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La plus haute juridiction de l’ONU demande également à l’État hébreu de permettre l’accès à l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, mais n’ordonne pas de cessez-le-feu.
La plus haute juridiction de l’ONU demande également à l’État hébreu de permettre l’accès à l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, mais n’ordonne pas de cessez-le-feu.
Selon le commandant en chef de l’armée ukrainienne, l’armée de Vladimir Poutine a tiré au total 41 missiles dans la nuit du lundi 22 au mardi 23 janvier sur l’ensemble du territoire.
Guerre, pauvreté et dénuement : les Gazaouis sont abandonnés à leur triste sort. Outre les 25 000 morts, près de deux millions de Gazaouis sont déplacés dans le sud de l’enclave. Sans eau et sans nourriture. Ce chaos engendre un drame humanitaire absolu, des enfants de la guerre qui naissent dans la rue notamment, l’unique maternité encore en service dans le sud de l’enclave ne parvenant pas à accueillir toutes les futures mères.
Depuis bientôt quatre mois, Gaza vit un calvaire. Plus de 25 000 morts selon le bilan du Hamas, 85% de la population a dû se déplacer à cause des bombardements. Une nouvelle trêve serait à l’étude, selon le média américain Axios. Israël aurait proposé au Hamas une pause de deux mois, en échange des 130 otages encore aux mains du Hamas. Entretien avec Hala Abou Hassira, ambassadrice de la Palestine en France.
Les combats se sont poursuivis, dimanche, avec pour épicentre Khan Younès, situé dans le sud de l’enclave où la guerre a fait plus de 25 000 morts, selon le Hamas. Le mouvement palestinien affirme que les forces israéliennes ont visé les environs des hôpitaux Nasser et Al-Amal. Le ministre français des Armées, Sébastien Lecornu, est attendu à Tel-Aviv. Voici le fil du dimanche 21 janvier 2024.
Selon des témoins palestiniens, les bombardements israéliens intensifs ont ciblé un secteur proche de l’hôpital Nasser à Khan Younès. Selon Israël, des responsables du Hamas se cachent près du bâtiment.
Premières victimes du froid, les personnes sans-abri sont 330.000 en France, d’après le dernier rapport de la Fondation Abbé Pierre. Avec leur association « Réchauffons nos SDF », Sarah et Salima leur viennent en aide.
94 personnes, dont 56 enfants, ont été remises à la rue ce lundi à Lyon alors que le plan « grand froid » a été activé dans plusieurs départements.
Israël multiplie toujours, ce mercredi 27 décembre, les frappes aériennes contre ses cibles. La rapporteuse des Nations unies, Francesca Albanese, a pointé du doigt les attaques israéliennes à l’encontre des Nations unies et dénonce une «lâcheté morale» d’Israël.
À Gaza, le risque de famine se fait de plus en plus ressentir. L’enclave est au bord du gouffre, dit le Programme alimentaire mondial. Un risque confirmé par l’OMS, qui vient d’envoyer une nouvelle équipe à al-Chifa, le plus grand hôpital de Gaza, aujourd’hui à l’arrêt.
Dans la nuit du lundi 18 au mardi 19 décembre, sept professeurs ont dormi dans le froid devant le collège Lezay Marnesia à Strasbourg. Un acte fort pour alerter sur la situation de deux enfants de 12 et 14 ans, contraints de dormir dehors depuis trois semaines.
Les États-Unis ont mis leur véto vendredi à une résolution du Conseil de sécurité appelant à un « cessez-le-feu humanitaire immédiat » à Gaza, malgré la pression du secrétaire général qui a dénoncé la « punition collective » infligée aux Palestiniens.
Du nord au sud, Gaza est sous les bombes. Le micro-territoire palestinien et ses 2,4 millions d’habitants sont bombardés sans relâche par l’armée israélienne. Objectif : détruire le Hamas. Le bilan dans l’enclave atteint presque les 16 000 morts, en grande majorité des femmes et des enfants. Il n’y a nulle part où s’abriter, alors des familles songent au départ. Faut-il encore quitter le territoire.
Alors que la guerre a repris depuis vendredi entre Israël et le Hamas après presque une semaine de trêve, le porte-parole du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), Frédéric Joli, s’inquiète des conséquences humanitaires pour les civils de Gaza. « Nous sommes en train de créer une génération d’amputés » dans l’enclave palestinienne, explique-t-il notamment.
La situation des femmes palestiniennes à Gaza est désastreuse. Leurs droits les plus fondamentaux sont bafoués. Gaza est un petit territoire qui fait partie des endroits les plus peuplés au monde avec 6 090 habitants par km2 contre 450 en Israël.
Depuis le 7 octobre, les conditions des femmes se sont détériorées. Les rares hôpitaux encore ouverts n’arrivent plus à fonctionner dignement… quand on sait qu’il ne reste que 2 médecins et 1 lit d’hôpital pour 1000 habitants. Les opérations comme les accouchements se font sous le flash d’un téléphone, sans anesthésie, sans sage-femme, sans anti-douleurs…
Selon l’ONU, plus de 70% des victimes de cette guerre sont des femmes et des enfants palestiniens. Il y a une recrudescence de maladies respiratoires, de mortinaissances, de pathologies infectieuses, etc. Le fait qu’il n’y ait qu’une toilette pour 160 personnes et une douche pour 700 personnes, fait aussi partie de cette aggravation de l’état sanitaire actuel à Gaza. Les femmes indisposées n’ont pas accès aux protections hygiéniques et les femmes atteintes d’endométriose ne peuvent recevoir les soins nécessaires… S’ajoutent à cela toutes les pathologies psychologiques liées aux traumatismes de guerre.
Source LE MEDIA
Une centaine de personnes se sont rassembées à Troyes pour la paix et la fin du bombardement de Gaza.
Après le passage de la violente tempête Ciaran et les averses qui s’abattent sur les départements du Nord et du Pas-de-Calais, les migrants sont touchés de plein fouet par les intempéries. Les tentes sont trempées, les sols boueux et les associations débordées par les appels d’exilés cherchant à « mettre leurs enfants au sec et à l’abri ».
Waleed Aboudipaa, 38 ans, a fondé la première école francophone de la bande de Gaza en 2016. Il y a quatre ans, il est venu reprendre ses études à l’Université de Lille. Mais ses échecs aux examens lui valent aujourd’hui une obligation de quitter le territoire. Ce père de famille dénonce une « injustice » et craint pour sa vie.
« Tant de dignité, de chagrin, de désespoir et de résignation ». C’est le portrait que dresse Karine, cheffe du service communication à l’UNICEF France lors de sa visite en Somalie. Ces mots résument à eux seuls le drame que vivent des millions de familles.