Yves Mérillon, porte-parole des Restos du cœur, s’est exprimé sur franceinfo à propos des aides supplémentaires de 15 millions d’euros promises par le gouvernement.
La patronne de la CGT assurait mardi sur Inter que des consignes avaient été passées pour ne pas informer les salariés de tous leurs droits. Un document prouve que la Cnav cherche à passer sous silence certaines subtilités de la réforme qui profitent aux carrières longues.
Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité, s’insurge contre les propos qui « instrumentalisent des fragilités identitaires, sociales et politiques » et conduisent à regarder des hommes et des femmes mourir dans « l’indifférence et le silence ».
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Le gouvernement britannique a acheté des tentes pour y loger jusqu’à 2 000 migrants dans les prochains mois. Les autorités entendent ainsi faire des économies, l’hébergement en hôtels coûtant trop cher, selon elles. Les associations dénoncent un « projet cruel ».
En transposant sur la scène du Théâtre des Carmes les mobilisations et actions menées par les salarié·es de LIP, la compagnie Le Bain Collectif rallume et relaye le flambeau d’une microhistoire de l’émancipation ouvrière qui s’écrit et s’apprend encore.
Depuis le début de la vague de violences anti-migrants à Sfax, en Tunisie, les exilés restent cloîtrés chez eux, par peur des agressions de citoyens ou des arrestations arbitraires des forces de l’ordre. Sortir simplement faire ses courses pour s’alimenter reste dangereux. L’Association tunisienne des femmes démocrates a décidé d’agir, en organisant des distributions de nourriture, d’eau, et de lait pour les enfants, dans le plus grand secret.
Après les révoltes urbaines, des commentateurs ont accusé les banlieues d’engloutir les fonds publics. La réalité ce sont plutôt des services publics moins bien dotés qu’ailleurs, et des travailleurs essentiels plus nombreux dans ces quartiers.
Depuis la fin de la trêve hivernale et la fin de la prise en charge systématique de toutes les familles avec enfants mineurs par la Préfecture d’Ille-et-Vilaine, un nouveau campement et de nombreux enfants sont désormais installés dans un parc, aux portes de Rennes. Pour se souvenir que les vacances n’ont pas le même charme pour tout le monde, voici les témoignages de certains d’entre eux.
La LDH exprime sa solidarité avec SOS MEDITERRANEE France, dont une équipe a encore été mise en danger par une agression des garde côtes libyens dans le cadre de la gestion des migrations en Méditerranée.
Le sauvetage est un droit, et un devoir.
Lors d’une opération de secours de migrants, menée au large de la Libye par les équipes de l’Ocean Viking, des coups de feu ont été tirés depuis un patrouilleur libyen, « mettant en danger la vie de l’équipage et des survivants », dénonce l’association SOS Méditerranée.
Un patrouilleur libyen s’est approché à grande vitesse et a tiré plusieurs coups de feu à moins de 100 mètres.
Ce n’est pas la première fois que les sauveteurs de SOS Méditerranée sont menacés par les gardes-côtes libyens.
Du revenu de solidarité active (RSA) aux rémunérations des grands patrons ou des stars du sport et du show-business, l’amplitude des revenus est immense en France. Notre échelle des revenus vise à donner quelques points de repère.
La France rapatrie dix femmes et vingt-cinq enfants des camps de prisonniers jihadistes en Syrie
Paris a procédé, mardi 4 juillet, au rapatriement de dix femmes et vingt-cinq enfants qui étaient détenus dans les camps de prisonniers jihadistes dans le nord-est de la Syrie, a annoncé le ministère français des Affaires étrangères. La quatrième opération collective en un an.
Libertés associatives : stop aux dérives liberticides et illibérales
La Ligue de l’enseignement, réunie en Assemblée générale à Mont-de-Marsan le 24 juin 2023 s’inquiète de deux événements récents qui mettent à mal les fondements démocratiques de notre pays, et notamment le rôle de contrepouvoir légitime joué par la société civile et le monde associatif.
D’une part, la décision du gouvernement de dissoudre les Soulèvements de la terre et d’autre part, une décision judiciaire interdisant désormais à l’association Anticor, y compris de manière rétroactive, de pouvoir saisir la justice pour des dossiers de corruption. Ces événements s’ajoutent à la mise en accusation de la Ligue des Droits de l’Homme et d’autres atteintes à la liberté associative comme le contrat d’engagement républicain au nom duquel des préfectures bloquent les subventions publiques en direction de certaines associations sous prétexte de prosélytisme contre l’État.
Il faut mettre un terme à ces dérives liberticides et illibérales d’autant plus que la situation appelle à l’engagement de tous pour construire une réponse citoyenne qui soit à la hauteur des urgences sociales, écologiques et démocratiques.
Annulations en série
Outre les nombreuses annulations en catastrophe des nombreuses kermesses et fêtes d’écoles, concerts et festivals en tous genres, nous regrettons celle de la Fête des Associations de La Chapelle St-Luc à laquelle nous devions participer.
Cela ne nous empêchera pas de nous associer à la peine de la maman et de la famille de Nahel, dont les obsèques étaient célébrées aujourd’hui dans l’intimité à Nanterre.
La dissolution des Soulèvements de la Terre les empêche de communiquer depuis leurs propres réseaux. La rédaction de basta! fait le point sur la surprenante répression dont le mouvement écologiste fait l’objet, et sur la solidarité qui émerge.
Le dimanche 18 juin 2023, le Titan, «sous-marin de tourisme» conçu pour emmener cinq personnes dans les abysses, descend visiter l’épave du Titanic – qui repose par 4 000 mètres de fond dans l’océan Atlantique, à 650 kilomètres au large des côtes canadiennes.
Cette année, la Journée mondiale du réfugié met l’accent sur l’importance de l’inclusion et de la recherche de solutions en faveur des réfugiés.
De l’espoir loin de chez soi. Pour un monde où les réfugiés auront toujours leur place.
Le fait d’inclure les réfugiés au sein des communautés où ils ont trouvé refuge après avoir fui le conflit ou les persécutions est le moyen le plus efficace de les aider à reconstruire leur vie et leur permettre de contribuer à la vie des pays qui les accueillent.
C’est également le meilleur moyen de les préparer à rentrer chez eux et à reconstruire leur pays, une fois que les conditions leur permettront de le faire de façon libre et sûre, ou de favoriser leur développement et leur épanouissement s’ils sont réinstallés dans un pays tiers.
A Troyes
Rassemblement de 17h à 19h à côté du Cœur de Troyes (près du Canal) à l’angle quai Dampierre et rue Hennequin.
Le MRAP, la CIMADE, le FIGUIER, la LDH seront présentset distribueront aux passants des cartes postales imprimées pour l’occasion et échanger quelques mots sur les réfugiés.
Portraits au collodion humide de Pierre Wetzel ayant fait l’objet d’une exposition et d’un livre en collaboration avec Aurélia Coulaty: « Les rêves d’avant la route »(Maison Spectre Editions)
A l’occasion de la journée mondiale des réfugiés du 20 juin 2023, un rassemblement est prévu :
Le 20 juin de 17h à 19h à Troyes, quai des Comtes de Champagne sur l’esplanade du « Cœur », avec la participation de la CIMADE, du MRAP, de la LDH et de la Croix-Rouge.
Nous vous invitons à vous associer à ce rassemblement.
Les immigrés sont plus nombreux qu’avant à avoir un emploi. C’est la conclusion d’un rapport publié le 15 juin par l’OCDE, l’Organisation de coopération et de développement économiques, et la Commission européenne. Cela concerne donc les 27 pays de l’UE, mais aussi les États-Unis, le Japon, ou encore le Chili. Le nombre d’étrangers vivant dans ces pays développés a augmenté de 20 % sur la dernière décennie.
Seuls 1 500 demandeurs d’asile arrivés en Europe via l’Italie, l’Espagne, l’Italie ou encore les Canaries ont été relocalisés vers d’autres pays européens dans le cadre du mécanisme de solidarité instauré en juin 2022. L’accord en prévoyait 8 000. « D’autres projets sont en préparation », assure la Commission européenne tout en reconnaissant un manque de solidarité européenne.
De nombreux exilés sont confrontés au cours de leur parcours d’exil à des difficultés d’ordre psychologique en raison des violences subies dans leur pays, sur la route ou à cause de l’angoisse vis-à-vis de leur sort. Des structures existent pour leur venir en aide. InfoMigrants fait le point.
Les 3 CADA (Résidence La Fontaine à Bar-sur-Seine, CADA AATM à La Chapelle St-Luc, CADA de St-André-les-Vergers) proposent un soutien médico-psychologique.
Les CMP ( Centres Médico-Psychologiques) sont des lieux ouverts à toute personne demandant un soutien. Le statut de réfugié ou autre n’est, fort heureusement, pas un critère d’exclusion. Mais il faut prévoir un grand délai d’attente (comme pour les autres patients) et, très souvent, la barrière linguistique est un véritable frein à la relation thérapeutique.
Le PÔLE DE PSYCHOPATHOLOGIE DE L’ENFANT ET DE L’ADOLESCENT est divisé en 2 secteurs
-le secteur OUEST:
Romilly sur Seine : CMP/CATTP-HDJ Prémices, pl. Eglise St Martin (03 25 21 95 28)
Brienne-le-Château : HDJ, 1 rue Pont (03 25 72 53 25)
Bar-sur-Aube : CMP/CATTP adultes et adolescents, 8 rue Gaston Cheq (03 25 27 55 67)
Bar-sur-Seine : CMP/CATTP, 9 bis pl. Eglise (03 25 29 10 74)
Une Equipe Mobile Psychiatrique Précarité (EMPP) vient de voir le jour dans le département de l’ Aube:
Rattachée au Pôle psychiatrie de l’adulte de l’Établissement Public de Santé Mentale de l’Aube (mission extra hospitalière), l’Équipe Mobile Psychiatrie Précarité (EMPP) de l’Aube va à la rencontre des personnes adultes en situation de précarité, d’exclusion ou en voie de l’être, quel que soit le lieu où leurs besoins sont repérés. Si nécessaire, elle facilite l’accès aux soins psychiatriques dans tout le département de l’Aube. De plus, elle assure une fonction d’interface et de coordination entre les équipes de psychiatrie et les acteurs situés en première ligne dans la lutte contre la précarité (social, associatif, professionnel de santé…), qui peuvent déclencher son intervention sur le terrain. Enfin, elle met en place des actions de sensibilisation et de soutien aux équipes.
Elle intervient sur demande d’un partenaire au 06 62 91 20 52 ou epsma.empp@hcs-sante.fr (du lundi au vendredi de 9h à 17 h, sauf jours fériés)
En cas d’urgence
Dans un 1er temps, adressez vous à votre médecin traitant qui pourra se mettre en contact avec votre CMP de proximité ou vous orientera vers le service des urgences.
Vous pouvez aussi pendant les heures ouvrables (9H/18H30 du lundi au vendredi) vous adresser en priorité à votre CMP de Proximité (ci-dessus).
En dehors des heures ouvrables, s’adresser aux services des urgences du département (CH Troyes, Romilly sur Seine, Bar sur Aube) en composant le 15.
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