienne, Téhéran, le 11 octobre 2022 (photo d’illustration). AFP – ATTA KENARE


La justice iranienne a annoncé, jeudi 8 décembre, une nouvelle exécution, près de trois mois après le début du mouvement de contestation contre le pouvoir.

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Iran : grève générale de trois jours contre les autorités religieuses du pays


Des commerces iraniens ont fermé leurs portes lundi dans plusieurs villes après que des manifestants ont appelé à une grève de trois jours contre les autorités religieuses du pays, confrontées à la vague de contestation la plus importante depuis la révolution islamique de 1979. Les précisions de Farhad Khosrokhavar, sociologue et directeur d’études émérite à l’EHESS.

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Contestation en Iran: la peine de mort reste l’ultime outil de répression

Le pouvoir iranien pourrait recourir à la peine de mort pour des protestataires, notamment depuis la vague de contestation après la mort de Mahsa Amini. Cette image publiée sur Twitter le 26 octobre 2022 montre une femme non voilée debout sur un véhicule alors que des milliers de personnes se dirigent vers le cimetière d’Aichi à Saghez, la ville natale de Mahsa Amini. © AFP


La peine de mort comme outil de répression était déjà une réalité en Iran avant le début des manifestations, mais le nombre de personnes risquant cette condamnation se multiplie. C’est en tout cas ce que dénonce aussi bien le rapporteur spécial des Nations Unies en Iran que plusieurs ONG qui travaillent sur le pays.

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Répression en Iran

Au cri de «Femme, vie, liberté», slogan de la révolution iranienne, et à 200 mètres de l’Assemblée nationale, une trentaine de militants ont orchestré une «mise en scène macabre» de la répression, qui a déjà fait plus de 320 morts, tout en dénonçant l’inaction des Occidentaux.

De la peinture rouge sang étalée sur la paume des mains, projetée en éclaboussures sur les tee-shirts affichant le nom des anonymes disparus ou enfermés, tracée en lettres capitales sur des pancartes brandies à bout de bras : «viols, tortures, peine de mort, tirs à balles réelles contre des manifestants, arrestations arbitraires, absence de justice : réagissez». Le long de l’esplanade des Invalides, ce mardi à Paris, une trentaine d’activistes – dont une majorité de femmes – ont mis en scène les exactions imputées au régime iranien.

Alors que résonne le slogan phare de la contestation – «Femme, vie, liberté» –, une femme s’allonge sur le sol, dans une incarnation des manifestants tués en pleine rue, avec des armes de guerre.

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