Dominique Bernard et Samuel Paty

France: un enseignant poignardé à mort et deux blessés dans un lycée à Arras


Un homme a été interpellé après avoir tué un enseignant et blessé grièvement deux personnes dans un lycée du nord de la France ce vendredi. Une attaque qui intervient dans un contexte de crainte d’importation du conflit entre Israël et le Hamas en France, et près de trois ans jour pour jour après l’assassinat de Samuel Paty. 

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Dans l’après-midi du 16 octobre 2020, Samuel Paty est assassiné par un islamiste tchétchène. Il venait d’avoir 47 ans. Il était père d’un petit garçon. Samuel Paty aimait la musique, le rock des années 80, surtout Sigur Rós, U2, Goran Bregovic, Pink Floyd et Apocalyptica. Il était passionné d’histoire, appréciait la poésie, lisait Baudelaire, Balzac, Maupassant, Zola, Flaubert et Julien Green. Il jouait souvent aux échecs.
Au tennis et au ping-pong aussi. Dans la salle des professeurs, il déambulait avec sa tasse « Star Wars » à la main. Ses élèves l’appréciaient pour son enseignement… et pour ses blagues consignées dans un carnet jamais loin de son cahier de classe. Un jour, il avait dit à une ancienne élève : « Je voudrais que ma vie et ma mort servent à quelque chose ». Valérie Igounet est historienne, journaliste et directrice adjointe de l’Observatoire du conspirationnisme.
Ses recherches se situent au croisement de l’histoire politique et de l’histoire des idées. Spécialiste du négationnisme, du complotisme et de l’extrême droite en France après 1945, elle a publié plusieurs ouvrages sur ces sujets. Guy Le Besnerais dessine depuis l’enfance, expérimente la BD aux Ateliers des Beaux-Arts de Paris et rejoint l’association BD54. Après une carrière d’ingénieur de recherches, il décide de se consacrer à l’illustration en 2021.
Crayon noir est son premier roman graphique. Coloriste BD depuis plusieurs années, Mathilda a notamment réalisé la mise en couleurs des Algues vertes (Delcourt, 2019) et de Flic (Goutte d’Or, 2021).

Paru le 06/10/2023

Editeur STUDIOFACT

Broché 160 pages

UN LIEN ENTRE CATASTROPHES NATURELLES ET HAUSSE DES MARIAGES FORCES

Par Jean Camus (Les brèves de Jean)


Des effets peu escomptés, selon une étude publiée dans la revue International Social Work, des enquêtes menées entre 1990 et  2022 par des chercheurs de l’université de l’OHIO  dans des pays en voie de développement.

Des inondations, des sécheresses, des cyclones ou appauvrissement des sols. Au Bangladesh, une vague de chaleur de plus de trente  jours, le  nombre de mariages de filles entre 11 et 14 ans a augmenté de 50%, en Ethiopie, le mariage forcé a augmenté  en moyenne de 119% en 2022 durant la  sécheresse la plus dure depuis 40 ans.

Selon l’UNICEF, 640 millions de femmes ont été mariées alors qu’elles étaient mineures.

Les chercheurs notent que les familles avaient atténué l’impact de la sécheresse pour les filles par la dot.

Le mariage forcé peut donc  être utilisé comme un mécanisme de « protection ». «  C’est pensé comme une façon de protéger l’enfant, alors qu‘on sait que c’est le contraire ».

Les filles mariées  avant 15 ans ont près de 50%  de risques d’être victimes de violence conjugale.

Les chercheurs notent que l’éducation joue un rôle important ; selon le niveau de scolarité des enfants et des parents l’incidence des mariages forcés diminue. Mais la « plupart du temps, en situation d’urgence, la fille est perçue comme un fardeau dont il faut se décharger d’une manière ou d’une autre »

[…]« le changement climatique ne fait qu’exacerber des inégalités ou des oppressions qui existent déjà ».  Ces catastrophes « intensifient des éléments d’oppression systématiques, comme les inégalités de genre ».   

Source Le Monde mardi 19 sept 2023

Royaume-Uni : Conditions de vie déplorables pour les enfants et leurs familles en quête d’asile



Cette situation a un impact profond sur la santé physique et mentale des demandeurs et l’accès à l’éducation de leurs enfants.

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Moyens alloués, besoins des citoyens, concurrence du privé… Ce que révèle un rapport accablant sur l’état des services publics en France



Le collectif Nos services publics a analysé deux décennies de politiques publiques et les a comparées à l’évolution des besoins, dans l’éducation, la santé, la justice, la sécurité ou encore les transports.

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Service national universel : dans un centre de Haute-Savoie, deux cadres mis à pied après des punitions physiques « humiliantes »



Deux encadrants ont imposé une séance de pompes sur les poings, dans les graviers, à des participants, qui ont protesté. Une punition en principe prohibée et un conflit qui illustre deux visions opposées du SNU.

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Afghanistan : Les talibans commettent des crimes contre l’humanité liés au genre



Les femmes et les filles sont ciblées par ces actes ; la CPI est mandatée pour engager des poursuites dans les affaires de persécution liée au genre.

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« Abaya » : au-delà des gesticulations, reconstruire du commun

Hausse alarmante des attaques contre l’éducation dans le monde



La guerre en Ukraine et d’autres conflits majeurs ont causé une grande partie de cette augmentation.

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RENTRÉE SCOLAIRE ET ACCÈS À L’ÉDUCATION : LES 5 POINTS DE VIGILANCE DE LA DÉFENSEURE DES DROITS



A la veille de la rentrée scolaire, la Défenseure des droits, Claire Hédon, et son adjoint Défenseur des enfants, Eric Delemar, s’inquiètent des entraves au droit à l’éducation des enfants. En effet, de nombreux enfants rencontrent des difficultés pour avoir accès à l’école.

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A l’école, un siècle de lutte contre les signes religieux : crucifix, voile, abaya..



Depuis l’introduction de l’école laïque, plusieurs lois et circulaires ont été émises pour faire face à la multiplication des symboles religieux, chrétiens hier, musulmans aujourd’hui.

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LE MINISTRE DE L’EDUCATION NATIONALE GABRIEL ATTAL SOUHAITE INTERDIRE L’ABAYA À L’ÉCOLE : QU’EN DIRA LE JUGE ?



L’interdiction de l’abaya dans les écoles n’est conforme à la loi que s’il s’agit réellement d’un vêtement religieux. Si tel n’est pas le cas, le fait de le porter en signe d’appartenance religieux peut aussi justifier l’interdiction. Mais attention à ne pas créer de principe trop rigide et trop général.

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Rentrée scolaire : au moins 1 990 enfants sont sans solution d’hébergement, un nombre en hausse de 20% sur un an, selon l’Unicef



L’Unicef et la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS), qui publient un rapport mercredi, appellent le gouvernement « à mettre en œuvre une politique de la rue au logement » sur les temps « de l’urgence » et « du long terme ».

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Troyes : pour l’uniforme à l’école ?

Par Rémy Dufaut



Mais qu’a donc derrière la tête François Baroin[1], président de la banque Barclays et accessoirement maire de Troyes, qui va faire expérimenter dès cette rentrée scolaire le retour de l’uniforme dans cinq écoles troyennes ?

Fidèle à cette idée qui lui tient à cœur depuis au moins vingt ans déjà (alors député, il en avait fait la proposition à J.P. Raffarin, premier Ministre), chercherait-il à reprendre la main à Robert Ménard[2], lui-même soutenu plus récemment par le RN[3], Brigitte Macron[4] et Gabriel Attal[5], entre autres ?

Moyen de lutte contre le harcèlement scolaire pour les uns, mesure visant à réduire les inégalités, solution au port ostentatoire de vêtements religieux ou bien atteinte à la libre disposition de soi[6], voire encore préparation au SNU pour les autres, cette idée a donc ses partisans comme ses détracteurs.

Pourtant, il semble que cela ne soit en réalité qu’un faux débat et ces dames et messieurs ont tendance à vouloir mettre la charrue avant les bœufs, car « Imposer l’uniforme à tous les élèves, supposerait assurément l’intervention d’une loi, car seule la loi peut restreindre les libertés de façon générale (article 34 de la Constitution). »[7]

[1] Uniforme à l’école : Troyes a toujours cet objectif et n’a pas attendu le ministre de l’Éducation Nationale pour le faire savoir

[2] Béziers candidate pour expérimenter l’uniforme à l’école

[3] UNIFORME OBLIGATOIRE À L’ÉCOLE : L’ASSEMBLÉE REJETTE LE TEXTE DU RASSEMBLEMENT NATIONAL

[4] Brigitte Macron favorable au port de l’uniforme à l’école

[5] Harcèlement scolaire, calendrier et uniforme, Gabriel Attal détaille ses travaux de rentrée

[6] La libre disposition de soi !

[7] PEUT-ON IMPOSER L’UNIFORME À L’ÉCOLE EN FRANCE ?

Quelle place pour l’enfant dans le monde et nos sociétés ?



Une journée consacrée à la non-violence éducative est célébrée en France, depuis 2004. Une journée qui s’est d’abord appelée journée contre la fessée. Une manifestation américaine à l’origine. Cette année est la 20è édition de la journée de la non-violence en France qui s’inscrit, bien sûr, dans un contexte plus large de mobilisation mondiale autour de la place de l’enfant dans nos sociétés. Une question fondamentale aux répercussions géopolitiques importantes. 

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« Bien trop petit » interdit aux mineurs : l’écrivain Nicolas Mathieu va publier un recueil de récits érotiques adolescents de ses abonnés sur Instagram



Après la décision de Gérald Darmanin, le romancier, prix Goncourt en 2018, avait lancé un appel à témoignages, avec le hashtag #Wheniwas15.

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Après « Bien trop petit », un second livre destiné aux ado pourrait être censuré pour ses scènes de sexe



Comme le roman « Bien trop petit » interdit aux moins de 18 ans par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, le recueil de nouvelles « Chaud » édité dans la même collection par Thierry Magnier a reçu un avertissement de la part de la commission jeunesse. Pourquoi ? Peut-il également être interdit ? Explications.

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Lycée militaire du Prytanée : quand l’ultradroite déclenche une mutinerie





Au Prytanée national militaire de La Flèche, dans la Sarthe, un petit groupe de lycéens a vandalisé les locaux de l’établissement et blessé plusieurs personnels encadrants. Ils ont été traduits en justice en mai dernier. Quelques articles ont paru dans la presse, mais les faits rapportés ont été plutôt édulcorés. Selon nos infos, il s’agissait d’un petit groupe d’extrême droite qui voulait défier l’autorité
militaire.

Le Prytanée est un monde à part. C’est l’un des six ­lycées de la défense français, qui accueille notam­ment des enfants de militaires au sein de son internat, dont beaucoup embrasseront une carrière dans la grande muette. L’établissement est à la fois sous la direction de l’armée de terre et de l’Éducation nationale. Un monde à part, car, pour l’aborder, il faut apprendre tout un jargon propre à l’établissement, comme « marab », qui désigne l’aumônier militaire, qui, dit-on, a le pouvoir de faire et défaire les réputations de profs ou d’élèves. Autre exemple, le « bordel quartier ». Comprenez : un moment de chahut autorisé par le Prytanée, qui fait partie des « activités de tradition ». La hiérarchie militaire le tolère, tant que cela reste dans un cadre à peu près festif, à base de chants militaires, de déguisements, d’épreuves sportives, de plongée dans des fontaines d’eau froide… Mais cette fois-là, le 24 mars 2022, c’est autre chose qui se passe.En pleine nuit, plusieurs dizaines d’élèves de première et de terminale, masqués et encapuchonnés, ont entrepris de saccager l’établissement. Ils s’en sont pris aux locaux, mais aussi au personnel surveillant l’internat ce soir-là. Bilan : une surveillante a été blessée au poignet et au cou, une autre a reçu un coup au visage, une autre a été bousculée. Des cadres militaires ont été plaqués au sol, roués de coups, certains ont eu plusieurs jours d’arrêt de travail. Côté matériel : 10 vitres ont été brisées, 12 extincteurs endommagés, une fenêtre et trois portes cassées. Étonnamment, certains encadrants auraient eu vent que quelque chose de violent se préparait. On avait alors dit aux élèves de seconde de rester à l’intérieur de leurs quartiers de l’internat et de se barricader, mais les plus grands auraient défoncé les portes. Les élèves se sont alors réfugiés dans le gymnase, des sous-­officiers se sont interposés pour les protéger. C’est à ce moment que plusieurs d’entre eux auraient été frappés. « Ils cherchaient à taper des sous-officiers », précise un proche d’une personne qui travaille au Prytanée. Au lendemain de cette soirée d’émeutes, signe de l’importance de ce qui s’est passé, le général de division Philippe César ­Baldi, commandant la formation de l’armée de terre, s’est rendu sur place pour présenter les excuses de l’armée de terre aux cadres de l’établissement qui avaient été blessés.

Des émeutiers d’ultradroite

À lire les articles sur le sujet dans la presse locale, les mobiles de ce chahut seraient « les 100 jours avant le bac », ou encore la protestation contre une hiérarchie trop dure envers des secondes. Sauf qu’il y a un élément jusque-là passé sous silence dans les médias : les « émeutiers » s’apparenteraient à un petit groupe d’extrême droite. Ces violences se sont déroulées d’ailleurs dans un contexte de campagne présidentielle. « Plusieurs des émeutiers sont proches de Reconquête !, on a vu certains d’entre eux s’investir dans la campagne de Zemmour et coller des affiches », témoigne un enseignant en poste au moment des faits. Stanislas Rigault, porte-parole des jeunes avec Zemmour, n’est pas impliqué lui-même dans ces mutineries, mais il est un ancien du Prytanée, ce qui fait dire à plusieurs enseignants que des liens ont pu être conservés.Plus largement, cette « sédition » est révélatrice d’un problème de fond au Prytanée. « L’établissement est devenu un refuge de lycéens engagés à l’extrême droite, il y en a beaucoup plus qu’avant », témoigne l’enseignant. Ils restent minoritaires, mais « ils ont un pouvoir disproportionné par rapport à leur effectif », m’explique-t-on. La source qui travaille sur place ­affirme avoir vu dans les locaux, outre des affiches pro-Zemmour, des drapeaux sudistes, royalistes, des auto­collants L’Action française, et même une croix gammée. Un autre professeur évoque la présence de « mouvements néofascistes ».

Un colonel « sous le choc »

Nous avons contacté l’armée de terre pour obtenir sa réaction. Le commandant en charge de la communication minimise : il souligne que la qualification d’émeutes est « inappropriée », et assure également qu’il s’agit « avant tout d’un chahut lancé à l’occasion du père Cent [tradition qui veut qu’à 100 jours du baccalauréat les élèves se déguisent, ndlr], traditionnellement bon enfant et qui en l’occurrence, sous l’impulsion de quelques élèves qui se sont mal conduits, a dégénéré ».Pourtant, le chef de corps de l’établissement d’alors, le colonel Emmanuel Dosseur, dénonce lui-même, via un mail envoyé en interne, une action « préparée avec la ferme volonté de défier l’autorité ». Il pointe lui aussi la présence de certains groupes d’élèves : « Il appartiendra au commandement supérieur […] de s’interroger sur le recru­tement de certaines familles d’ultra­conservateurs défiant toute forme d’autorité légitime par principe […] Il y a là un enjeu majeur de la restauration de l’autorité « objective » de la hiérarchie militaire, de l’autorité du professeur, du rôle de l’adulte, etc. » Il se dit « sous le choc », estime avoir été « trahi par une population, heureusement extrêmement réduite, dont nous n’imaginions pas la capacité à se transformer en « black blocs » ». 

Face à cette situation, l’équipe enseignante s’est fracturée. Une partie a demandé un droit de retrait le lendemain, quand d’autres estimaient qu’il n’y avait pas matière à s’inquiéter. Depuis cet événement, plusieurs enseignants ont demandé leur mutation. Pour l’un d’entre eux, ces émeutes étaient un « point de non-retour ». Un autre estime que cette crise était prévisible, que les équipes éducatives ont accepté des « hiérarchies parallèles », certains élèves étant eux-mêmes nommés par exemple « préfets de police ». « C’était une erreur stratégique du commandement de s’allier avec ces groupes-là », dénonce-t-il. Il semblerait aussi, selon le témoignage de plusieurs enseignants, que des élèves se sentent d’autant plus autorisés à agir de la sorte que leurs parents sont des hauts gradés de l’armée. Au-delà de ces violences, certains élèves n’hésitent pas à contester l’enseignement qui leur est dispensé : en cours d’histoire, certains, dans la lignée de Zemmour, affirmeraient que Pétain a sauvé des Juifs. On apprend aussi en discutant avec un enseignant que des élèves ont crevé les pneus d’un prof. « Du vandalisme qu’on imaginerait pas dans un lycée tel que le Prytanée », glisse-t-il.


Des peines faiblardes

Après ces violences, 22 élèves sont passés devant le conseil de discipline. « Ces événements ont été condamnés et sanctionnés fermement par le commandement », nous assure l’armée. Mais quelques-uns auraient été retirés du lycée par leurs parents, avant une éventuelle sanction, pour éviter toute trace dans le dossier scolaire. La direction a par ailleurs porté plainte, et plusieurs élèves ont été poursuivis en justice. Là encore, des parents gradés seraient intervenus auprès des gendarmes en charge de l’enquête pour exercer une certaine pression.En mai dernier, trois anciens élèves, Tugdual, Victor et Margaux, âgés de 19 et 20 ans, ont comparu devant le tribunal du Mans pour « outrage, rébellion et violences ». France Bleu, qui a suivi le procès, rapporte le mea culpa de ces jeunes, qui rêvent toujours d’une carrière militaire. Les peines sont plutôt faibles : soixante-dix heures de travaux d’intérêt général (TIG). On ne peut s’empêcher de comparer ce verdict aux peines beaucoup plus sévères à l’encontre des émeutiers issus des « quartiers populaires », parfois condamnés à de la prison ferme. La procureure d’ailleurs avait requis trois mois de prison avec sursis en plus des soixante-dix heures de TIG. Elle avait mis en avant le profil de « ces jeunes gens de bonne famille qui n’avaient jamais eu affaire à la justice auparavant », comme le rapporte France Bleu. Pauvres petits choux.En septembre prochain, cinq leaders seront jugés devant le tribunal pour enfants, étant mineurs au moment des faits. Une chose est sûre, les généraux « putschistes » qui avaient signé une tribune dans Valeurs actuelles ont trouvé leurs rejetons.  

Laure Daussy

  👉 Du même auteur : Violences policières : un rapport contre le racisme enterré ?

Un article offert par Charlie

Pap Ndiaye, un pari raté à la tête de l’Education nationale


Invité surprise du gouvernement Borne en 2022, Pap Ndiaye, premier ministre noir de l’Education nationale, universitaire reconnu mais sans expérience politique, n’aura jamais réussi à dépasser le statut de symbole dans l’ombre d’un président omniprésent sur l’école.

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« L’extrême droite a obtenu le départ de Pap Ndiaye du gouvernement »

France: un livre jeunesse censuré pour des scènes jugées «pornographiques»


Un livre jeunesse sur la sexualité vient d’être interdit à la vente aux mineurs par un arrêté du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin. Certains passages de Bien trop petit ont été jugés « pornographiques » et donc susceptibles de représenter un danger pour les mineurs. L’éditeur dénonce un acte de censure sans précédent.

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