A ne pas manquer



Dimanche 30 mars



Venez découvrir le premier événement de l’Association C qu’Ailes du trauma a l’envol 

Des échanges, des rencontres, des exposants et thérapeute bien être dans un cadre bienveillant et chaleureux.

Nous avons hâte de partager ce moment avec vous !

L’équipe C qu’Ailes .


 De 10h à 17 h Salle Ninet à Rosières-près-Troyes



Mardi 1er avril


Climat : le franc-parler de François Gemenne


Quels sont les impacts humains du réchauffement climatique ? Le chercheur François Gemenne apportera des réponses claires lors de conférences-débats MAIF. Avec un sens de la pédagogie et un franc-parler qui raviront son auditoire. 

Pour en savoir plus

S’inscrire à la conférence

18h30 à l’Art Déco de Sainte-Savine



Mercredi 2 avril


Le service Politique de la Ville organise un  petit-déjeuner solidaire ce  mercredi 2 avril, de 8h00 à 10h00, à la  Maison de l’Animation et de la Culture. Cet événement rencontré en lumière l’expression artistique des enfants en situation de handicap et l’importance de leur inclusion sociale, en partenariat avec l’association  Vice vers’ Amour.

Un engagement artistique et inclusif

Les associations « Vice vers’ Love », « Les Arts Confondus » et « Autisme SolidaruitéEt Cetera », sous la direction de l’artiste Yves Romao, ont uni leurs compétences pour créer « La Maison Gentilléenne » dans le Val-de- Marne, un centre dédié aux enfants autistes. Ce centre combine suivi thérapeutique, activités sportives et pratiques artistiques pour favoriser
leur épanouissement.
Depuis juillet 2022, une antenne de ce centre a été installée à la Maison de l’Animation et de la Culture de Pont-Sainte-Marie, grâce au soutien financier de l’ANCT et de la Ville. Cette antenne propose des ateliers artistiques permettant aux enfants en situation de handicap de s’exprimer, de développer leur créativité et de s’intégrer socialement.

DES ATELIERS POUR DÉVELOPPER TALENTS ET CONFIANCE EN SOI

Chaque semaine, un petit groupe d’enfants participent à des activités variées (musique, graff, danse, magie…), encadrés par des membres des associations et des professionnels. Ces ateliers les aident à affirmer leur personnalité, renforcer leur estime de soi et découvrir de nouveaux horizons en travaillant la concentration, l’écoute et l’imagination.

UN PETIT-DÉJEUNER ANIMÉ ET SOLIDAIRE

Lors de ce petit-déjeuner, préparé par les apprentis en cuisine du CFA Alméa, plusieurs animations seront proposées :
Le magicien Marco Niccolini effectuera des tours de close-up au sein du public. Une démonstration de graff sera réalisée par Rise up Paint

LA P’TITE BOÎTE BLEUE : UN GESTE SOLIDAIRE

La P’tite Boîte Bleue sera présente lors du petit-déjeuner et restera accessible tout au long du mois d’avril à la Maison de l’Animation et de
la Culture, à la Mairie et chez plusieurs commerçants partenaires dans l’Aube. Les dons collectés permettront de financer des ateliers
artistiques, culturels et sportifs pour les enfants en situation de handicap. Chacun peut y contribuer du 2 au 30 avril 2025 !
En 2024, l’association a organisé plus de 250 ateliers, initiations et prestations artistiques et culturelles, bénéficiant à plus de 550 personnes, incluant enfants en situation de handicap, aidants, jeunes issus de quartiers prioritaires et personnes vulnérables. Les initiatives Généros’idées et La P’tite Boîte Bleue contribuent à co-financer ces activités essentielles.


De 8h à 10h à la MAC de Pont-Sainte-Marie




Jeudi 3 avril



64 ANS, C’EST TOUJOURS NON !

Notre mobilisation empêche le gouvernement et le patronat d’enterrer la question des retraites ! À peine appliquée, la réforme des retraites fait déjà des ravages : chômage des seniors en hausse, départs retardés pour les femmes, absence de prise en compte de la pénibilité…
Le premier ministre a trahi ses engagements en affirmant que les « concertations » ne pourraient pas revenir sur les 64 ans ! La majorité de la population et des parlementaires exigent l’abrogation de la réforme des retraites : la démocratie doit parler ! La CGT appelle tous les salarié·es à rejoindre les fonctionnaires et les agent·es publics y compris par la grève, dans les rassemblements et les manifestations pour exiger l’abrogation de la réforme des retraites et l’augmentation des salaires.
Sous prétexte d’économie de guerre, ils veulent nous faire travailler toujours plus et envisagent de nouvelles régressions dans les écoles, les hôpitaux, les universités, la culture, les collectivités locales, les tribunaux. Au contraire, défendons la paix et la coopération entre les peuples, la justice sociale et environnementale : plus que jamais ces combats sont liés ! Pour se soigner, pour répondre aux besoins en matière de transports, de logement, d’éducation et de formation, de recherche, de culture, d’information, de sport pour toutes et tous, d’environnement, et pour lutter contre l’obscurantisme, le 3 avril mobilisons-nous aussi pour renforcer et développer les services publics !


14h Hôtel de Ville de Troyes


À Gaza, les autorités israéliennes utilisent la réduction d’accès à l’eau comme une arme de guerre



Alors que les bombardements et les combats ont repris à Gaza depuis le 18 mars, les autorités israéliennes bloquent également l’accès à l’eau en empêchant l’électricité et le carburant d’entrer dans Gaza. Médecins Sans Frontières (MSF) appelle à restaurer le cessez-le-feu et demande aux autorités israéliennes de rétablir l’accès à l’électricité et de permettre l’acheminement de l’aide, y compris le carburant, l’eau et le matériel sanitaire



Gaza : les violences sexuelles et reproductives participent du génocide


Dans un rapport publié le 13 mars 2025, la commission internationale indépendante créée par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU rend compte de l’enquête qu’elle a conduite sur les actes de violence sexuelle et reproductive commis par Israël en Palestine occupée, avec un accent porté sur Gaza. L’enquête conclut à une hausse majeure des actes de violence sexuelle depuis le 7 octobre 2023. Ils sont devenus « systématiques ».



« Ils préparent le terrain pour que les gens partent »


Ça fait une semaine qu’on est en train de revivre l’enfer. Après la décision de Nétanyahou de reprendre la guerre à Gaza, ou bien contre Gaza, c’est ce mot « enfer » que tout le monde est en train de reprendre. Ça a commencé par le président Trump, qui a menacé la population de Gaza de l’enfer. Après ça a été repris par Israël Katz, le ministre de la guerre, et là c’est Nétanyahou. Apparemment tout le monde est d’accord pour faire de la vie des Gazaouis une vie d’enfer. 



Vider Gaza, ce vieux rêve israélien


La proposition du président américain Donald Trump de déporter plus de deux millions de Palestiniens de Gaza vers l’Égypte et la Jordanie a suscité des réactions très diverses, mais un soutien important en Israël. Elle correspond à d’anciennes velléités de l’establishment israélien, pour qui ce territoire représente depuis 1949 un obstacle au projet ­sioniste.



À Jérusalem, des milliers d’Israéliens manifestent devant le Parlement


Après un rassemblement à Tel-Aviv, des milliers de personnes se sont rendues à Jérusalem devant le Parlement mercredi soir, afin de protester contre le projet de loi polémique sur le processus de nomination des juges. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a accusé mercredi l’opposition d' »alimenter l’anarchie ». Voici le fil du mercredi 26 mars. 



Des centaines de Gazaouis dans la plus grande manifestation anti-Hamas organisée depuis le début de la guerre


« Le Hamas dehors », « Hamas terroriste », ont scandé des centaines de Palestiniens à Beit Lahia et Jabalia, dans le nord de Gaza, ainsi qu’à Khan Younès, au sud. Ces Gazaouis ont manifesté pour mettre fin à la guerre contre Israël et au règne du mouvement islamiste dans l’enclave palestinienne.



Gaza : une poursuite de la guerre sans réaction internationale ?


Depuis la fin du cessez-le-feu à Gaza, Tsahal a multiplié ses attaques sur le territoire palestinien. Plus de 800 personnes seraient mortes en dix jours, selon les autorités locales. En Israël, des dizaines de milliers de citoyens ont manifesté contre la politique du Premier ministre, Benyamin Nétanyahou ; à Gaza, plusieurs centaines de personnes ont protesté contre le Hamas. Le conflit israélo-palestinien ne doit pas sombrer dans l’oubli, fait valoir la presse européenne.



Bardella à Jérusalem: l’extrême droite française affiche son soutien à Israël


La conférence sur l’antisémitisme à laquelle Jordan Bardella participe s’est ouverte jeudi à Jérusalem par une prise de parole de son organisateur, le ministre israélien de la Diaspora, Amichai Chikli, devant des centaines d’invités. « Bonjour monsieur », « merci », a lancé M. Chikli en français à l’attention de M. Bardella, qu’il a dit vouloir « défendre », comme les autres représentants de l’extrême-droite européenne présents, des critiques dénonçant une association de leur mouvements réputés pour leur xénophobie au combat contre l’antisémitisme.



« C’est une guerre menée méthodiquement contre la presse » : des journalistes ciblés par Israël à Gaza, selon Forbidden Stories


Depuis le 7 octobre, plus de 100 journalistes ont été tués, d’après le décompte de « Forbidden Stories » qui a enquêté sur les circonstances de la mort de ces journalistes, mais aussi sur tous ceux qui ont été visés, menacés ou blessés en Cisjordanie et à Gaza.

Les révélations de l’enquête « Gaza Project » coordonnée par Forbidden stories(Nouvelle fenêtre) sont accablantes : les journalistes utilisant des drones sont systématiquement ciblés par l’armée israélienne, et l’État hébreu essaie de s’exonérer de ses responsabilités devant les juridictions internationales. Franceinfo a pu recueillir le témoignage de Youssef, un des journalistes de Gaza, qui fournit des informations à distance. Car Israël et l’Égypte interdisent toujours l’accès au territoire aux journalistes étrangers.



Pire que les bombardements


Ma plus grande angoisse en entamant cette chronique est de choisir quelle histoire crève-cœur je devrais vous raconter pour parler de la détresse et de la colère qui règnent dans la bande de Gaza depuis qu’Israël a mis fin au cessez-le-feu le 2 mars en freinant l’entrée de tous les vivres dans l’enclave palestinienne assiégée puis en reprenant les bombardements deux semaines plus tard.

Devrais-je vous relater l’histoire d’Hossam Shabat, ce journaliste d’Al-Jazeera, âgé d’à peine 23 ans, qui avait prévu sa mort et laissé une lettre posthume ? « Si vous lisez ceci, cela signifie que j’ai été tué – très probablement ciblé – par les forces d’occupation israéliennes », y avait-il écrit.

Et, de l’aveu même des forces armées israéliennes, Tsahal, c’est exactement ce qui est arrivé. Le véhicule à bord duquel se trouvait le correspondant de la chaîne qatarie a été visé par un drone israélien le 24 mars. Tsahal affirme, sans fournir de preuve, que M. Shabat était un « tireur d’élite du Hamas », le mouvement islamiste qui dirige la bande de Gaza et a perpétré les attaques du 7 octobre 2023 en Israël.

Dans son message posthume, M. Shabat explique plutôt qu’il s’est improvisé journaliste après le début de l’opération armée d’Israël dans la bande de Gaza et a passé les 17 derniers mois à documenter la souffrance des siens, devenant un des visages les plus connus du média arabe.



Manifestation pour la paix 

Samedi 29 mars 10h30

Place Jean-Jaurès à Troyes

A l’appel du Collectif aubois pour la Paix



« Elles n’ont rien à faire dans cette manifestation » : soutenues par Bruno Retailleau, les militantes identitaires de Némésis s’incrustent à la manifestation féministe du 8 mars




Les militantes du groupuscule d’extrême-droite ont l’habitude d’infiltrer les manifestations féministes de gauche. Lors de la journée internationale des droits des femmes, elle ont pu défiler plusieurs heures après le cortège officiel de la coordination féministe.

Malgré les promesses de la préfecture de «sécuriser la manifestation» contre l’incursion annoncée du groupuscule d’extrême-droite, autorisation leur a été néanmoins donnée de manifester à partir de 17h30, ce qui ne pouvait pas manquer d’entraîner de violents heurts, comme on peut le voir à la fin de cette vidéo.

Retaillau s’était copieusement emmêlé les pinceaux, après n’avoir pu se retenir le 21 janvier dernier, alors que le 1er flic de France est censé être au courant avant les autres de l’activité de chacun des groupuscules prêtant à polémique, de saluer le « combat » d’Alice Cordier, présidente et fondatrice de Némésis, ce collectif identitaire d’extrême-droite qui attribue notamment la responsabilité des violences sexuelles aux immigrés et aux musulmans et dont il s’est dit « très proche ».

Las, le pauvre a vite regretté cet élan de solidarité lorsque, 3 jours plus tard, se rendant compte, après coup, qu’il s’agissait «d’une association qui avait des positions très radicales, qui avait très brutalement attaqué Valérie Pécresse»il a précisé ne pas se sentir «du tout proche de cette association».

En déduira-t-on qu’il avait quelque chose à se faire pardonner en autorisant cette manifestation provocatrice, dont il savait pertinemment qu’elle ne pouvait que dégénérer ou bien avait-il une autre idée peu avouable derrière la tête ?

RD




Le féminisme d’extrême-droite n’existe pas


Le « fémonationalisme », concept développé par la chercheuse Sara R. Farris pour désigner l’instrumentalisation par les nationalistes, néolibéraux, islamophobes et fémocrates d’un discours féministe à des fins électorales, a le vent en poupe en Europe, notamment auprès des candidates d’extrême-droite.

Ça peut sembler évident pour beaucoup mais ça vaut le coup de le rappeler : les femmes politiques d’extrême-droite ne sont pas des féministes.

8 mars: 200 personnes ont manifesté samedi à Troyes pour la défense des droits des femmes.



La section LDH de l’Aube, par la voix de son secrétaire, a déclaré:

1975-2025 : une avancée majeure pour les droits des femmes qui ne cesse d’être remise en cause.

La promulgation, le 17 janvier 1975, de la loi sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG) a constitué une conquête historique pour les droits des femmes. Pour de nombreuses femmes, cette date a marqué la fin d’un cauchemar qui se manifestait par des grossesses non désirées ou par la nécessité d’avoir recours à des avortements clandestins qui mettaient leur vie même en danger. Cette avancée est indissociable du nom de Simone Veil. Celle-ci fit à cette occasion preuve d’un grand courage, mais c’est d’abord la mobilisation intense de militantes féministes, de la jeunesse et d’une partie de la société française qui a permis cette victoire.

En cinquante ans, les conditions d’applications de la loi Veil se sont assouplies mais, en France comme à l’étranger, le combat reste à mener pour enregistrer de nouveaux progrès ou pour éviter des retours en arrière que certaines forces réactionnaires veulent voir aboutir. En France, l’inscription dans la Constitution française de « la liberté d’avorter » et non pas du « droit d’avorter » montre combien ce sujet reste sensible. Par ailleurs, l’insuffisance des structures médicales garantissant l’accès à l’IVG dans le délai légal, les difficultés rencontrées par le Planning familial, le déficit d’information des jeunes filles et des jeunes garçons en matière de sexualité, la mauvaise utilisation de la clause de conscience, continuent d’être autant de facteurs qui font obstacle à une pleine reconnaissance de ce droit fondamental.

 A l’étranger, nombreux sont les pays où les femmes sont encore confrontées à des restrictions ou même à des interdictions qui leur rendent l’accès à l’IVG impossible. Dans le monde, près de 50 000 femmes meurent chaque année faute d’avoir accès à l’interruption volontaire de grossesse (IVG), tandis que des milliers d’autres connaissent de graves problèmes de santé du fait de la législation en vigueur dans leur pays. En Amérique du Sud, par exemple, 97% des femmes vivent dans un pays où les lois restreignent les possibilités de recours à l’IVG. L’Europe n’échappe pas à ce triste constat. Si vingt-cinq pays sur vingt-sept autorisent l’avortement, il reste interdit à Malte (sauf si la vie de la mère est en danger et si le fœtus n’est pas viable). En Pologne, l’accès à l’IVG a même été restreint en 2021 : elle n’est plus autorisée qu’en cas de danger pour la mère, de viol ou d’inceste. En réalité, la montée de gouvernements réactionnaires dans de nombreux pays européens s’accompagne partout d’une forte présence de mouvements « pro-vie » ou anti-IVG. N’oublions pas les femmes aux Etats-Unis, confrontées à un recul patent de ce droit. En 2022, la Cour suprême des Etats-Unis a annulé un arrêt fédéral qui garantissait depuis 1973 le droit d’avorter sur tout le territoire, laissant ainsi à chaque Etat la liberté de déterminer sa propre politique sur l’accès à l’IVG. Depuis son retour au pouvoir, Donald Trump poursuit sa politique de remise en cause de l’IVG et vient ainsi d’en restreindre l’accès à l’information.

Alors que le droit à l’IVG continue d’être mis à mal, la LDH réaffirme sa volonté de se tenir aux côtés de toutes celles et de tous ceux qui agissent et qui œuvrent pour que les femmes, toutes les femmes, puissent disposer librement de leur corps partout dans le monde.

Le droit à l’avortement, c’est-à-dire le droit des femmes à disposer de leur corps, est et doit rester partout en France et dans le monde un droit fondamental à défendre.



On a pu entendre dans toute la France une immense clameur.


Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi à Paris et ailleurs en France pour la Journée internationale pour les droits des femmes. Le collectif Grève féministe, qui organisait les manifestations, a revendiqué 120 000 participants à Paris et au total 250 000 en France.

La préfecture de police a annoncé 47.000 manifestants à Paris, soit près du double de l’an dernier. 9 300 personnes ont été recensées à Lyon, 7 500 à Toulouse, 6 000 à Lyon, 5 000 à Rennes, selon les préfectures. Au total, une cinquantaine d’associations, organisations et syndicats avaient appelé à l’organisation de 150 rassemblements dans toute la France.

Libération du 8 mars 2025


En faisant le tour des plus de 150 manifestations en France, nous avons pu constater une fois ecore que les femmes ont autant d’humour qu’elles « en ont sous la godasse » (inventaire non exhaustif).

Trump, Musk: la résistance s’organise



Etats-Unis : que changent les décrets de Trump ?


Juste après avoir prêté serment, le nouveau président américain, Donald Trump, s’est rendu auprès de ses partisans, devant lesquels il a signé près de 80 décrets – révoquant des mesures de son prédécesseur, Joe Biden, et ouvrant la voie à d’autres décisions. Celles-ci prévoient notamment le limogeage de nombreux fonctionnaires fédéraux, le verrouillage de la frontière avec le Mexique, et une amnistie des insurgés du Capitole. Les éditorialistes commentent.



Anne Deysine, experte des Etats-Unis : « La résistance va se focaliser sur ce qui est vraiment important »


Pour Anne Deysine, juriste, spécialiste des Etats-Unis, la résistance, tous azimuts, durant le premier mandat de Trump a montré ses limites. « Cette fois, il y a une vraie réflexion pour hiérarchiser et cibler certaines priorités. »



Etats-Unis : ce vieux manuel de sabotage qui refait surface pour résister à Donald Trump


Les consultations d’un guide de méthodes pour résister au fascisme, déclassifié par la CIA en 2008, explosent depuis l’élection de Donald Trump.

Faut-il y voir un acte de résistance ? Ou bien est-ce la traduction d’une vraie crainte face au déconcertant Donald Trump, réélu pour un second mandat en novembre dernier ? Depuis plusieurs semaines, un vieux manuel de résistance au fascisme, déclassifié par la CIA en 2008, est devenu viral sur Internet. Il s’agit d’un guide gouvernemental très sérieux daté de la Seconde Guerre mondiale.



États-Unis. Comment la résistance à Donald Trump sort de sa torpeur


Aux États-Unis, la résistance s’organise contre un pouvoir jugé brutal et antidémocratique. Sidérée par la quantité de décisions présidentielles radicales, elle prend forme surtout dans les tribunaux.



Le projet 2025 de Trump couronne une résistance de plusieurs décennies aux réformes progressistes du 20e siècle


Pendant une grande partie du XXe siècle, les efforts de refonte du gouvernement ont été motivés par le désir progressiste de mettre le gouvernement au service des Américains ordinaires, notamment avec les réformes du New Deal et de la Grande Société.

Mais ils se sont également heurtés à une réaction négative des conservateurs, qui cherchaient à réduire le rôle de l’État en tant que source de sécurité pour les travailleurs américains et à l’aligner sur les intérêts des entreprises privées. 



Aux États-Unis, les purges d’Elon Musk créent un premier front de résistance


Face au rythme et à l’amplitude des réformes menées par le bras droit de Trump contre le gaspillage de l’État, la riposte a lieu dans la rue et dans les tribunaux. Le bras de fer est engagé.



Résistances politique et économique après un mois de présidence Trump 2.0, au pas de charge


Cela fait un mois que Donald Trump est revenu à la Maison Blanche. Les résistances politique, civile et économique commencent à s’organiser alors que le président républicain poursuit son agenda politique au pas de charge.



Résistance scientifique aux États-Unis : « La science est le premier des contre-pouvoirs »


Aux États-Unis, les scientifiques commencent à s’organiser pour résister aux attaques de la nouvelle administration Trump, qui censure les bourses de recherche, réduit les fonds de recherche et va jusqu’à supprimer des données publiques qu’elle estime gênantes. Mais ils restent divisés.



Snobé par les Etats-Unis, le G20 fait de la résistance en Afrique du Sud


Dans le viseur de l’administration Trump, Pretoria a plaidé pour le multilatéralisme lors de la réunion des ministres des affaires étrangères du G20 à Johannesburg.

N’en déplaise aux Etats-Unis, le multilatéralisme n’est pas mort. C’est en tout cas le message qu’a tenté de faire passer la présidence sud-africaine du G20 en ouverture du premier grand rendez-vous de ce forum annuel, qui a rassemblé les ministres des affaires étrangères des plus grandes économies du monde, jeudi 20 et vendredi 21 février, à Johannesburg. Une volonté appuyée par de nombreuses nations, en dépit de l’absence remarquée du secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio.



Aux Etats-Unis, la résistance à Elon Musk et sa tronçonneuse contre l’Etat fédéral grandit


L’omniprésent conseiller de Donald Trump avait donné jusqu’à lundi minuit aux fonctionnaires fédéraux pour justifier leur travail de la semaine précédente, sous peine d’être licenciés. Il a repoussé ce délai face aux oppositions de plus en plus vives à l’intérieur et à l’extérieur de l’administration.



Analyse – Une résistance anti-Trump anesthésiée


Au lendemain de la première investiture de Trump, en 2017, environ un demi-million de personnes avaient déferlé sur Washington, en signe de protestation, scandant le célèbre : « Voici à quoi ressemble la démocratie! » Huit ans plus tard, la révolte citoyenne est anémique et l’opposition politique, émasculée. Apathie, vous avez dit?



L’administration Trump efface des millions de données scientifiques, la résistance s’organise


Cancel que ça s’arrête ? Depuis l’investiture de Donald Trump à la Maison-Blanche, nous assistons à un autodafé numérique de tout ce qui touche de près ou de loin à des politiques jugées trop progressistes. Le processus est méthodique et tout y passe. Analyse.



US go home, enfin !


« US go home! » Les plus vieux écraseront peut-être une larmichette en se rappelant ce slogan qu’ils traçaient d’une main plus ou moins habile sur les murs des villes d’Europe. Contre la guerre étatsunienne au Viet-Nam. Contre le modèle de société imposé par l’Oncle Sam. Allez, du balai, les Ricains! Eh bien, plus d’un demi-siècle plus tard, nous y voilà. « US » est vraiment « go home »!

Soulèvement démocratique en Serbie « Journal libre » de la télévision de Voïvodine



La colère redouble en Serbie. D’abord porté par les étudiants, le mouvement s’étend à toute la Serbie, alors que de nombreuses professions sont entrées en grève générale. Suivez les dernières informations en temps réel et en accès libre.



Serbie: Les manifestants se rassemblent en masse trois mois après l’accident à la gare de Novi Sad


Des dizaines de milliers d’étudiants et de citoyens serbes, qui manifestent depuis des mois contre la corruption, sont réunis samedi à Novi Sad, là où est né l’immense mouvement de contestation qui secoue la Serbie depuis un effondrement meurtrier survenu dans cette ville il y a trois mois jour pour jour.

Les manifestants sont arrivés à Novi Sad, 2e ville de Serbie, à pied, à vélo ou en voiture. Drapeaux à la main, scandant des slogans contre la corruption, ils ont bloqué les trois principaux ponts qui enjambent le Danube à partir de 15H00 (14H00 GMT),avant de converger en début de soirée vers le principal pont de la ville où ils vont passer la nuit.

Troyes: retour sur les manifestations de cette semaine

Près de 400 manifestants au rassemblement de la fonction publique ce jeudi 5 décembre à Troyes



Les syndicats de la fonction publique ont manifesté, ce jeudi 5 décembre 2024, contre le plan de lutte contre l’« absentéisme » présenté par le gouvernement.

Publié:5 décembre 2024 à 14h33Temps de lecture:2 minPartage :

De nombreux syndicats de la fonction publique ont appelé à manifester, ce jeudi 5 décembre 2024, contre le plan de lutte contre l’« absentéisme » présenté par le gouvernement. Ils se sont retrouvés ce jeudi devant la Maison des syndicats à 13h30 avant de défiler dans les rues troyennes.



CESSEZ-LE-FEU IMMEDIAT ET PERMANENT A GAZA ET DANS TOUTE LA REGION!

Ce samedi 7 décembre à Troyes

MJ


CESSEZ-LE-FEU IMMEDIAT ET PERMANENT A GAZA ET DANS TOUTE LA REGION!

HALTE AU GENOCIDE EN PALESTINE!

POUR UNE PAIX JUSTE ET DURABLE !

Cela fait maintenant près de 14 mois que les Palestiniens et Palestiniennes de Gaza subissent l’horreur d’une guerre atroce menée contre leur existence même et qui se déroule sous nos yeux. Et cela fait plus de 10 mois que la Cour Internationale du Justice a ordonné des mesures pour stopper un génocide qu’elle considérait déjà comme plausible.

Depuis octobre, les massacres et la famine organisée se sont encore intensifiés dans le nord de la Bande de Gaza. Le nombre des personnes tuées et blessées, des destructions, des déplacements forcés de population, donne le vertige. L’anéantissement par l’armée israélienne de toutes les infrastructures vitales se poursuit sans relâche. Les rares témoins, intervenant pour des organisations humanitaires, décrivent une situation apocalyptique, une horreur à un degré qu’ils et
elles n’ont jamais vu.

Les Palestiniens et Palestiniennes de Cisjordanie, y compris de Jérusalem-Est, subissent aussi sans arrêt les attaques de l’armée et des colons, les expropriations, les démolitions de maisons, les opérations de « nettoyage ethnique » par déplacement forcé des populations, les meurtres, les arrestations arbitraires.

Le Collectif Aubois pour une Paix Juste et Durable dénonce cette guerre contre tout un peuple qui prolonge une politique de dépossession du peuple palestinien à l’œuvre depuis des dizaines d’années.

Le cessez-le-feu qui est entré en vigueur au Liban ne peut faire oublier les bombardements israéliens d’une violence inouïe jusqu’au centre de Beyrouth, le déplacement d’un million de personnes, les destructions considérables et les milliers de morts. Le gouvernement israélien d’extrême-droite n’a pas abandonné l’option d’une guerre régionale, qui nous entraînerait vers l’abîme…

Nous condamnons l’abandon d’une partie de l’humanité par le pouvoir politique en France,  en acquiesçant  la dévastation de Gaza, le massacre de sa population et la persécution des Palestiniens et Palestiniennes de Cisjordanie et de Jérusalem-Est par le gouvernement d’extrême droite Israélien.

 Nous n’acceptons pas la complicité de fait de nos autorités avec l’État d’Israël et la politique qu’il mène. Nous n’acceptons pas l’impuissance organisée. Nous n’acceptons pas que les principes du droit international, du droit humanitaire s’écroulent sous nos yeux et que nos institutions internationales soient ainsi mises à mal. L’État d’Israël viole systématiquement toutes les résolutions de l’ONU, il n’est pas acceptable de le laisser faire.

Nous avons toujours dénoncé sans ambiguïté l’ensemble des crimes de guerre commis depuis le 7 octobre.

Les mandats d’arrêt émis par la Cour Pénale Internationale, notamment contre le Premier ministre israélien, contre l’ancien ministre de la Défense et un dirigeant du Hamas, constituent un événement considérable et sont révélateurs de la gravité de ce qui se joue aujourd’hui. Les déclarations de la France, qui a invoqué une immunité pour tenter de protéger les dirigeants israéliens, sont d’une totale indignité.

L’Assemblée Générale des Nations-Unies a réclamé le 18 septembre la fin de l’occupation israélienne du territoire palestinien occupé dans un délai de douze mois et appelé à des sanctions contre Israël. Mais que fait la France pour aller dans ce sens, alors qu’elle a voté pour cette résolution ?

Le Collectif Aubois pour une paix juste et durable exige :

  • Un cessez-le-feu immédiat et pérenne à Gaza, le retrait de l’armée israélienne et l’ouverture de tous les points de passage à l’aide humanitaire,
  • La fin de l’occupation, de la colonisation et de la politique d’apartheid, conformément à la résolution de l’ONU du 18 septembre 2024.
  • Le droit au retour des réfugié·es palestinien·nes comme le stipule la résolution 194 de l’ONU.
  • Le retrait immédiat de l’armée israélienne du Liban, et la pérennisation du cessez-le feu,
  • La libération de toutes les personnes détenues, qu’il s’agisse des otages détenu·es par le Hamas depuis plus d’un an, des plus de 10.000 prisonnier·es politiques palestinien·nes détenu·es au mépris du droit international, depuis des dizaines d’années pour beaucoup d’entre eux, et des milliers de Palestinien·nes de Gaza transféré·es dans des centres de détention et de torture.
  • Un soutien matériel et politique à l’UNWRA, l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens, honteusement attaquée par Israël,
  • Un soutien sans ambiguïté à la Cour Pénale Internationale, et l’engagement d’appliquer ses décisions sans restriction ni réserve : nous n’acceptons aucune immunité pour les criminels de guerre.
  • La protection des journalistes palestiniens et l’ouverture de Gaza à la presse internationale,
  • La fin de l’impunité de l’État d’Israël, et des sanctions tant qu’il ne respecte pas le droit international :
  • – un embargo sur toutes les livraisons d’armes, de munitions et de composants militaires à destination d’Israël,
  • – des sanctions diplomatiques,
  • – la suspension de l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël,
  • La reconnaissance par la France de l’État de Palestine dans le cadre du droit du peuple palestinien à l’autodétermination,
  • La construction d’un avenir de paix entre les peuples palestinien et israélien fondé sur l’égalité des droits,
  • Le respect de la liberté d’expression, de manifestation, de réunion.
  • La lutte contre le racisme sous toutes ses formes dont l’antisémitisme, le refus de toute instrumentalisation de cette lutte et de tout amalgame.

Partout en France nous crions notre indignation et exigeons que nos demandes soient satisfaites. C’est notre humanité qui est insultée, nous ne laisserons pas faire. Il en va de notre responsabilité devant notre conscience et devant les générations futures.

À l’appel dans l’Aube du Collectif :

MRAP, LDH, GREENPEACE, AGUI, LIBRE PENSEE, COLLECTIF LOUISE MICHEL, LFI, POI, PCF, GENERATION.S, CGT, SOLIDAIRES, FSU

Géorgie : une enquête sur des fraudes électorales réclamée, l’opposition appelle à manifester



L’Union européenne et les États-Unis ont demandé dimanche l’ouverture d’une enquête sur de possibles fraudes après les législatives en Géorgie remportées par le parti au pouvoir pro-russe. De son côté, la présidente pro-européenne de ce pays du Caucase a appelé les électeurs à manifester lundi.



Troyes: retour sur la manifestation pour la Paix de vendredi

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Troyes: manifestation demain 1er octobre



La LDH (Ligue des droits de l’Homme) était, il y a plus d’un an, aux côtés des syndicats contre une réforme des retraites que l’ensemble des organisations syndicales et l’immense majorité des Françaises et Français rejetaient.

Aujourd’hui, alors qu’inégalités et précarisation s’aggravent sans cesse, dans un contexte de détérioration continue des services publics, nous restons extrêmement inquiets et fermement mobilisés. Les perspectives actuelles ne doivent pas s’inscrire dans la continuité des réformes des retraites, du Code du travail ou de l’assurance chômage. Ces choix participent d’une remise en cause de l’Etat social qui aggrave les injustices sociales. D’autant que les salaires, pensions, bourses et minimas sociaux régressent face à l’inflation, plongent de plus en plus de personnes dans la précarité et accentuant les inégalités. 

Les politiques publiques dictées par l’agenda néolibéral conduisent à l’affaiblissement continu des services publics. L’hôpital, les soins, l’éducation, l’enseignement supérieur, la recherche, la justice sont à bout de souffle. Non seulement par un manque chronique et aigu de moyens, mais aussi parce que notre vision des services publics à vocation universelle est largement remise en cause. 

Conjuguées à des méthodes qui fragilisent la démocratie, cette situation et cette régression des droits sociaux accentuent la crise de confiance actuelle et favorisent les dérives vers l’extrême droite. 

Des mesures d’urgence sont aujourd’hui indispensables : augmentation des salaires, pensions, bourses, minimas sociaux ; abrogation des réformes des retraites ; financement ambitieux des services publics, pour des conditions de vie dignes dans les territoires ultra-marins. Ces mesures d’urgence sociale et de renfort des services publics sont à prendre sans délai. 

La mobilisation est indispensable pour faire obstacle à l’injustice sociale croissante et à la dégradation des écosystèmes, pour défendre notre projet d’une société qui garantisse l’accès effectif de toutes et tous à tous les droits. 

C’est pourquoi la LDH appelle à se mobiliser et à manifester aux côtés des organisations syndicales et de jeunesse  

le 1er octobre 2024 à Troyes à 13h30 place de la Libération.

La LDH appelle à manifester le 1er octobre

Paroles d’Iran: deux ans après la mort de Mahsa Amini, la lutte continue… en sourdine



L’annonce de la mort de Mahsa Amini, le 16 septembre 2022, trois jours après avoir été arrêtée par la police des mœurs, marquait le début du mouvement « Femme, vie, liberté ». Plus de 500 manifestants ont été tués lors de ces contestations, des dizaines de milliers de personnes ont été arrêtées. Certains des contestataires ont même été condamnées à mort par les tribunaux révolutionnaires d’Iran. Deux ans après, le régime iranien continue à menacer la population, laquelle bien qu’éprouvée, ne s’avoue pas vaincue.



Malgré les heurts et la répression, la lutte contre les mégabassines retrouve du souffle dans le Poitou




Rage against the bassinesEntre les Deux-Sèvres, la Vienne et la Charente-Maritime, des milliers de personnes se sont retrouvées ce weekend pour s’opposer à une agro-industrie toujours plus gourmande en eau, et lui opposer un contre modèleVert y était.



Méga-bassines : contre Darmanin et sa police, la guerre de l’eau a commencé

Ce samedi 20 juillet marque le deuxième jour des manif’actions contre les mega bassines, ce jour à La Rochelle. La veille, les manifestants ont tenté d’approcher la coopérative Terrena malgré les nombreux barrages, contrôles et fouilles des forces de l’ordre. La police a lancé des grenades lacrymogènes dans un champ où marchaient les militants, ce qui a provoqué un gros incendie. Les manifestants ont donc décidé de rentrer en vue de la dangerosité mais aussi pour se préserver pour aujourd’hui.



Sainte-Soline – Communiqué des parents de Serge


Lors de la manifestation du 25 mars 2023 contre la construction d’une mégabassine à Sainte-Soline, notre fils Serge a été gravement blessé par un tir émanant des forces de l’ordre. Seize mois plus tard, nous attendons toujours les résultats des investigations.

Manifestations anti-bassines : milice, incendies, black blocs… « La mise en scène de la violence occulte le débat sur le modèle agricole et l’écologie »



Sébastien Leurquin, journaliste indépendant et coauteur de « L’affrontement qui vient : de l’éco-résistance à l’éco-terrorisme ? » (éd. du Rocher, 2023), lève le voile sur les dessous des manifestations anti-bassines prévues en Nouvelle Aquitaine ces vendredi 19 et samedi 20 juillet 2024.



Fouilles, lacrymos et incendie : une manifestation mouvementée contre les mégabassines


Des fouilles et contrôles à répétition aux champs de paille incendiés par les grenades, l’État a essayé d’empêcher les antibassines de manifester. Des milliers d’opposants ont quand même réussi à se réunir dans la Vienne.



« Les gendarmes qui mettent le feu, c’est tellement symbolique » : la manifestation des anti-bassines interrompue, une nouvelle mobilisation samedi


La mobilisation de milliers de militants anti-bassines, vendredi à Migné-Auxances (Vienne), près de Poitiers, a été interrompue par un incendie déclenché par les grenades lacrymogènes des forces de l’ordre. Un nouveau rassemblement est prévu ce samedi 20 juillet, dans le port de La Rochelle.

A Sainte-Soline, il y a quinze mois, les militants anti-bassines avaient été contraints de battre en retrait après avoir essuyé une salve inédite de grenades – environ 5 000 avaient été tirées en seulement 1h20, blessant plusieurs dizaines de personnes. Vendredi 19 juin, alors qu’ils étaient des milliers à avoir convergé à Migné-Auxances, près de Poitiers, pour « arracher un moratoire » sur la construction de ces énormes retenues d’eau, seule une poignée a suffi à les faire reculer. La faute à l’impressionnant incendie que les premiers tirs de gaz lacrymogène des forces de l’ordre ont déclenché dans un champ que le cortège était en train de traverser.



Pourquoi la coordination anti-bassine choisit d’aller manifester ce samedi au port de la Pallice (La Rochelle)


Alors que des milliers de personnes sont déjà réunies au village de l’eau, les 120 organisations de la coordination anti-bassines appellent samedi à converger massivement vers le port de La Rochelle. Elles expliquent ici le choix de viser le lien entre l’agrandissement de ce port et la construction des méga-bassines, ainsi que le rôle de celles-ci dans l’asservissement des paysan·nes, la dégradation continue des terres et de l’eau, la mainmise spéculative sur les exportations agricoles. 



Le zèle (obsessionnel) de Darmanin contre les antibassines


À la mobilisation des antibassines, Gérald Darmanin poursuit la criminalisation des écologistes comme si les récentes élections n’avaient pas eu lieu. Depuis son ministère tout-puissant, il multiplie les mensonges.

À Troyes, près de 250 personnes manifestent contre l’extrême droite ce samedi

MB



L’appel à manifester contre l’extrême droite avait été lancé par les syndicats aubois il y a quelques jours. Ce samedi à Troyes, 250 personnes ont répondu présent.

À quelques jours du premier tour des élections législatives, une nouvelle mobilisation contre l’extrême droite se tient à Troyes ce samedi 22 juin. Le départ a été donné un peu avant 15 h devant la Maison des syndicats et de la vie citoyenne.


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Contre l’extrême-droite: le Nouveau Front Populaire

Législatives: éléments de réflexion et d’information



A l’instar de nombreuses organisations politiques, syndicales ou religieuses, nous comptons apporter également notre eau au moulin des électeurs qui ne souhaiteraient pas suivre les injonctions des médias et réseaux sociaux dont certains aimeraient « faire les élections ». C’est pourquoi nous nous permettrons de leur apporter quelques pistes de réflexions qui ne manqueraient pas sans cela de leur échapper dans la jungle des publications actuelles.



L’avenir des droits de l’enfant se décide à l’Assemblée nationale


« L’espoir du monde repose sur les générations à venir ». Ce sont les mots qui ont annoncé la création de l’UNICEF, l’agence des Nations unies pour les droits de l’enfant en 1946.

Dès sa création au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’UNICEF s’est consacré à assurer la protection et la survie des millions d’enfants victimes de la guerre.

Plus de 75 ans après, notre mandat demeure inchangé : défendre les droits de chaque enfant. Partout. Tout le temps.

Présent dans plus de 190 pays et territoires, l’UNICEF est aujourd’hui la première organisation en matière de défense des droits de l’enfant.

À quelques jours des élections législatives anticipées du 30 juin et 7 juillet 2024, l’UNICEF France appelle les candidats à s’engager pour faire de ces droits une réalité sur l’ensemble du territoire.



L’usage du mot « immigrationniste », une forme de complotisme



LES MOTS DEMONS. Le président a utilisé ce mot emprunté au vocabulaire de l’extrême droite pour qualifier le programme de la gauche. Il y a peu, c’est contre lui que le RN en faisait usage.

La digue qui protégeait la droite républicaine de l’extrême droite Lepéniste a commencé à se fissurer par la sémantique. On a ainsi vu surgir dans le vocabulaire de politiciens respectés des expressions comme « grand remplacement » « ensauvagement » ou « français de souche ». La macronie n’est pas à l’abri de cette dérive. Le président de la République, mardi 18 juin, a ainsi qualifié le programme du Nouveau Front populaire de « totalement immigrationniste », soulevant un tollé.



Faire front populaire, avec le mouvement social


Plus de 150 syndicalistes, militant·es des mouvements sociaux, de la gauche alternative, répondent présent·es à l’appel d’un Nouveau Front Populaire et appellent à s’y engager à la base pour faire reculer l’extrême droite et aller plus loin dans la rupture et l’alternative.



Le vrai visage du RN


Dans le grand théâtre de la politique, le RN joue la pièce en deux actes : xénophobie et coup de hache dans les protections sociales. Derrière les promesses fumeuses se cache une volonté acharnée de réduire les financements publics et d’exclure les étrangers des droits sociaux.



De quoi le Rassemblement National est-il le nom ?


Alors quoi, le RN serait désormais devenu un parti respectable et républicain ? Au point que désormais certains intellectuels de gauche et de la droite dite républicaine se disent prêts à voter pour l’extrême droite face au Nouveau Front Populaire (NFP) en cas de duel au 2e tour des élections législatives le 7 juillet prochain ?




Le Nouveau Front populaire au défi du vote d’extrême-droite


Pour renforcer leur bloc électoral et battre le Rassemblement national, les gauches veulent croire que leur programme social pourrait inciter de nombreux électeurs à voter pour elles.Mais elles manquent de temps pour mener une bataille culturelle profonde.




Les réunions électorales publiques dans l’Aube



Ce calendrier est encore incomplet et sera mis à jour au fil de l’organisation des événements.


1ère circonscription:

A venir

2ème circonscription:

 

Ce soir à la mairie d’Aix-en-Othe (salle des mariages)18 h 30
Mardi 25 juin à Saint-André-les-Vergers18 h
Mercredi 26 juin à Bouilly 18 h
Jeudi 27 juin à La Chapelle Saint-Luc (espace culturel)  Horaire à confirmer
Vendredi 28 juin Bar-sur-Seine 18 h 30



3ème circonscription

 



Et aussi


Jeudi 20 juin 

Les syndicats appellent à la grève et à un rassemblement à 10h30 devant la Maison des Syndicats et de la Vie citoyenne, 2A, boulevard du 1er RAM à TROYES.


Samedi 22 juin


La riposte féministe bouillonne face à l’extrême droite


Comme les partis politiques, les associations féministes font front commun contre le Rassemblement national, mettant de côté leurs divergences pour lutter contre des menaces très concrètes pour les droits des femmes.

Troyes: plus de mille manifestants pour soutenir le Nouveau Front Populaire contre l’extrême-droite ce samedi après-midi

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A l’appel de l’intersyndicale, un préavis de grève générale a été déposé pour le jeudi 20 juin. Les organisations, partis, associations, collectifs se joindront au mouvement en une manifestation unitaire avec le Nouveau Front Populaire contre les extrêmes-droites à 10h30 au départ de la place Jean-Jaurès à Troyes . Ce n’est qu’un début…

Ce samedi 15 juin à Troyes


12h00: repas en commun tiré du sac qui permettra aux manifestant(e)s de se restaurer dans le partage avant de rejoindre le rassemblement pour faire front populaire contre l’extrême-droite 

 

Gaza : « Des enfants trop jeunes pour marcher sont démembrés, éviscérés et tués par l’armée israélienne, c’est la réalité de cette guerre »



Depuis le début du mois de juin, plus de 800 personnes ont été tuées et 2 400 autres blessées par l’armée israélienne, selon le ministère de la santé à Gaza. L’offensive militaire menée par Israël a entraîné plusieurs afflux massifs de blessés dans les structures médicales soutenues par MSF à Rafah et dans le centre de la bande de Gaza.



« Spécialement dédié aux enfants », escale à Brest pour un navire humanitaire en route pour Gaza



Un des navires de la « Flottille de la liberté pour Gaza », une ONG humanitaire internationale transportant de l’aide à destination de l’enclave palestinienne, est en escale à Brest. Ce bateau, le Handala, entend obtenir un cessez-le-feu et mettre fin au blocus à Gaza.




Après la manifestation, un repas tiré du sac permettra aux manifestant(e)s de se restaurer dans le partage avant de rejoindre le rassemblement contre l’extrême-droite à 13 h 30 place Jean-Jaurès.