LE MINISTRE DE L’EDUCATION NATIONALE GABRIEL ATTAL SOUHAITE INTERDIRE L’ABAYA À L’ÉCOLE : QU’EN DIRA LE JUGE ?



L’interdiction de l’abaya dans les écoles n’est conforme à la loi que s’il s’agit réellement d’un vêtement religieux. Si tel n’est pas le cas, le fait de le porter en signe d’appartenance religieux peut aussi justifier l’interdiction. Mais attention à ne pas créer de principe trop rigide et trop général.

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Rentrée scolaire : au moins 1 990 enfants sont sans solution d’hébergement, un nombre en hausse de 20% sur un an, selon l’Unicef



L’Unicef et la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS), qui publient un rapport mercredi, appellent le gouvernement « à mettre en œuvre une politique de la rue au logement » sur les temps « de l’urgence » et « du long terme ».

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Troyes : pour l’uniforme à l’école ?

Par Rémy Dufaut



Mais qu’a donc derrière la tête François Baroin[1], président de la banque Barclays et accessoirement maire de Troyes, qui va faire expérimenter dès cette rentrée scolaire le retour de l’uniforme dans cinq écoles troyennes ?

Fidèle à cette idée qui lui tient à cœur depuis au moins vingt ans déjà (alors député, il en avait fait la proposition à J.P. Raffarin, premier Ministre), chercherait-il à reprendre la main à Robert Ménard[2], lui-même soutenu plus récemment par le RN[3], Brigitte Macron[4] et Gabriel Attal[5], entre autres ?

Moyen de lutte contre le harcèlement scolaire pour les uns, mesure visant à réduire les inégalités, solution au port ostentatoire de vêtements religieux ou bien atteinte à la libre disposition de soi[6], voire encore préparation au SNU pour les autres, cette idée a donc ses partisans comme ses détracteurs.

Pourtant, il semble que cela ne soit en réalité qu’un faux débat et ces dames et messieurs ont tendance à vouloir mettre la charrue avant les bœufs, car « Imposer l’uniforme à tous les élèves, supposerait assurément l’intervention d’une loi, car seule la loi peut restreindre les libertés de façon générale (article 34 de la Constitution). »[7]

[1] Uniforme à l’école : Troyes a toujours cet objectif et n’a pas attendu le ministre de l’Éducation Nationale pour le faire savoir

[2] Béziers candidate pour expérimenter l’uniforme à l’école

[3] UNIFORME OBLIGATOIRE À L’ÉCOLE : L’ASSEMBLÉE REJETTE LE TEXTE DU RASSEMBLEMENT NATIONAL

[4] Brigitte Macron favorable au port de l’uniforme à l’école

[5] Harcèlement scolaire, calendrier et uniforme, Gabriel Attal détaille ses travaux de rentrée

[6] La libre disposition de soi !

[7] PEUT-ON IMPOSER L’UNIFORME À L’ÉCOLE EN FRANCE ?

Quelle place pour l’enfant dans le monde et nos sociétés ?



Une journée consacrée à la non-violence éducative est célébrée en France, depuis 2004. Une journée qui s’est d’abord appelée journée contre la fessée. Une manifestation américaine à l’origine. Cette année est la 20è édition de la journée de la non-violence en France qui s’inscrit, bien sûr, dans un contexte plus large de mobilisation mondiale autour de la place de l’enfant dans nos sociétés. Une question fondamentale aux répercussions géopolitiques importantes. 

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« Bien trop petit » interdit aux mineurs : l’écrivain Nicolas Mathieu va publier un recueil de récits érotiques adolescents de ses abonnés sur Instagram



Après la décision de Gérald Darmanin, le romancier, prix Goncourt en 2018, avait lancé un appel à témoignages, avec le hashtag #Wheniwas15.

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Après « Bien trop petit », un second livre destiné aux ado pourrait être censuré pour ses scènes de sexe



Comme le roman « Bien trop petit » interdit aux moins de 18 ans par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, le recueil de nouvelles « Chaud » édité dans la même collection par Thierry Magnier a reçu un avertissement de la part de la commission jeunesse. Pourquoi ? Peut-il également être interdit ? Explications.

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Lycée militaire du Prytanée : quand l’ultradroite déclenche une mutinerie





Au Prytanée national militaire de La Flèche, dans la Sarthe, un petit groupe de lycéens a vandalisé les locaux de l’établissement et blessé plusieurs personnels encadrants. Ils ont été traduits en justice en mai dernier. Quelques articles ont paru dans la presse, mais les faits rapportés ont été plutôt édulcorés. Selon nos infos, il s’agissait d’un petit groupe d’extrême droite qui voulait défier l’autorité
militaire.

Le Prytanée est un monde à part. C’est l’un des six ­lycées de la défense français, qui accueille notam­ment des enfants de militaires au sein de son internat, dont beaucoup embrasseront une carrière dans la grande muette. L’établissement est à la fois sous la direction de l’armée de terre et de l’Éducation nationale. Un monde à part, car, pour l’aborder, il faut apprendre tout un jargon propre à l’établissement, comme « marab », qui désigne l’aumônier militaire, qui, dit-on, a le pouvoir de faire et défaire les réputations de profs ou d’élèves. Autre exemple, le « bordel quartier ». Comprenez : un moment de chahut autorisé par le Prytanée, qui fait partie des « activités de tradition ». La hiérarchie militaire le tolère, tant que cela reste dans un cadre à peu près festif, à base de chants militaires, de déguisements, d’épreuves sportives, de plongée dans des fontaines d’eau froide… Mais cette fois-là, le 24 mars 2022, c’est autre chose qui se passe.En pleine nuit, plusieurs dizaines d’élèves de première et de terminale, masqués et encapuchonnés, ont entrepris de saccager l’établissement. Ils s’en sont pris aux locaux, mais aussi au personnel surveillant l’internat ce soir-là. Bilan : une surveillante a été blessée au poignet et au cou, une autre a reçu un coup au visage, une autre a été bousculée. Des cadres militaires ont été plaqués au sol, roués de coups, certains ont eu plusieurs jours d’arrêt de travail. Côté matériel : 10 vitres ont été brisées, 12 extincteurs endommagés, une fenêtre et trois portes cassées. Étonnamment, certains encadrants auraient eu vent que quelque chose de violent se préparait. On avait alors dit aux élèves de seconde de rester à l’intérieur de leurs quartiers de l’internat et de se barricader, mais les plus grands auraient défoncé les portes. Les élèves se sont alors réfugiés dans le gymnase, des sous-­officiers se sont interposés pour les protéger. C’est à ce moment que plusieurs d’entre eux auraient été frappés. « Ils cherchaient à taper des sous-officiers », précise un proche d’une personne qui travaille au Prytanée. Au lendemain de cette soirée d’émeutes, signe de l’importance de ce qui s’est passé, le général de division Philippe César ­Baldi, commandant la formation de l’armée de terre, s’est rendu sur place pour présenter les excuses de l’armée de terre aux cadres de l’établissement qui avaient été blessés.

Des émeutiers d’ultradroite

À lire les articles sur le sujet dans la presse locale, les mobiles de ce chahut seraient « les 100 jours avant le bac », ou encore la protestation contre une hiérarchie trop dure envers des secondes. Sauf qu’il y a un élément jusque-là passé sous silence dans les médias : les « émeutiers » s’apparenteraient à un petit groupe d’extrême droite. Ces violences se sont déroulées d’ailleurs dans un contexte de campagne présidentielle. « Plusieurs des émeutiers sont proches de Reconquête !, on a vu certains d’entre eux s’investir dans la campagne de Zemmour et coller des affiches », témoigne un enseignant en poste au moment des faits. Stanislas Rigault, porte-parole des jeunes avec Zemmour, n’est pas impliqué lui-même dans ces mutineries, mais il est un ancien du Prytanée, ce qui fait dire à plusieurs enseignants que des liens ont pu être conservés.Plus largement, cette « sédition » est révélatrice d’un problème de fond au Prytanée. « L’établissement est devenu un refuge de lycéens engagés à l’extrême droite, il y en a beaucoup plus qu’avant », témoigne l’enseignant. Ils restent minoritaires, mais « ils ont un pouvoir disproportionné par rapport à leur effectif », m’explique-t-on. La source qui travaille sur place ­affirme avoir vu dans les locaux, outre des affiches pro-Zemmour, des drapeaux sudistes, royalistes, des auto­collants L’Action française, et même une croix gammée. Un autre professeur évoque la présence de « mouvements néofascistes ».

Un colonel « sous le choc »

Nous avons contacté l’armée de terre pour obtenir sa réaction. Le commandant en charge de la communication minimise : il souligne que la qualification d’émeutes est « inappropriée », et assure également qu’il s’agit « avant tout d’un chahut lancé à l’occasion du père Cent [tradition qui veut qu’à 100 jours du baccalauréat les élèves se déguisent, ndlr], traditionnellement bon enfant et qui en l’occurrence, sous l’impulsion de quelques élèves qui se sont mal conduits, a dégénéré ».Pourtant, le chef de corps de l’établissement d’alors, le colonel Emmanuel Dosseur, dénonce lui-même, via un mail envoyé en interne, une action « préparée avec la ferme volonté de défier l’autorité ». Il pointe lui aussi la présence de certains groupes d’élèves : « Il appartiendra au commandement supérieur […] de s’interroger sur le recru­tement de certaines familles d’ultra­conservateurs défiant toute forme d’autorité légitime par principe […] Il y a là un enjeu majeur de la restauration de l’autorité « objective » de la hiérarchie militaire, de l’autorité du professeur, du rôle de l’adulte, etc. » Il se dit « sous le choc », estime avoir été « trahi par une population, heureusement extrêmement réduite, dont nous n’imaginions pas la capacité à se transformer en « black blocs » ». 

Face à cette situation, l’équipe enseignante s’est fracturée. Une partie a demandé un droit de retrait le lendemain, quand d’autres estimaient qu’il n’y avait pas matière à s’inquiéter. Depuis cet événement, plusieurs enseignants ont demandé leur mutation. Pour l’un d’entre eux, ces émeutes étaient un « point de non-retour ». Un autre estime que cette crise était prévisible, que les équipes éducatives ont accepté des « hiérarchies parallèles », certains élèves étant eux-mêmes nommés par exemple « préfets de police ». « C’était une erreur stratégique du commandement de s’allier avec ces groupes-là », dénonce-t-il. Il semblerait aussi, selon le témoignage de plusieurs enseignants, que des élèves se sentent d’autant plus autorisés à agir de la sorte que leurs parents sont des hauts gradés de l’armée. Au-delà de ces violences, certains élèves n’hésitent pas à contester l’enseignement qui leur est dispensé : en cours d’histoire, certains, dans la lignée de Zemmour, affirmeraient que Pétain a sauvé des Juifs. On apprend aussi en discutant avec un enseignant que des élèves ont crevé les pneus d’un prof. « Du vandalisme qu’on imaginerait pas dans un lycée tel que le Prytanée », glisse-t-il.


Des peines faiblardes

Après ces violences, 22 élèves sont passés devant le conseil de discipline. « Ces événements ont été condamnés et sanctionnés fermement par le commandement », nous assure l’armée. Mais quelques-uns auraient été retirés du lycée par leurs parents, avant une éventuelle sanction, pour éviter toute trace dans le dossier scolaire. La direction a par ailleurs porté plainte, et plusieurs élèves ont été poursuivis en justice. Là encore, des parents gradés seraient intervenus auprès des gendarmes en charge de l’enquête pour exercer une certaine pression.En mai dernier, trois anciens élèves, Tugdual, Victor et Margaux, âgés de 19 et 20 ans, ont comparu devant le tribunal du Mans pour « outrage, rébellion et violences ». France Bleu, qui a suivi le procès, rapporte le mea culpa de ces jeunes, qui rêvent toujours d’une carrière militaire. Les peines sont plutôt faibles : soixante-dix heures de travaux d’intérêt général (TIG). On ne peut s’empêcher de comparer ce verdict aux peines beaucoup plus sévères à l’encontre des émeutiers issus des « quartiers populaires », parfois condamnés à de la prison ferme. La procureure d’ailleurs avait requis trois mois de prison avec sursis en plus des soixante-dix heures de TIG. Elle avait mis en avant le profil de « ces jeunes gens de bonne famille qui n’avaient jamais eu affaire à la justice auparavant », comme le rapporte France Bleu. Pauvres petits choux.En septembre prochain, cinq leaders seront jugés devant le tribunal pour enfants, étant mineurs au moment des faits. Une chose est sûre, les généraux « putschistes » qui avaient signé une tribune dans Valeurs actuelles ont trouvé leurs rejetons.  

Laure Daussy

  👉 Du même auteur : Violences policières : un rapport contre le racisme enterré ?

Un article offert par Charlie

Pap Ndiaye, un pari raté à la tête de l’Education nationale


Invité surprise du gouvernement Borne en 2022, Pap Ndiaye, premier ministre noir de l’Education nationale, universitaire reconnu mais sans expérience politique, n’aura jamais réussi à dépasser le statut de symbole dans l’ombre d’un président omniprésent sur l’école.

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« L’extrême droite a obtenu le départ de Pap Ndiaye du gouvernement »

France: un livre jeunesse censuré pour des scènes jugées «pornographiques»


Un livre jeunesse sur la sexualité vient d’être interdit à la vente aux mineurs par un arrêté du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin. Certains passages de Bien trop petit ont été jugés « pornographiques » et donc susceptibles de représenter un danger pour les mineurs. L’éditeur dénonce un acte de censure sans précédent.

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La polémique


Pratiques policières


Emeutes suite à la mort de Nahel : les observateurs des Pratiques Policières pris à partie par les forces de l’ordre à Toulouse

 

«Choc», «moment George Floyd» et récupération: les émeutes en France vues de l’étranger


« Violences policières »


L’usage fait par la LDH de l’expression « violences policières » lui est reproché par des citoyens attentifs au respect de l’institution et du droit républicains. L’un d’entre eux nous interpelle en citant le Conseil de l’Europe qui parle d’ « usage excessif de la force », et non pas de « violences policières », expression au fond absurde en République.[…] la police, en tant qu’institution républicaine, ne peut pas être dite violente, c’est-à-dire injuste, contraire au droit institué républicain.

Nous faisons pour notre part référence au Conseil des droits de l’homme de l’ONU au sein duquel plusieurs pays ont notamment pointé le recours à la force jugé excessif ces derniers mois envers les manifestants opposés à la réforme des retraites et clairement évoqué récemment discriminations raciales et violences policières.

Nous ajouterons que les inquiétudes dépassent largement le cadre de la LDH puisque celles-ci sont également signalées par la Fédération Internationale des Droits Humains (FIDH) comme on peut le lire ICI.

Le débat mérite d’être poursuivi. Pour l’alimenter, on pourra relire, entre autres, Violences policières, généalogie d’une violence d’état de Michel Kokoreff ainsi que Violences policières. Le devoir de réagir de William Bourdon et Vincent Brengarth.



Nouveau rassemblement contre les violences policières à Troyes


Émeutes à Troyes : les premières condamnations pénales sont tombées

On peut par ailleurs se demander si le moment est bien choisi par la Ville de Troyes pour couper les vivres à l’Association Jeunesse pour Demain  en se défaussant sur le département pour le financement des postes d’éducateurs de prévention auprès des jeunes des quartiers (voir ICI). Le choix de remplacer la proximité humaine par des caméras et des vigiles ne semble pas, à la lumière des événements qui ont marqué les dernières nuits troyennes, la meilleure solution…


Communiqué du maire de Trappes

Troyes lâche l’AJD

Troyes : les éducateurs de rue de l’AJD craignent pour leur emploi

Enseignement privé : un séparatisme social jamais vraiment nommé


Le secteur privé aggrave la séparation des milieux sociaux à l’école et dégrade les conditions de scolarité des enfants de milieux populaires dans le secteur public. Subventionné à 73 % par l’État, l’enseignement privé ne supporte pas les contraintes du service public. Pire, il le concurrence. Le point de vue de la sociologue Fabienne Federini.

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Iran : exiger l’arrêt immédiat des exécutions et l’abolition universelle de la peine de mort

Journées citoyennes au CFA AFTRAL avec la LDH


Le CFA AFTRAL forme sur le site de la zone industrielle de Torvilliers des conducteurs de marchandises (CAP de chauffeurs routiers), des gestionnaires en logistique (TSMEL) et des ambulanciers (diplôme d’Etat).

A l’occasion des journées citoyennes organisées au CFA AFTRAL, la section de la Ligue des droits de l’homme est intervenue les 4, 5 et 6 avril 2023 pour animer des sessions sur l’égalité femmes/hommes et la diversité.

Au cours de ces sessions, 3 bénévoles de la LDH ont informé et sensibilisé les apprenants, leurs tuteurs et les formateurs, soit 41 personnes, sur l’égalité des chances à la lumière de l’égalité femmes/hommes d’une part et sur la détection, la prévention et la lutte contre des discriminations d’autre part.

A travers des mises en situation et des cas pratiques, les participants ont pu identifier les principaux critères de discriminations qui portent atteinte à la dignité des personnes dont les origines, le sexe, la couleur de peau, le handicap, le genre, l’âge, le lieu de résidence, la situation de famille, l’apparence physique… et échangé sur la législation qui protège les personnes et vise à assurer l’égalité de traitement entre elles.

Ils ont abordé les situations de harcèlement, constitutives d’agissements discriminatoires qui portent ou sont susceptibles de porter atteinte à la santé physique et mentale et qui peuvent résulter d’humiliations et de critiques, d’une mise à l’écart et d’un isolement, de sanctions injustifiées, du discrédit ou de conditions de travail dégradantes, qu’ils soient du fait de la hiérarchie ou de collègues. Ils ont évoqué les mesures pour prévenir et éviter les discriminations au titre de la prévention des risques professionnels dans l’entreprise que doit prendre l’employeur en lien avec les représentants du personnel et les salariés, sachant que l’employeur est responsable de la santé physique et mentale des salariés de son entreprise.

Ils ont aussi traité des droits et obligations des salariés et des employeurs en ce domaine, des conduites à tenir en cas de discrimination ou de situation d’harcèlement (pour un témoin et pour une victime), des bonnes pratiques et des comportements à adopter pour promouvoir le bien-travailler et le bien-vivre ensemble dans l’entreprise.

Hubert Bruneel

CIDFF de l’AUBE



Dans le cadre de la campagne #InfoJeunesProstitution, la FNCIDFF-Fédération nationale des CIDFF a établi un partenariat avec le film « Noémie dit oui », de Geneviève Albert, qui sortira le 26 avril prochain au cinéma. Ce film aborde la thématique des violences sexistes et sexuelles, et notamment, la prostitution des mineures, phénomène multiforme encore mal connu du grand public.

Le CIDFF de l’Aube vous propose de venir assister à l’avant-première de ce film, qui se déroulera le mercredi 12 avril prochain à 19h, au CGR de Troyes. Cette projection sera suivie d’un échange avec les structures présentes, dont le CIDFF de l’Aube.

La Cour européenne des droits de l’homme condamne la Hongrie pour «ségrégation scolaire»


La CEDH avait été saisie par un jeune Rom de Hongrie, représenté par le Centre européen des droits des roms, une ONG basée à Bruxelles (ERRC). Le jeune homme estime avoir été privé d’une éducation de bonne qualité en raison de ses origines roms.

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Enfant en situation de handicap : les pères doivent prendre leurs responsabilités, les pouvoirs publics aussi


Un collectif d’élues parisiennes rappelle que neuf familles monoparentales d’enfants en situation de handicap sur dix sont gérées par des mères seules. Des mères qui vivent un parcours du combattant face aux défaillances des institutions.

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Arrestation d’un journaliste qui couvrait la vague d’empoisonnements des écolières iraniennes


Les autorités iraniennes ont arrêté Ali Pourtabatabaei, l’un des premiers journalistes à avoir couvert la mystérieuse vague d’empoisonnements des écolières iraniennes qui a débuté en novembre 2022. RSF dénonce cette arrestation et demande la libération immédiate du journaliste. 

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Afghanistan: les filles ne sont toujours pas autorisées à étudier à l’université


Ce lundi 6 mars, les garçons ont repris les cours dans les universités afghanes après la longue coupure hivernale. Les filles, à leur grand désarroi, ne sont toujours pas autorisées à étudier par le régime taliban.

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