Contre l’extrême-droite, votons pour la République



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Dans le Grand-Est ils ne reculent plus devant rien


Un candidat d’extrême-droite dépose la marque « Nouveau Front populaire »


On a appris le mercredi 03 juillet que Bertrand Potier avait entrepris des démarches pour déposer l’appellation (Nouveau) Front populaire auprès de l’Institut national de la propriété industrielle (INPI). Il accuse certains de ses membres d' »antisémitisme » et d’attenter à la mémoire de Léon Blum. Cette intention émane d’un militant d’un parti d’extrême-droite à Épernay (Marne).



Le « point de détail de l’histoire » de Jean-Marie Le Pen n’était pas antisémite, selon un candidat RN du Haut-Rhin


Lors d’un débat sur BFM Alsace mercredi 3 juillet, Laurent Gnaedig, candidat du Rassemblement national dans la 1ʳᵉ circonscription du Haut-Rhin, a estimé que les propos de Jean-Marie Le Pen sur les chambres à gaz n’étaient « pas une remarque antisémite ». Il s’est excusé dans la soirée, et a indiqué qu’il était convoqué par la direction de son parti.



« Génocide de masse », ces propos polémiques sur l’IVG refont surface


Dans la 1e circonscription de la Haute-Marne, le duel entre la candidate Horizons, Bérangère Abba et le candidat Rassemblement National Christophe Bentz a fait remonter à la surface des propos polémiques, utilisés comme arguments. Le député sortant avait en effet comparé l’IVG à un « génocide de masse ».



Drôle de campagne

 

L’étrange campagne de Marine le Pen et Jordan Bardella qui ont déserté le terrain

 

Ni meeting, ni déplacement, les deux têtes d’affiche du Rassemblement national ont disparu de la campagne sur le terrain et n’apparaissent qu’en télé ou en radio.

La campagne pour les législatives touche bientôt à sa fin puisqu’il ne reste plus que trois jours de terrain pour les candidats. Certains reçoivent le soutien des cadres de leur famille politique : Gabriel Attal est dans l’Oise, Marine Tondelier en Ile-de-France, et Manuel Bompard soutient des Insoumis dans le Rhône. En revanche, pas de trace de Marine Le Pen ou de Jordan Bardella sur le terrain, au point que l’on en vient à se demander à quoi jouent les deux têtes d’affiche du RN.



Comment les sphères prorusses tentent d’influencer les élections législatives


Les élections législatives en France ont été ciblées par plusieurs tentatives d’ingérence prorusse sur les réseaux sociaux ou via des sites internet, selon plusieurs publications récentes. Objectif : favoriser l’extrême droite au détriment des autres forces politiques.



Derrière la campagne de désinformation contre RSF, Progressif Media, une boîte d’influence sulfureuse hébergée par Vivendi, le groupe contrôlé par Bolloré


En enquêtant sur un faux site créé pour nuire à Reporters sans frontières (RSF), notre organisation a découvert une vaste campagne de discrédit orchestrée par une société qui, sous couvert de “communication”, mène en réalité des opérations d’influence en utilisant des techniques rappelant celles des officines du Kremlin en matière de désinformation. Cette société n’est pourtant pas liée à la Russie. Elle est hébergée en plein cœur de Paris, par Vivendi, le groupe contrôlé par la famille de Vincent Bolloré.



Marine Tondelier privée de débat sur BFM TV : insupportable invisibilisation des femmes et de l’écologie, déni démocratique et journalistique


Après avoir débattu avec Manuel Bompard et Olivier Faure, Gabriel Attal et Jordan Bardella devaient retrouver Marine Tondelier, la patronne des Ecologistes, ce mercredi soir sur BFM TV. Le patron de la chaîne et celui du RN en auront décidé autrement.



Bardella bientôt à Matignon ? les éditorialistes sont déjà aux ordres !


Comme à son habitude, Ruth Elkrief a alimenté les “flop” par sa mauvaise foi, son outrance et, surtout, son parti pris sans limite, tout comme son frère d’armes Cyril Hanouna et sa sœur de combat, Laurence Ferrari. Les Grandes gueules de RMC et l’inénarrable Pascal Praud ont également été distingués pour leur dérive durant cette campagne de l’entre-deux tours. Un “flop d’or” a été exceptionnellement décerné à l’ancienne députée socialiste Anne-Yvonne le Daim pour un tweet raciste visant Rima Hassan, mais en réponse à un autre tweet de Rima Abdul Malak, l’ancienne ministre macroniste de la Culture.



« Son nom, comme ça, je ne pourrais pas vous le dire… » : dans les Landes, les électeurs du RN votent pour des « candidats fantômes »


Qualifiés pour le second tour des élections législatives, dimanche, de nombreux candidats du Rassemblement national sont aux abonnés absents dans cette campagne d’entre-deux tours.



Ce qui nous attend

 

Éducation, jeunesse, sécurité, préférence nationale : que nous apprennent les propositions de loi déposées par les députés RN depuis 2022


Alors que le deuxième tour des élections législatives approche et que l’extrême droite pourrait former un gouvernement pour la première fois sous la Ve République, il nous a paru utile de nous intéresser aux propositions de loi déposées par les députés du Rassemblement national (RN) au cours de la 16e législature de 2022 à 2024.



Le programme énergie du Rassemblement National : surconsommation et flambée des factures d’énergie


Dans la campagne européenne puis cette campagne législative, les prix de l’énergie et de l’électricité sont devenus un sujet phare pour les candidats. 

C’est bien normal : alors que les factures d’électricité ont grimpé de 40% depuis 2021 et que le pouvoir d’achat est un sujet de préoccupation majeur, tout électeur est en droit de se demander s’il est condamné à payer plus cher ses factures d’énergie. 



Dans le Nord, le RN prêt à sacrifier les nouveaux emplois verts


Arrivé largement en tête à Douai, dans le Nord, le Rassemblement national se pose en sauveur des travailleurs. Tout en se montrant prêt à sacrifier des milliers d’emplois.



« Promotion du charlatanisme », « des mesures à l’encontre des principes de santé publique », des soignants jugent le programme santé du RN


 « Le Nouvel Obs » a soumis les mesures emblématiques défendues par le parti d’extrême droite en matière de santé à plusieurs organisations professionnelles. Toutes sont vent debout.



L’État de droit, cible régulière de l’extrême-droite en France comme en Europe


Forte de son score aux récentes élections européennes et législatives, l’extrême-droite française se trouve en position de force pour accéder au pouvoir en France. Une possibilité qui inquiète au vu de certaines mesures du programme du Rassemblement national et des déclarations passées de certains de ses membres.



« Le RN ne respecte pas les droits de l’homme »


Selon Jean-Marie Burguburu, le président de la Commission nationale consultative des droits de l’homme, l’arrivée au pouvoir du RN pourrait constituer un réel danger pour les droits et les libertés. Il assure que son institution redoublerait alors d’efforts pour leur protection.



Danger immédiat : il n’y a pas de « oui mais » avec l’extrême-droite


Elle consumera tout, ses ennemis, les tièdes et finalement ses amis.

Il n’est plus l’heure de refuser de voter untel ou unetelle sous prétexte qu’ils ne seraient pas démocratiquement purs. Partout, tout le temps, il faut barrer la route au Rassemblement national. Car c’est le parti de la haine et la haine consume tout. Y compris ceux qui auront hésité à faire barrage.



À Paris, un « Comedy club » d’humoristes immigrés pour rire « avant l’expulsion »


À quatre jours du second tour des élections législatives en France, l’association d’aide aux réfugiés Singa a organisé la deuxième édition d’un « Newcomer Comedy Club » à la Gaité Lyrique de Paris autour de sept humoristes issus de l’immigration. Un stand-up mordant où le rire « forcément politique » apparaît comme un exutoire à l’heure où l’extrême droite est aux portes du pouvoir.


Lundi

 

Tout est en place : l’arsenal législatif, le fonctionnement institutionnel, l’habitude de l’obéissance, la surveillance globale, le racisme intrinsèque. Caligula est déjà à l’Elysée ; ses troupes s’apprêtent à envahir l’Assemblée. Chez Camus, l’empereur fou assume : il me faut des coupables. Et ils le sont tous.


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8 mars: journée internationale des droits des femmes


La Marseillaise revisitée par Catherine Ringer pour l’inscription de l’IVG dans la Constitution

 


A l’occasion de la cérémonie publique place Vendôme où le sceau de la République a été apposé sur la loi inscrivant l’IVG dans la constitution française, la chanteuse française Catherine Ringer a interprété une Marseillaise revisitée, pour une « loi pure dans la Constitution »


A Troyes cet après-midi

 


Prise de parole inter-organisations féministes auboises

Face aux attaques du gouvernement, des droites et extrêmes droites, partout les femmes résistent !

Grève féministe !

Nous appelons à la grève du travail, des tâches domestiques, de la consommation. Parce que seules nos voix, nos cris, nos actions visibles pourront faire bouger la société et le pouvoir pour enfin obtenir l’égalité.

Solidarité avec les femmes du monde entier !

Le 8 mars, nous sommes en grève en solidarité avec nos sœurs confrontées aux guerres qui sévissent dans le monde.

En solidarité avec celles qui font face à des bombardements massifs, à l’exode, sont victimes de viols de guerre, peinent à nourrir leur famille et elles-mêmes.

En solidarité avec toutes celles qui se défendent farouchement pour recouvrer leur liberté et leurs droits.

NON à la réaction, NON à l’extrême droite

Les idées d’extrême droite qui prônent la haine de l’autre, le racisme, la misogynie, la LGBTQIAphobie, remportent des succès électoraux partout dans le monde, se banalisent. En France, le gouvernement et la droite en reprennent à leur compte.

La loi immigration votée en décembre dernier en est un exemple. Même si un tiers des dispositions, comme celles instituant la préférence nationale ont été invalidées par le Conseil constitutionnel, cette loi raciste s’attaque au droit d’asile et à tou·te·s les sans-papiers.

Nous réclamons l’abrogation de la loi immigration et la régularisation de tou·te·s les sans-papiers.

Nous voulons vivre et pas survivre !

Les inégalités salariales, les bas salaires et désormais l’inflation dégradent les conditions de vie. Les femmes représentent 62% des personnes payées au SMIC et 70% des bénéficiaires des banques alimentaires. Plus de 9 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté. 300 000 personnes dont 3000 enfants vivent dans la rue. Certaines en meurent.

Nous demandons la hausse des salaires, la revalorisation des minimas sociaux, la construction massive de logements sociaux.

Du travail et des salaires décents

Les femmes, notamment les mères isolées, sont particulièrement impactées par la vie chère, elles occupent des emplois mal rémunérés, sont souvent percutées par la précarité et le temps partiel imposé et touchent un salaire en moyenne ¼ inférieur à celui des hommes. Les femmes, dont les retraites sont 40% inférieures à celles des hommes, sont encore plus impactées par la dernière réforme.

Nous réclamons l’abrogation de la réforme Macron des retraites, des lois qui pénalisent les chômeurs·euses et les bénéficiaires du RSA. Nous réclamons la revalorisation des métiers féminisés (éducation, soin, nettoyage…), l’égalité salariale, l’interdiction du temps partiel imposé, la transformation des CDD en CDI. Nous voulons la retraite à 60 ans avec 37,5 annuités.


Des services publics au service de nos besoins

L’idéologie libérale vise à casser et à privatiser les services publics : hôpital, école, EHPAD, logement. Ce sont les femmes qui compensent cette carence auprès des enfants comme des plus âgé·e·s, des malades, au détriment de leur carrière, de leur autonomie financière, de leur santé.

Elles assument la grande majorité des tâches domestiques et d’éducation des enfants. Elles portent une charge mentale les obligeant à devoir constamment tout planifier.

Nous voulons des services publics de qualité et réclamons la création de services publics de la petite enfance et de la perte d’autonomie.

Nous voulons du temps pour vivre, un partage égal des tâches, une réduction du temps de travail pour toutes et tous.


Notre corps nous appartient

Depuis le 4 mars 2024 la liberté d’avorter est inscrite dans la Constitution française. C’est une première mondiale et sa portée symbolique est considérable. Mais elle n’efface ni les difficultés à accéder réellement à l’IVG, ni l’instrumentalisation politique qu’en fait Emmanuel Macron. La suppression de centres IVG, pas moins de 130 ces dernières années, l’affaiblissement des services publics, l’attaques contre l’hôpital font que de nombreux obstacles perdurent et le recours à l’avortement reste inégal selon le profil, le niveau social ou le lieu de vie. Ce n’est pas normal.

Nous réclamons la réouverture de tous les centres d’interruption volontaires de grossesse fermés ainsi qu’un large plan de garantie de l’accès à l’IVG soit mis en place dès les prochains jours pour permettre à toutes les femmes d’y avoir accès.

Macron appelle à un “réarmement démographique », aux relents pétainistes et natalistes, comme si le désir d’enfant dépendait de l’injonction politique et nous prépare un congé de naissance tout en pointant du doigt des parents «défaillants».


LGBTQIA, nous voulons pouvoir faire nos choix de vie, vivre librement notre orientation sexuelle, nos identités.

Handicapées, nous subissons toutes les violences. Nous sommes privées de nos droits à l’autonomie, à l’éducation, à l’emploi, aux soins, et à la procréation. Nous voulons notre indépendance économique, l’accessibilité universelle à l’ensemble de l’espace public et à tous les lieux et bâtiments.

Stop aux violences sexistes et sexuelles

#MeToo est partout, dans tous les milieux. L’impunité persiste, 1% des viols sont condamnés. Macron se permet d’apporter son soutien à Depardieu, mis en examen pour viol et se porte ainsi garant de tout un schéma d’oppression. Les violences obstétricales et gynécologiques (VOG) sont systémiques et impunies. 9% des femmes se disent victimes de brutalités dans le soin selon le Haut Conseil à l’Égalité. Ce dernier insiste sur la persistance du sexisme chez les plus jeunes.
Quand 56% des victimes de violences sexuelles sont des mineur·e·s et 160 000 enfants victimes par an, Macron décapite la Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants et fait silence sur les 30 000 témoignages recueillis.

Alors que la France accueillera cet été les Jeux Olympiques et Paralympiques, nous demandons la mise en place d’actions concrètes pour lutter contre toutes les violences sexistes et sexuelles, protéger les victimes et combattre les réseaux de traite prostitutionnelle et de proxénétisme.

Nous voulons restaurer la CIIVISE (Commission Indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants) dans son but initial et suivre ses recommandations. Nous réclamons trois milliards pour lutter contre les violences, l’application des lois existantes, le vote d’une loi-cadre contre les violences masculines à l’encontre des femmes, des enfants et des minorités de genre.<


Éduquer à l’égalité, un enjeu majeur

Une éducation à l’égalité doit permettre aux enfants de comprendre les mécanismes de domination s’exerçant dans notre société.

Nous voulons une éducation non sexiste, la mise en place effective d’une éducation à la vie affective et sexuelle qui intègre les notions de désir et de plaisir, d’une éducation au consentement et à l’égalité.

Les femmes face aux changements climatiques

Face aux changements climatiques, les femmes sont plus vulnérables que les hommes, en grande partie parce qu’elles représentent la majorité des pauvres dans le monde (70% des 1,3 milliards de personnes en-dessous du seuil de pauvreté), et qu’elles dépendent davantage des ressources naturelles menacées. 80% des déplacé·e·s suite à une catastrophe naturelle liée aux changements climatiques sont des femmes et des filles.

Nous revendiquons la participation pleine et égale des femmes et filles aux processus de décisions et aux projets de gestion de l’environnement doit être une priorité absolue. Pas d’avenir durable, sans égalité des genres !

Pour terminer rappelons la mise en garde de Simone de Beauvoir : « une crise politique, économique ou religieuse suffirait pour remettre en question le droit des femmes ». C’est flagrant en Afghanistan depuis la prise de pouvoir des talibans en 2021, où une guerre ouverte contre les droits des femmes et des filles est menée dans tout le pays, les talibans ne cessant de mettre en place des restrictions dans le but d’effacer complètement les filles et les femmes de la société, en les privant de leurs libertés. Et cela pourrait bien arriver ici, les relents patriarcaux nauséabonds de l’extrême droite et du gouvernement en sont des alertes bien réelles. Nous ne devons ni ne pouvons baisser les bras !

Le 8 mars, nous sommes en grève et manifestons contre le patriarcat et ce gouvernement !

Après l’inscription de l’IVG dans la Constitution, la presse internationale salue un vote « historique »


Que ce soit aux Etats-Unis, en Espagne, en Allemagne, ou encore en Argentine, les médias sont revenus sur la « cérémonie solennelle et émouvante » du Congrès à Versailles.

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Comment ont voté nos élu.e.s?

Sénatrices
Député.e.s

Source: franceinfo:

Chronique d’une constitutionnalisation attendue : l’adoption du projet de loi constitutionnelle garantissant l’interruption volontaire de grossesse



Alors que le projet de loi constitutionnelle inscrivant l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution française est devant le Congrès, retour sur les débats qui ont agité les assemblées.

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Dernière minute

IVG dans la Constitution : la mesure est adoptée avec 780 des voix

IVG dans la Constitution : comment ont voté les sénateurs de Champagne-Ardenne ?


Après l’Assemblée nationale, le Sénat a adopté mercredi le projet de loi constitutionnelle relatif à la liberté de recourir à l’interruption volontaire de grossesse. Découvrez comment ont voté les sénateurs et sénatrices de Champagne-Ardenne.

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Débat: La Liberté d’être essentialisé·e·s ?

IVG : pourquoi le Sénat pourrait retarder l’inscription du droit à l’avortement dans la Constitution


Le sénateur LR Philippe Bas a introduit un amendement qui modifie la formulation du projet de loi constitutionnelle voté en janvier par les députés. Or, si le texte est modifié à la chambre haute, il repartira pour une nouvelle lecture à l’Assemblée.

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Vote crucial au Sénat pour l’inscription de l’IVG dans la Constitution française


DROIT À L’IVG, LIBERTÉ GARANTIE, QUELLE DIFFÉRENCE ?


DERNIERE MINUTE: le projet de loi adopté par le Sénat

 


Les sénateurs ont approuvé le texte déjà adopté par l’Assemblée nationale fin janvier. Cette validation par la Chambre haute ouvre la voie à la réunion des parlementaires en Congrès à Versailles début mars en vue d’une révision constitutionnelle.

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Révision constitutionnelle : le retour de la droite anti-IVG


Début mars, la France pourrait être le premier pays à « garantir la liberté d’avorter » dans sa Constitution. A moins que les élus LR les plus réactionnaires ne fassent tout capoter…

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CNews assimile l’IVG à une « cause de mortalité » dans le monde et présente ses excuses

IVG dans la Constitution : l’Assemblée nationale valide très largement l’inscription d’une « liberté garantie »


Pour que la révision de la Constitution puisse poursuivre son chemin, il faudra que le Sénat dominé par la droite et le centre, adopte le texte dans les mêmes termes. Mais la formulation choisie suscite des réticences dans la majorité sénatoriale.

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Argentine: un vent mauvais souffle sur les droits des femmes sous la présidence Milei


Tandis que les droits des femmes avancent en Pologne, ils régressent dans d’autres parties du monde, et notamment en Argentine. Le nouveau président Javier Milei veut revenir sur plusieurs droits conquis ces derniers années, et notamment sur celui à l’avortement, voté fin 2020.

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Inscription de l’IVG dans la Constitution : l’avenir du projet de loi est-il remis en cause après l’opposition du président du Sénat ?


Le président Les Républicains du Sénat, Gérard Larcher, a indiqué mardi sur franceinfo, qu’il ne souhaitait pas que le droit à l’interruption volontaire de grossesse soit inscrit dans la Constitution.

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IVG dans la Constitution : trois chiffres pour comprendre la réalité de l’avortement en France


CONSTITUTIONNALISATION DE L’IVG : LA LIBERTÉ À Y RECOURIR SERA T-ELLE IRRÉVERSIBLE ?

Gérard Larcher ne souhaite pas l’inscription de l’IVG dans la Constitution car « ce n’est pas un catalogue de droits sociaux et sociétaux »


Le président du Sénat entend « préserver » un « principe de la loi Veil : d’abord le droit des femmes, et ensuite, après un certain délai, le droit de l’enfant à naître ».

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La mouvance anti-IVG toujours vivace en France

IVG dans la Constitution : le projet de loi présenté en Conseil des ministres


Le projet de loi inscrivant l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution est présenté mardi en Conseil des ministres, une mesure réclamée de longue date par les associations féministes, qui saluent l’initiative mais regrettent la formulation retenue.

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Journée internationale pour le droit à l’avortement




De Malte à la Thaïlande, quand les femmes se heurtent aux nombreuses entraves au droit à l’avortement


Droit à l’avortement: une grande disparité sur le continent africain


Droit à l’avortement aux États-Unis : comment les femmes contournent les interdictions


Six arguments pour convaincre quelqu’un qui est contre le droit à l’avortement 


Les Françaises encore confrontées à des difficultés pour accéder à l’avortement

Partout, manifestons le 28 septembre pour défendre le droit à l’avortement

Mexique: la Cour suprême dépénalise l’avortement dans tout le pays



C’est un pas de plus en faveur du droit à l’avortement au Mexique. Mercredi, la Cour suprême de la nation a dépénalisé l’avortement au niveau fédéral.

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En Italie, Giorgia Meloni rogne l’accès à l’IVG


Giorgia Meloni, la présidente du Conseil, a assuré ne pas vouloir toucher à la loi de 1978 qui dépénalise l’avortement. Mais, au niveau local, les régions gouvernées par la coalition de droite multiplient les obstacles à l’avortement. Et les discours le condamnent de plus en plus explicitement.

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Un an après l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade, le droit à l’avortement en péril aux États-Unis


Il y a tout juste un an, la Cour suprême des États-Unis tirait un trait sur un demi-siècle de droit constitutionnel à l’avortement. L’arrêt Dobbs annulait l’emblématique arrêt Roe versus Wade qui avait légalisé l’IVG en 1973 et laissait à chaque État américain, le soin de légiférer sur la question. Depuis, la plupart des États républicains ont révoqué ou restreint le droit à l’IVG. C’est le cas en Floride où le gouverneur, Ron DeSantis, fait campagne à la droite de Donald Trump pour l’investiture républicaine.

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Droits à IVG: sur le terrain, un accès toujours fragile en France

Droits à l’IVG: «Bienvenue dans l’enfer des femmes» en Pologne


Depuis 2020, avorter est quasiment illégal en Pologne. La Cour constitutionnelle a réduit l’accès à l’IVG au point que 90% des avortements pratiqués jusqu’alors sont désormais illégaux. Fin mai 2023, une femme est morte dans un hôpital pour ne pas avoir eu accès à un avortement. Les militants pro-avortement se sont réunis mi-juin dans tout le pays pour lui rendre hommage.

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Droits à l’IVG: en Irlande, restrictions, intimidations et inégalités géographiques


Dans quel monde vit-on ?


Santé : la Sécu veut transférer 500 millions de frais dentaires aux mutuelles

 

Richard Ferrand veut changer la constitution pour qu’Emmanuel Macron puisse se représenter à la présidentielle


La liberté d’expression des magistrats en danger 

 

Qui sont les vrais fraudeurs sociaux ?


Droits à l’IVG: l’Union européenne impuissante face aux tentatives de retour en arrière

Loi anti-IVG : des milliers de Polonaises manifestent après la mort d’une femme qui n’a pas pu avorter


Cette trentenaire est décédée à la suite d’une septicémie provoquée par la mort dans son ventre de son fœtus de 20 semaines, sans pouvoir bénéficier d’une IVG alors que sa vie était en danger.

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