Pour remplir sa police municipale, Paris drague les allocataires du RSA

LES JO ONT FAUSSEMENT SERVI D’ARGUMENT DE RECRUTEMENT



À l’approche des Jeux olympiques 2024, la mairie de Paris cherche à recruter plus de 200 agents supplémentaires. Les Parisiens qui touchent le revenu de solidarité active (RSA) ont été invités à candidater.

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Sept questions pour comprendre le Digital Services Act, qui va désormais encadrer les géants du web



Après le RGPD, l’Union européenne met en place une nouvelle législation pour contrôler les plateformes. On vous explique ce qui va changer.

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Haïti : Augmentation des abus violents



La réponse du Conseil de sécurité des Nations Unies devrait respecter les droits humains.

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Protection des frontières et respect des droits humains

L’actualité nous le montre douloureusement : le cas de l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes, plus connue sous le nom de Frontex, est emblématique du dilemme de la gestion des frontières européennes. Devenue l’agent de la militarisation des frontières européennes, contribuant à la perception de l’Europe comme d’une forteresse assiégée, Frontex est au cœur d’enjeux qui la dépassent et doit se réformer pour résoudre les situations dangereuses aux portes de l’Europe. La nouvelle étude de la Fondation Jean Jaurès tente de saisir le dilemme présent au cœur de la gestion des frontières européennes, entre protection de ces frontières et respect des droits de l’homme.

Surveiller et laisser périr. À quoi sert Frontex ?

Entre l’impératif de ne pas laisser passer les gens illégalement et, d’autre part, le principe de non refoulement car toute personne ayant besoin de protection a droit à l’asile, comment faire ? 

Cette combinaison inattendue de sécurité et de droits de l’homme s’est traduite dans les pratiques et les discours de l’agence, mais surtout s’est avérée trompeuse – comme en témoigne la récente démission de son directeur exécutif. 

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Depuis sa création, Frontex a été à plusieurs reprises critiquée pour son traitement des migrants lors d’opérations conjointes. Des rapports, des enquêtes et des témoignages ont montré la pratique régulière de refoulement de migrants interceptés vers leur port de départ, comme les territoires libyens. La protection contre les retours forcés vers des lieux de persécution potentielle est connue sous le nom de principe de non-refoulement, et le non-respect de ce principe constitue une violation du droit international et européen.

USA: la Cour suprême américaine autorise des commerces à ne pas servir des clients LGBT+


Le président américain Joe Biden s’est dit « très inquiet » du risque accru de discriminations contre les personnes LGBT+ après l’arrêt de la Cour suprême donnant raison à une créatrice de sites web refusant d’en faire pour des mariages gays.

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USA bis: en Floride, porter une arme à feu sans permis est désormais possible

 

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Refus d’obtempérer : « La loi de 2017 a presque été interprétée comme un permis de tuer », alerte Henri Leclerc


Nahel : chronique d’une bavure législative

 

Mort de Nahel : se disant « en guerre », des syndicats de police appellent au « combat » contre les « nuisibles » et « les hordes sauvages »



Troyes, 30 juin 2023

La majorité des Français ont de fausses croyances sur l’immigration. Une étude rétablit la vérité


À l’occasion de l’ouverture du nouveau Musée national de l’histoire de l’immigration, une étude sur la connaissance et le regard des Français sur l’immigration vient d’être publiée. On y apprend que de nombreuses fausses croyances persistent et causent du tord au regard porté sur l’immigration.

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Immigration, le débat empoisonné

 

Asile et immigration : une surenchère sécuritaire alarmante

« Je ne pouvais plus supporter la violence au sein de l’institution » : vague de démissions dans la police et la gendarmerie


Harcèlement, journées sans fin, manque de moyens… D’après la Cour des comptes, il n’y a jamais eu autant de démissions dans les rangs de la police et de la gendarmerie qu’en 2022.

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Témoigner pour lutter contre l’arbitraire et la violence

Envers et contre l’évidence des témoignages, des corps et des vies brisés, des avenirs interrompus des mutilés, de la douleur partagée, le gouvernement persiste à taire et à faire taire l’expression de violences policières.

Une violence sémantique qui va jusqu’à étouffer les mots qui la décrivent, quitte à poursuivre devant la justice tous ceux qui la dénoncent.

Par Arié Alimi

Témoigner de ces violences policières devient alors un impératif.

Témoigner de ce que l’usage de la force et des armes, des interpellations et des gardes à vues, qui devraient répondre à une rationalité légale, sont désormais l’expression d’une politique illégale visant à dominer, soumettre, intimider, briser, quelque fois à mutiler ou à tuer. Les violences policières sont ces nouvelles armes qui nassent notre destin collectif, domestiquent nos consciences, brutalisent à vue, traumatisent à vie.

Témoigner d’un maintien de l’ordre qui ne maintient plus qu’un pouvoir.  

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Opération Wuambushu à Mayotte


 La destruction d’un bidonville suspendue par la justice


Pourquoi la justice a donné raison aux habitants du bidonville qui devait être détruit ce matin


Le préfet confirme qu’il fera appel de la décision du tribunal de suspendre la destruction d’un bidonville


Le vice-président de Mayotte appelle au meurtre des «délinquants»


Les communiqués de la LDH

Identification des agents en uniforme dans les manifestations : le Conseil d’Etat saisi pour rendre l’obligation effective


Depuis 2014, policiers et gendarmes doivent porter sur leur tenue leur matricule, un numéro d’identification individuel dit « RIO » permettant de retrouver un fonctionnaire en cas de dérapage. Dans la pratique, cette obligation est loin d’être généralisée.

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Absence de matricule et dissimulation du visage des forces de l’ordre : le gouvernement sommé de se justifier devant le Conseil d’Etat


« Il y a deux morts par jour au travail » : des familles de victimes demandent « plus de prévention » et « plus de répression »


Des proches de victimes d’accident du travail se rassemblent samedi après-midi à Paris pour réclamer un meilleur accompagnement du gouvernement.

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« Polluants éternels »


ENQUÊTE Issue d’un travail inédit d’agrégation de données, cette carte permet de visualiser pour la première fois l’ampleur de la contamination de l’Europe par ces substances toxiques et persistantes.

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D’ici et d’ailleurs

Fable cruelle à l’assemblée

dénichée par Jean Camus


Contre-réforme des retraites, éléments de langage médiatique


Enquête sur les mercenaires de la désinformation


TRACEUR GPS, CAMERAS DE SURVEILLANCE… DARMANIN SE LA JOUE FILM D’ESPIONNAGE CONTRE CET ACTIVISTE


Afrique du Sud: communautés et activistes se mobilisent contre un projet gazier de TotalEnergies


Royaume-Uni/États-Unis : L’expulsion de Chagossiens il y a 50 ans, un crime contre l’humanité

Mali : le directeur de la division des droits de l’homme de la Minusma déclaré « persona non grata »


Le directeur de la division des droits de l’homme de la Mission des Nations unies au Mali (Minusma) a été déclaré « persona non grata » par le gouvernement de transition. Il »devra quitter le territoire national dans un délai de 48 heures« , selon un communiqué des autorités. 

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PROJET DE LOI JO 2024 : VERS UNE NORMALISATION DES TECHNOLOGIES DE SURVEILLANCE INTRUSIVES ?

Installation des anneaux olympiques sur le parvis du Trocadéro à Paris / © Riccardo Milani via Reuters


Ce mardi 24 janvier 2023, le Sénat s’apprête à examiner en procédure accélérée le projet de loi relatif aux Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. Le texte légaliserait pour la première fois en France l’utilisation d’une surveillance s’appuyant sur des systèmes d’intelligence artificielle. Voté en l’état, ce projet de loi marquerait une première étape dangereuse pour les droits humains, dont le droit à la vie privée. Amnesty International France appelle les sénatrices et les sénateurs à prendre toute la mesure de l’impact d’un tel choix sur le futur de notre société et demande la suppression de l’article 7 qui introduit cette mesure.

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#JeNeSuisPasUneData : l’UFC-Que Choisir met en place un outil pour mieux protéger vos données

Pour connaître, modifier ou supprimer ses données personnelles, l’UFC-Que Choisir lance un outil à destination des internautes. © Maxppp – Sebastian Gollnow


Instagram, Facebook, Uber… autant de plateformes qui collectent des données des internautes. À l’occasion de la journée de la protection des données, l’association UFC-Que Choisir lance la campagne #JeNeSuisPasUneData, qui propose un outil pour mieux contrôler l’utilisation des données personnelles.

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Trois policiers accusés d’avoir cassé un nez et bidonné leur rapport

Photo d’illustration d’un policier, prise lors d’un reportage de StreetPress en mars 2022 à Lucé (28).


En novembre 2020, Yacine M. est contrôlé par des agents de la Bac à Clichy-sous-Bois. Après l’avoir violenté, ils ont ensuite fait un PV antidaté et l’ont mis en garde à vue pendant 40 heures pour rébellion. Une vidéo remet en cause leur version.

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LA NOUVELLE CONVOCATION DE JOURNALISTES PAR LA DGSI INQUIÈTE DES ORGANISATIONS DE DÉFENSE DES DROITS HUMAINS