Rassemblement pour la paix


Gaza : la reprise des combats « est catastrophique », selon le Haut-Commissaire de l’ONU pour les droits de l’Homme

25 novembre : JOURNÉE INTERNATIONALE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES



A l’occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux femmes.

Le collectif féministe aubois créé en 2020 et constitué d’associations (Centre d’information sur les droits des femmes et des familles, Solidarité femmes Aube, Aux Adelphes, Travailleuse du texte, Artisans du monde, MRAP, Ligue des droits de l’homme, Agui à La Chapelle-Saint-Luc), de la CGT et de militantes indépendantes

se mobilise et appelle à un rassemblement

place de la Libération (devant la préfecture)

ce samedi 25 novembre de 14 h à 16 h

 Nous vous invitons à rejoindre demain ce rassemblement


La France enregistre une hausse de 15 % des violences conjugales en 2022


« Il n’y a pas de dispositifs sécurisants » : les victimes de violences conjugales hésitent toujours à porter plainte


Violences faites aux femmes durant le parcours migratoire


« Une véritable arme à portée de main » : quand le spectre de la soumission chimique plane sur les violences faites aux femmes


Javier Milei, un nouveau président argentin qui menace le droit des femmes


Les femmes particulièrement touchées par la pauvreté qui s’aggrave en France


Violences faites aux femmes : l’ANDRH et l’ONU Femmes France s’engagent


L’aide financière d’urgence « est déjà une reconnaissance de ce que vivent » les victimes de violences conjugales, estime la Fondation des femmes


Classées sans suite : chronique lecture

Ce matin à Troyes: halte aux massacres, pour une paix juste et durable

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JMG



300 Aubois rassemblés pour pour le cessez-le-feu à Gaza ce samedi 18 novembre, à Troyes

 


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Aujourd’hui à Troyes: Festisol



LE FESTISOL À TROYES

La LDH de l’ Aube fait partie du Collectif Aubois du Festisol  et participe à l’événement Une nuit pour toi(t) avec un village associatif animé autour des enjeux alimentaires et des discriminations, dès 14 h ce samedi 18 novembre.

C’est l’occasion de mettre en lumière les solidarités locales dans une approche ludique et participative pour sensibiliser le public aux enjeux de souveraineté alimentaire, aux discriminations et droits humains.

La LDH de l’Aube propose un quiz sur les enjeux alimentaires et les discriminations. Les gagnants se verront remettre des entrées au cinéma Utopia de Pont-Sainte-Marie.



Cour de la Chapelle Argence à 17 h

Le MRAP présente





LE PROGRAMME COMPLET

STOP À L’INHUMAIN. CESSEZ-LE-FEU IMMÉDIAT, LIBÉRATION DES OTAGES, PROTECTION DES POPULATIONS CIVILES



18 novembre à Troyes: Festival des solidarités


Le Festisol à Troyes

La LDH de l’ Aube fait partie du Collectif Aubois du Festisol  et participe à l’événement Une nuit pour toi(t) avec un village associatif animé autour des enjeux alimentaires et des discriminations, dès 14 h ce samedi 18 novembre.

C’est l’occasion de mettre en lumière les solidarités locales dans une approche ludique et participative pour sensibiliser le public aux enjeux de souveraineté alimentaire, aux discriminations et droits humains.

La LDH de l’Aube propose un quiz sur les enjeux alimentaires et les discriminations. Les gagnants se verront remettre des entrées au cinéma Utopia de Pont-Sainte-Marie.

Le programme

Conflit Israël-Hamas: une centaine de personnes rassemblées pour la paix à Troyes


Une centaine de personnes se sont rassembées à Troyes pour la paix et la fin du bombardement de Gaza.

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En direct, guerre Israël-Hamas : l’armée israélienne intensifie ses combats autour des hôpitaux gazaouis, selon l’Institute for the Study of War




Troyes: Marche pour la paix samedi 18 novembre

Rassemblement Place Alexandre-Israël (Hôtel de ville) à 10h30

HALTE   AU MASSACRE A GAZA !


Dernier rappel : rassemblement ce soir à 17h30 place de la Libération (face préfecture) à Troyes


(à suivre)

Rassemblement pour la paix



A l’appel des organisations : 

CGT, FO, FSU, CFDT, SOLIDAIRES, LFI, POI, PCF, GENERATION.S, MRAP, LDH, COLLECTIF LOUISE-MICHEL, LIBRE PENSEE, AGUI, GREENPEACE 

Nous appelons à un rassemblement  pour obtenir un cessez-le-feu immédiat et la réouverture d’un processus de paix durable, en Israël et en Palestine, sur la base des résolutions de l’ONU

LUNDI 13 NOVEMBRE 

À 17H30 

PLACE DE LA LIBÉRATION – PRÉFECTURE DE L’AUBE

(une marche pour la paix sera organisé le samedi 18 novembre)


Communiqués de la LDH


Rassemblement pour une paix juste et durable

28 octobre à Troyes

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EG
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Ce dont nous ne voulons pas

 

 

Manhattan, New York, 13 octobre 2023

RASSEMBLEMENT POUR LA PAIX



HALTE AUX MASSACRES

POUR UNE PAIX JUSTE ET DURABLE

RASSEMBLEMENT POUR LA PAIX

CE SAMEDI 28 OCTOBRE 2023

à 14H

Place de la Libération

DEVANT LA PRÉFECTURE DE TROYES


HALTE AUX MASSACRES – POUR UNE PAIX JUSTE ET DURABLE


La LDH de l’Aube appelle à se joindre au

RASSEMBLEMENT POUR LA PAIX

samedi 28 octobre 2023

14h

devant la préfecture de TROYES



François Baroin persiste, signe et tient à le faire savoir

Agenda de fin de semaine à Troyes


Mobilisation vendredi 13 octobre pour l’intersyndicale



L’intersyndicale appelle à manifester ce vendredi 13 octobre, à Troyes, Romilly-sur-Seine et Bar-sur-Aube. Une manifestation contre l’austérité et pour réclamer une hausse généralisée des salaires.

Mobilisation contre l’austérité, vendredi 13 à 14 h place Jean-Jaurès à Troyes. À 14 h, à Romilly-sur-Seine, devant la Bourse. À 15 h 30, à Bar-sur-Aube.

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Concert pour Un Digne Toit samedi 14 octobre à L’Expression Libre



« On va faire une expérience.
 » Prenons un premier élément ; Damien DB, un musicien poly instrumentiste compositeur, adepte de musique libre et d’improvisation, aux goûts musicaux teintés de jazz, de blues et de musiques progressives. Il est notamment membre fondateur du groupe 4 DB, et a joué dans Bohemian Blues, Mind The Gap, ou encore en duo avec Javier Adaro
Ajoutons un second élément ; H-Tône, parolier et rappeur à la culture hip-hop, ayant à cœur de donner de la voix, partisan de mots percutants, de flows ciselés et de textes recherchés, aux accents militants. Il a été membre du groupe Cadavreski, du projet vidéo Fistaille Made In Toylettes, et a également rappé sur le projet H-Tône feat Eveil.
Que donnerait la rencontre musicale de ces deux éléments ?
Un écart à la zone de confort pour chacun, et un point commun malgré tout ; chacun, à sa façon, a un rapport provocateur au cadre. Dans ce cas, quoi de mieux, pour cette première expérience potentiellement explosive, qu’un concert de soutien à l’association Un Digne Toit ?
« Parce qu’aucune famille, française ou étrangère, ne devrait dormir à la rue » « 


Vous êtes solidairement invités au concert est organisé samedi 14 octobre  à 21 heures au bar l’Expression Libre (33 avenue Marie de Champagne, Troyes).
Ce concert est donné par Damien DB et H-Tône au profit de notre association: les dons reçus pour cette soirée seront reversés à Un Digne Toit.

Un aperçu

Troyes : Les deux réfugiés

spectacle par les frères Malas



« En passant du rire aux larmes, cette comédie engagée rend la parole aux migrants recouvrant avec pudeur leur quotidien tragique d’un masque de clown. La dérision n’est cependant pas leur seul moyen de faire passer un message. Et c’est avec nostalgie, le regard hagard, qu’ils évoquent leurs souvenirs et leurs racines. Difficile de n’y voir qu’un jeu d’acteurs tant le vécu est palpable.

 Une pièce qui donne à voir l’exil de l’intérieur »


Au théâtre LE QUAI

5 rue Léon Couturat à Troyes

vendredi 17 novembre 2023 à 20h30

30€ tarif plein, 25€ adhérents (plus que quelques places)

Demain à Troyes

A l’appel du PCF

Rassemblement à 10h30 devant la préfecture de l’Aube contre l’inflation et la politique d’austérité du gouvernement

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Mais aussi partout en France

 


Le collectif Uni.e.s contre l’immigration jetable (Ucij 2023) s’oppose à la politique discriminatoire du gouvernement, fondée prioritairement sur le soupçon et la répression en matière de migration et d’asile. Il revendique une politique migratoire d’accueil digne et le respect des droits de toutes et tous.




Refusons le nouveau projet de loi asile et immigration

Logement : un droit pour toutes et tous
contre la loi Darmanin, contre la loi Kasbarian-Bergé

Mobilisation nationale le 30 septembre

 

Emmanuel Macron et Gérald Darmanin ont décidé d’accélérer pour faire adopter leur nouveau projet de loi sur l’immigration et l’asile, ou plutôt devrait-on dire contre les étrangères et étrangers. Alors que Les Républicains (LR) et Rassemblement national (RN) font monter les enchères et réclament à l’unisson un référendum sur l’immigration et des mesures plus répressives encore, telles la suppression de l’aide médicale d’Etat (AME) sauf cas d’urgence, le gouvernement semble de plus en plus à leur écoute.

Il est vrai que, faute de majorité absolue à l’Assemblée nationale, le gouvernement a besoin des voix des Républicains. Le texte gouvernemental (adopté en Conseil des ministres en février et en commission des lois au Sénat le 15 mars dernier) devrait être présenté au Sénat début novembre et à l’Assemblée nationale en février 2024. Ce texte soit disant équilibré va surtout durcir encore et encore les conditions d’installation des étrangères et étrangers sur le territoire français, et faciliter les expulsions y compris des personnes étrangères les mieux protégées. Et tout cela au mépris des conventions internationales, en laissant notamment un pouvoir totalement discrétionnaire aux préfets, au motif de soi-disant menaces à l’ordre public ou de non respect des « valeurs de la République». Quand on sait comment ces notions sont utilisées à tort et à travers, on comprend les risques que courent les exilées et exilés.

Alors que les actes racistes se multiplient, que les extrêmes droites, du RN aux groupes néo-nazis, sont plus fortes que jamais, que les violences policières restent bien souvent impunies, le gouvernement ressort les vieilles recettes : répression tous azimuts et recherche de boucs émissaires via une suspicion raciste généralisée à l’égard des personnes étrangères, du moins celles en particulier originaires du Moyen Orient et d’Afrique, les assimilant à des personnes délinquantes, voire à des terroristes. De telles politiques ne peuvent que renforcer la précarité administrative, sociale et économique dans laquelle vivent déjà un trop grand nombre de personnes exilées.  

C’est particulièrement vrai en matière de droit au logement puisqu’une/un SDF sur deux est de nationalité étrangère, y compris des demandeuses et demandeurs d’asile et des personnes ayant obtenu le statut de réfugiées ou réfugiés. Il est important de rappeler qu’en novembre dernier, via une circulaire, le ministre de l’Intérieur appelait à multiplier les OQTF (obligation de quitter le territoire) et posait le principe d’appliquer les méthodes de suivi des étrangères et étrangers délinquants à l’ensemble des personnes étrangères faisant l’objet d’une OQTF (alors que celles-ci n’ont commis aucune infraction pénale).

Il avait aussi recommandé aux préfets de mettre en place un dispositif permettant aux bailleurs sociaux de signaler les personnes qui auraient perdu leur titre de séjour. Dans le même texte, il avait d’ailleurs tenté de créer un autre dispositif pour vérifier la situation administrative des personnes étrangères prises en charge par l’hébergement d’urgence au motif qu’elles pourraient l’être indûment au mépris de l’inconditionnalité de l’hébergement d’urgence. Nombre d’associations l’ont signalé.

Outre ces mesures spécifiques particulièrement dommageables, les personnes étrangères subissent, comme les autres habitantes et habitants, l’inflation et donc les hausses de loyers et de charges. En 1973, les locataires consacraient 10% de leurs revenus au loyer, aujourd’hui, c’est près de 30%… en moyenne, et pour beaucoup, c’est plus de la moitié des revenus. Le nombre d’expulsions locatives augmente et les lois qui protègent les personnes mal-logées et les sans-toit sont bafouées. De plus, dans les foyers de travailleurs migrants transformés en résidences sociales, les résidents n’ont pas le statut de locataire. Celles et ceux qui hébergent solidairement un proche sont donc sous la menace d’une expulsion, les gestionnaires engageant des poursuites judiciaires. Au final les hébergeurs comme les hébergés, avec ou sans-papiers, se retrouvent à la rue. Face à cela, face aux menaces du futur projet de loi Darmanin, le collectif Ucij, qui rassemble plus de 400 associations nationales et locales, dont la LDH, appelle à amplifier les mobilisations pour affirmer la solidarité et l’égalité des droits entre Françaises / Français et personnes exilées.


TROYES : CONTRE LES VIOLENCES POLICIÈRES, LE RACISME ET LES DISCRIMINATIONS SOCIALES ET TERRITORIALES

JFB
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DG
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Entre 100 et 200 personnes, selon les différentes estimations, s’étaient rassemblées ce matin place de la Libération pour alerter sur la gravité de la crise démocratique, sociale, politique, énergétique et climatique que nous traversons actuellement et dénoncer la discrimination raciale, les violences policières, et les inégalités sociales qui en découlent.

Une dizaine de ligueuses et ligueurs étaient présents. L’unité qui caractérisait cette mobilisation, où les organisations syndicales, associations, collectifs, comités de quartiers, de victimes de violences policières et certains partis politiques ont pris une parole commune, répond manifestement à une attente de l’ensemble des citoyennes et des citoyens attachés aux droits et aux libertés.

Commencé dans une intimité relative, le rassemblement a vu ses rangs se gonfler de façon notable à partir de 11h, comme ont pu en témoigner certains participants, exprimant leur satisfaction en ces termes éloquents: « Maintenant les flics n’ont qu’à bien se tenir. Pour paraphraser Pasqua* on va policer la police! « 

* Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur de 1993 à 1995, pour les moins de 50 ans, et dont Darmanin remet d’actualité le fameux « théorème » et les techniques réprouvées de maintien de l’ordre avec la résurrection des « Voltigeurs » aujourd’hui renommés BRAV-M.

RD


Police : l’usage de la force sur la voie publique en nette hausse en 2022, selon l’IGPN


Violences policières : des marches sous surveillance (et discrédit) médiatique

Marche unitaire CONTRE LES VIOLENCES POLICIERES, LE RACISME SYSTEMIQUE ET POUR LES LIBERTES PUBLIQUES




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LA LDH APPELLE AUX MOBILISATIONS DU 23 SEPTEMBRE CONTRE LES VIOLENCES POLICIÈRES, LE RACISME ET LES DISCRIMINATIONS SOCIALES ET TERRITORIALES



A TROYES

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Troyes: le réveil de la droite (qui se voudrait) dure ?

par Rémy Dufaut


Après l’introduction de l’uniforme dans certaines écoles troyennes, la suppression des bancs au centre-ville « afin d’éviter d’avoir des gens qui stagnent et consomment de l’alcool », le maire François Baroin a « mis des obstacles » à d’autres endroits pour empêcher que ne s’y installent des personnes « marginales ».  Evoquant dans cet interview par l’Est-Eclair les émeutes violentes qui ont marqué la ville dans la nuit du 30 juin au 1er juillet, outre l’objectif de recruter 100 policiers municipaux, il  veut expulser les familles de « délinquants récidivistes ».  « Je souhaite que la justice prenne des décisions pour que ces personnes qui ont commis ces faits ne puissent plus revenir à Troyes. »

Accessoirement avocat inscrit au barreau de Paris depuis 2001, François Baroin ignore-t-il les règles relatives à l’interdiction de séjour ? Il convient donc de rappeler les termes des codes juridiques en vigueur.

Définition : l’interdiction de séjour est une sanction pénale faisant défense à une personne condamnée de paraître en certains lieux déterminés par la juridiction en raison du caractère criminogène que ces lieux représentent pour celle-ci.

Code pénal, art. 131-2131-6131-10131-31 et 131-32

Code de procédure pénale, art. 762-1 s., 763D. 571 s.

Code de la justice pénale des mineurs, art. L. 121-1

L’interdiction de séjour est une peine complémentaire applicable en matière délictuelle (ou elle peut devenir peine alternative) et criminelle. Elle est notamment encourue à ce titre en cas de crime contre l’humanité, assassinat, empoisonnement, viol, mais encore en cas d’agression sexuelle aggravée, en matière de trafic de stupéfiants, d’escroquerie…

L’interdiction de séjour ne peut pas être prononcée à l’encontre d’une personne mineure ou âgée de plus de 65 ans.

Non, Monsieur le Maire, ici aussi, c’est à la Justice de décider. Quand un délinquant » est condamné, on ne met pas encore toute sa famille en prison.

Ainsi, une fois de plus, François Baroin voudrait devancer les lois de la République et les prérogatives de la Justice, en se complaisant dans les effets d’annonce pour, décidemment de plus en plus obligeant envers les extrêmes-droites, rassurer commerçants et professionnels du tourisme qui, en se tirant une balle dans le pied, contribuent à vider le centre-ville de ses indésirables et à en faire un musée sans vie et sans âme, réservé à une poignée de familles aisées et au tourisme de luxe.