Quand la presse locale se livre aux manipulations les plus grossières…


Réponse d’Olivier Girardin, maire de La Chapelle saint-Luc, Vice-Président de la communauté d’agglomération Troyes Champagne Métropole, Conseiller départemental du canton Troyes 3, candidat du Nouveau Front Populaire aux élections législatives sur la 3ème circonscription du département de l’Aube:

« Faire les petites moqueries habituelles sur les politiques à 24h d’un scrutin aussi tendu et décisif… C’est plus que discutable mais… C’est leur droit, leur liberté… Jusque-là. Les tricasseries sont une « institution ». Gentiment irrévérencieuse, dans le style « fou du roi propre sur lui » … Parfois c’est drôle, parfois moins… Parfois cela moque nos petits (ou grands) travers, parfois c’est juste taquin… C’est rarement malveillant et encore moins l’expression d’un choix éditorial ou polémique… Et pourtant, ce matin… Je lis une fois, deux fois… Je ne vois rien de drôle dans ce qui est raconté me concernant. C’est juste malveillant jusqu’au contresens, avec une conclusion visant explicitement à tenter de disqualifier ma candidature pour cause de cynisme et/ou de tromperie. L’objet : La hausse des salaires et du point d’indice… J’ai dit depuis le début de la campagne que je voulais répondre à l’inquiétude légitime que j’aurais pu moi aussi partager pour ma commune S’IL N’Y AVAIT pas de compensation à cette forte hausse immédiate... Mais que, bien évidemment, celle-ci était prévue et que c’est justement à cela que servait entre autres, la taxation des 370 familles françaises les plus riches de France qui contribuent deux fois moins que chacun d’entre nous au service de la Nation. On peut en débattre, on peut le combattre, mais pas escamoter le raisonnement pour me faire apparaître comme un menteur et un cynique. Je suis d’autant plus à l’aise pour l’affirmer que je prends EXACTEMENT le même exemple dans le débat sur canal 32 jeudi soir et que chacun peut donc vérifier ce que je dis et la manipulation grossière de l’EE ce matin ».

Législatives : comment les politiques utilisent les réseaux sociaux pour influencer les jeunes qui s’apprêtent à voter



TikTok se retrouve au cœur de la campagne pour les législatives. Un nouveau moyen parfois pour les plus jeunes de découvrir la politique. Le célèbre réseau social peut-il influencer le vote de ces électeurs débutants ? Romain Fargier, chercheur spécialiste des réseaux sociaux, a travaillé sur la question.



LÉGISLATIVES 2024 : DÉMÊLER LE VRAI DU FAUX SUR LA SANTÉ, ÉTERNELLE ABSENTE DES ÉLECTIONS


Délais d’attentes qui s’accentuent, urgences et lits qui se ferment les uns après les autres, une médecine de ville qui peine à recevoir le surplus de patients qui sortent des hôpitaux bondés : l’accès aux soins est toujours en peine. Les Surligneurs font le point sur les chiffres importants.




QUIZ : ACTUALITÉ ET DÉSINFORMATION


Il est devenu très difficile de naviguer dans l’actualité au milieu de la désinformation toujours plus présente. Voici des sujets qui ont fait l’actualité et qui ont été victimes de fake news. Avez-vous été intoxiqués par cette désinformation ?




DÉSINFORMATION : EMMANUEL MACRON ET L’UKRAINE, CATALYSEURS D’INFOX LORS DES ÉLECTIONS EUROPÉENNES


Pays fondateur de l’Union européenne, la France a été la cible de nombreuses fausses informations dans le cadre du scrutin européen. Principal terreau du phénomène : la guerre en Ukraine, comme l’expliquent les médias européens engagés dans la vérification d’informations.


Législatives: pourquoi nous ne voulons vraiment pas de l’extrême-droite



Les multiples incohérences de Jordan Bardella sur l’immigration, la TVA, les ingérences…


Propositions inapplicables, mesures non financées, dispositifs déjà abandonnés… A l’occasion du premier débat des législatives, le président du Rassemblement national n’a pu masquer les limites de son projet.

Il voulait se présenter comme un homme prêt à exercer le pouvoir, mais Jordan Bardella a surtout affiché les failles importantes du programme du Rassemblement national (RN) et quelques-unes de ses contradictions, lors du débat organisé mardi 25 juin, sur TF1



« Si Bardella devient Premier ministre, qu’est-ce qui va se passer ? » : étrangers et Français issus de l’immigration redoutent une victoire du RN aux législatives


Le Rassemblement national est favori des sondages en vue des élections législatives, organisées le 30 juin et le 7 juillet. Des personnes issues de l’immigration confient à franceinfo leurs craintes dans l’hypothèse d’une arrivée au pouvoir du parti.

« On est inquiets et très stressés », lâche Maïa, dans un mélange de français et d’anglais. En 2023, cette Géorgienne de 40 ans racontait à franceinfo comment elle avait quitté son pays quatre ans plus tôt, avec son mari et ses cinq enfants, pour fuir la pauvreté. Un an plus tard, déboutée à deux reprises du droit d’asile depuis 2019, Maïa et sa famille sont toujours là et ont trouvé une « stabilité ».

Au printemps, la quadra a même déposé une demande de régularisation à la préfecture de Cergy (Val-d’Oise). Avec son CDI de femme de ménage dans un hôtel parisien, et habitant en France depuis cinq ans, elle remplit les conditions pour obtenir une carte de séjour d’un an, renouvelable. Mais Maïa joue contre la montre. Comme de nombreux sans-papiers, mais aussi des étrangers résidant légalement en France et des Français issus de l’immigration, elle s’inquiète d’une possible victoire du Rassemblement national (RN) aux législatives. Et pour cause : tous seraient, à des degrés différents, concernés par des mesures du parti si ce dernier arrivait au pouvoir.



Racistes, homophobes, complotistes, pro-Poutine : ces candidats RN qui n’avancent pas masqués


Le Rassemblement national de Marine Le Pen et Jordan Bardella ne serait plus raciste, antisémite ou homophobe ? Les propos et actes d’un certain nombre de leurs candidats viennent contredire cette illusion.

Lors des prochaines élections législatives des 30 juin et 7 juillet, le Rassemblement national pourrait doubler voire tripler le nombre de ses députée·es. De quoi faire entrer à l’Assemblée nationale une multitude de profils caractéristiques de l’extrême droite. À l’heure où le camp présidentiel a choisi de renvoyer dos à dos l’extrême-droite et la gauche, l’observation minutieuse du CV de plusieurs candidats investis par le RN ne laisse pas place au doute.



Du côté de chez Bolloré…« Ils veulent accueillir des millions et des millions et des millions d’immigrés… »


Les chaînes du milliardaire réactionnaire ont bousculé leurs programmes pour les législatives. De Pascal Praud (CNews) à Cyril Hanouna (Europe 1), elles mènent à l’unisson une violente campagne à droite toute. On y croise aussi des figures émergentes comme le journaliste Yoann Usai. Chronique.



Législatives 2024 : les femmes sont-elles investies dans les circonscriptions les moins favorables ?


En plus d’être sous-représentées dans les effectifs de candidats aux élections législatives, les femmes héritent souvent de circonscriptions difficiles à remporter.

Après la dissolution de l’Assemblée nationale par le président de la République, Emmanuel Macron, le 9 juin, les 577 sièges de députés sont remis en jeu le 30 juin et le 7 juillet. Alors que seulement 37,3 % des élus sortants sont des femmes, les quatre principales forces politiques en lice – Nouveau Front populaire (NFP), Ensemble, Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN) – respectent-elles la parité dans les candidatures ?





Morceaux choisis

 

Comme un air de haine

Nous centralisons les dérapages des candidats d’extrême-droite

Le racisme, l’antisémitisme, l’homophobie, le sexisme, sont largement partagés à l’extrême-droite. Contrairement à une idée désormais bien ancrée dans la population et dans certaines rédactions, le RN n’a pas changé. Il ne s’est pas normalisé. Comment tenir compte de toutes les sorties de route des candidats. d’extrême-droite ? En créant un mini-site. C’est le but de Airdehaine.fr



« Ma grand-mère vote Rassemblement national depuis qu’elle regarde CNews »


LEURS PROCHES SONT DES FANATIQUES DE PASCAL PRAUD

Peur du grand remplacement, racisme décomplexé, rapport complotiste à la vérité… Des enfants et petits-enfants d’adeptes de la chaîne de Bolloré témoignent de l’extrême-droitisation des téléspectateurs les plus aguerris.


France TV : une déontologie à géométrie variable


Alors que les cinq membres de la SDJ (société des journalistes) du siège parisien de France 3 sont interdits de couverture de la campagne électorale après avoir signé un appel contre l’extrême droite, Blast a repéré les tweets très politiques d’un rédacteur en chef : Patrice Romedenne. Un homme qui tire à boulets rouges sur le Nouveau front populaire, accusé sans nuance d’être complice d’antisémitisme et d’être pro-Hamas. Injures, partage de messages de personnalités proches de l’extrême droite et relais de fake news : ces messages contreviennent à la charte du groupe public.




Que fait la police ?

 

Racisme et antisémitisme : les messages d’une unité de CRS sur WhatsApp révélés par le «Canard enchaîné»


Dans une enquête à paraître mercredi 26 juin, l’hebdomadaire révèle les photomontages racistes et antisémites partagés par l’unité CRS 4 sur leur boucle WhatsApp. Après avoir relaté des dérives à sa hiérarchie, le commandant de cette brigade aurait été évincé.

Au-dessus d’une photo de migrants dont l’embarcation se retourne, le titre «Petit Chavire» et la légende «avec des vrais morceaux de migrants dedans». Sur le photomontage d’un Adolf Hitler sortant de l’Elysée, une citation inventée : «Sortons du nucléaire et repassons tous au gaz.» «Et on vous épargne le pire…» rapporte pourtant le Canard enchaîné dans une enquête sur la compagnie de CRS 4, en kiosques mercredi 26 juin.



Violences policières, l’escalade ?


Sous Macron, la police a tué deux fois plus que sous Sarkozy, et tiré cinq fois plus au LBD sur la population. Macron ne cesse de jouer au rempart contre « les extrêmes ». Pourtant, ces chiffres montrent l’extrême violence d’une politique policière assumée.



Pour une police au service des citoyens et pas de l’extrême droite


Flavien Benazet, secrétaire général du SNUIPN, et Jean-Louis Arajol, ex-Secrétaire Général du SGP et de la FASP, Association Démocratie et Sécurité, Collectif Police République et Citoyenneté, signent ensemble une tribune pour alerter sur les possibles conséquences désastreuses d’une arrivée au pouvoir de l’extrême_droite pour les effectifs de police.




Lots de consolation

 

Violences du 1er-Mai 2018 en France: Alexandre Benalla définitivement condamné à un an de prison ferme


La Cour de cassation a rejeté ce 26 juin le pourvoi formé par l’ex-chargé de mission de l’Élysée Alexandre Benalla, rendant définitive sa condamnation à un an de prison ferme dans l’affaire des violences du 1er mai 2018.

Six ans après ce scandale qui a secoué le premier quinquennat d’Emmanuel Macron, la décision de la plus haute juridiction judiciaire confirme la condamnation en appel d’Alexandre Benalla à trois ans de prison, dont un an ferme, prononcée le 29 septembre 2023 par la cour d’appel de Paris.



Le GUD et trois structures de l’extrême droite lyonnaises officiellement dissous


Le gouvernement a annoncé ce mercredi 26 juin la dissolution du groupuscule d’extrême droite Groupe union défense (GUD) et de trois autres organisations de Lyon.

Le Groupe union défense (GUD) a enfin été dissous ce mercredi 26 juin, a annoncé la porte-parole du gouvernement, Prisca Thévenot, lors du compte rendu du Conseil des ministres. «Il a été présenté ce matin […] des propositions de dissolution de groupement de fait et d’associations», a-t-elle expliqué. Outre l’organisation parisienne, ces dissolutions concernent les groupes Les Remparts, La Traboule et Top Sport Rhône.

L’extrême-droite a tout faux: témoignages



SPLANN: LA PAROLE À NOS LANCEURS D’ENQUÊTE


Et vous, comment ça va depuis le 9 juin ? Nous vous avons posé cette question, à vous qui nous alertez chaque jour. Comment l’annonce des résultats du Rassemblement national aux élections européennes et la dissolution de l’Assemblée nationale vous touche depuis votre quotidien, vos engagements et vos combats. Voici la réponse de neuf lanceurs et lanceuses d’enquêtes bretons.



Face au RN, des scientifiques du climat résolus à «faire monter la digue»


Science refuse. À quelques jours du premier tour des élections législatives anticipées en France, de nombreux scientifiques ont décidé de se mobiliser publiquement contre l’extrême droite. Vert a interrogé plusieurs d’entre elles et eux.



L’immigration: ooouh !

De nombreuses personnalités politiques, à droite et à l’extrême-droite, s’expriment régulièrement pour dénoncer « l’immigration massive » vers la France.

Discours qui ne manquent pas de résonner aux oreilles fragiles d’honnêtes citoyens français


Haro sur les médias !



« On a vraiment l’impression d’enterrer la radio » : à Europe 1, malaise autour de la nouvelle émission de Cyril Hanouna


Cyril Hanouna anime depuis une semaine une émission de décryptage politique sur les ondes d’Europe 1. Une arrivée en fanfare qui a déjà valu à la chaîne privée – sous pavillon Bolloré – une sévère mise en garde de l’Arcom. En coulisses, le retour de l’animateur provoque des gros remous au sein de la rédaction.



Chez Pascal Praud, diabolisation de la gauche et soutien explicite à l’extrême-droite qui « n’existe plus en France »


DU CÔTÉ DE CHEZ BOLLORÉ… Les chaînes du milliardaire réactionnaire ont bousculé leurs programmes pour les législatives. De Pascal Praud (CNews) à Cyril Hanouna (Europe 1), elles mènent à l’unisson une violente campagne à droite toute. Chronique.



Sur le service public aussi…


« Cette fois c’est vraiment la dernière » : Charline Vanhoenacker évoque la fin du « Grand dimanche soir » sur France Inter.

À l’occasion de la dernière du « Grand dimanche soir » de la saison, ce dimanche 23 juin, la journaliste et humoriste belge n’a pas donné rendez-vous aux auditeurs à la rentrée prochaine, laissant entendre que l’émission ne serait pas reconduite.

Le Front populaire a-t-il donné les pleins pouvoirs à Pétain, comme l’affirment des comptes d’extrême droite ?



La coalition de gauche élue en 1936 a pris fin en 1938. Si des anciens élus de ce mouvement ont pu participer au vote du 10 juillet 1940, la plupart d’entre eux se trouvaient à droite de l’échiquier politique.

Près d’un siècle après le Front populaire de Léon Blum, les principaux partis de gauche se sont alliés au sein d’un Nouveau Front populaire afin de faire barrage à l’extrême droite aux élections législatives anticipées convoquées par Emmanuel Macron. Mais déjà, certains internautes raillent l’intitulé de cette alliance, invoquant l’histoire : « Quel nom funeste ! C’est le Front populaire qui a voté les pleins pouvoirs à Pétain », assure une utilisatrice sur le réseau social X. Une théorie aussi avancée par Pierre Sautarel, fondateur du site identitaire Fdesouche.

C’est « une formulation injuste historiquement et politiquement », résume Serge Wolikow

Idées et débats: « cordon sanitaire » et pluralisme médiatique, être juif et de gauche, contrecarrer les imaginaires d’extrême-droite…



Épineuse question que celle-ci : où commence et s’arrête la liberté d’expression ? Toutes les idées se valent-elles ? Doit-on interdire toute parole d’extrême-droite ? Ou les combattre par le débat ? Alors que le fascisme n’a jamais été aussi près du pouvoir, et étend toujours plus son emprise médiatique, tentative d’analyse.



Etre juif et de gauche dans la France qui implose.


Simon Assoun, porte-parole du collectif juif décolonial Tsedek, et Arié Alimi, auteur de Juif, français, de gauche… dans le désordre (La Découverte) ont tenu parole. Après un premier débat Au Poste, le 6 mai dernier, qui a vu se confronter leurs points de vue, les voilà de retour — comme promis. Et cette fois, en public.

Pour cette seconde joute, on a évoqué longuement l’antisémitisme à gauche, les accusations qui lui sont faites, à tort, à travers, et à raison aussi. Bien entendu, la discussion a glissé sur la redistribution des cartes avec le Nouveau Front Populaire. 



Contrecarrer les imaginaires d’extrême droite : l’Appel des librairies indépendantes


« Dans nos diversités, nous œuvrons tous les jours pour faire de nos librairies des lieux de rencontre, de culture, de mise en avant de voix invisibilisées et de la variété du travail éditorial francophone. » Un ensemble de libraires indépendant·es et de commerçant·es de proximité appelle à soutenir le Nouveau Front Populaire : « quelle que soit l’issue du vote du 7 juillet, la bataille des imaginaires continuera, elle sera probablement plus âpre encore, et nous comptons bien y prendre toute notre part. »



Législatives : LCI diffuse un graphique trompeur et défavorable au Nouveau Front populaire


La chaîne d’information relaye depuis lundi 17 juin un graphique aux proportions très discutables, où les scores des Républicains et de l’alliance LR/RN paraissent deux fois plus importants sur l’image diffusée sur la chaîne.

Aube, 2 ème circonscription

Réunion électorale ce mercredi 19 juin à Aix-en-Othe

18h30 en la salle des mariages de la mairie d’Aix-en-Othe avec les candidats du Nouveau Front Populaire pour la 2ème circonscription de l’Aube, Samira Sebbari et son suppléant David Morin.

Sur l’accusation d’antisémitisme portée contre la France insoumise

Réponse collective à une infamie




L’antisémitisme est un fléau. Une ignominie qui doit être combattue avec la plus grande force et une détermination implacable. Dans ce texte, que les signataires soient ou non d’accord avec la France insoumise, elles et ils entendent montrer que l’accusation d’antisémitisme s’abattant sur LFI est une infamie, aux soubassements politiques et même politiciens honteux: peur panique devant le Nouveau Front populaire, tentative de mise à mort politique d’une force de gauche combative, criminalisation du soutien au peuple palestinien. La lutte contre l’antisémitisme est affaiblie et dévoyée par ces accusations mensongères. À l’écoute des personnes qui ont pu être parfois heurtées, toute la gauche doit renforcer cette lutte commune.

Bombardements israéliens à Rafah : les JT plaident le droit à l’« erreur »



Dans la nuit du dimanche 26 mai, l’armée israélienne bombarde le camp humanitaire de Tal al-Sultan. Qualifié de massacre ou de carnage par de nombreuses ONG, ce bombardement est l’un des plus meurtriers de l’offensive lancée par Israël sur Rafah depuis le début du mois de mai. Il a légitimement choqué massivement le monde entier, notamment du fait de la diffusion instantanée d’images apocalyptiques sur les réseaux sociaux : un camp sous les flammes, 49 morts, des corps calcinés, un bébé décapité et plus de 180 blessés [1]. Face à cela, nous pouvions nous attendre à une réaction médiatique à la hauteur de la gravité de l’événement. Ce fut pourtant loin d’être le cas.




Guerre Israël-Gaza : des parents de soldats israéliens entre angoisse et défiance envers la guerre à Gaza



Il est en ce moment en route pour Rafah« : quand Sharon et David reçoivent l’AFP dans leur maison du nord d’Israël, leur fils de 22 ans retourne combattre dans le sud de Gaza. Eux vont tenter de tromper l’anxiété avec d’autres parents de soldats.

Depuis le début de l’opération terrestre à Gaza le 27 octobre, 309 soldats ont été tués, selon l’armée.

« Au début, cette guerre était juste. Plus maintenant« , lance Ruth (prénom modifié), 58 ans, pour qui l’unique objectif des opérations devrait être de ramener les otages puis les soldats « à la maison« , plutôt que la destruction du Hamas.

« Il faut avoir zéro confiance envers tout » : comment l’Ukraine tente de lutter contre la désinformation venue de Russie



Kiev doit faire face à de plus en plus de cyberattaques russes, notamment contre les médias ou les enfants, via le téléchargement de jeux vidéo suspects. Une guerre devenue presque aussi cruciale que celle dans les tranchées.

À quelques jours des élections européennes, l’UE s’efforce de lutter contre la désinformation venue de Russie. En Ukraine, cette désinformation est quotidienne, en particulier sur les réseaux sociaux, très prisés par la population. À tel point que cette « cyberguerre » est devenue presque aussi cruciale que celle qui se déroule dans les tranchées.



Tuée au front, Iryna Tsybukh, infirmière de combat et symbole d’une génération prête à mourir pour l’Ukraine


Avec la disparition d’Iryna Tsybukh, infirmière de combat de l’organisation de secours des Hospitaliers, l’Ukraine perd une nouvelle fois l’une des voix puissantes d’une génération née après l’indépendance du pays. Âgée de 25 ans, sa disparition a suscité l’émoi à travers le pays.

Il y a quelques jours, l’infirmière de combat Iryna Tsybukh, bien connue et très appréciée des Ukrainiens, partageait sur ses réseaux sociaux sa joie à l’approche de son anniversaire, qu’elle s’apprêtait à fêter le 1ᵉʳ juin : « Je suis fière d’être arrivée à vivre jusqu’à mes 26 ans », déclarait-elle. Ce fut son dernier partage, quelques jours avant sa mort.


Etudiant·e·s en journalisme, nous demandons un meilleur traitement médiatique du conflit israélo-palestinien



Étudiant·e·s en journalisme, nous réclamons un traitement médiatique à la hauteur des enjeux du conflit israélo-palestinien. Depuis des mois, nous observons avec effroi, dans ces médias où nous travaillerons plus tard, des fautes déontologiques graves qui participent à la déshumanisation du peuple palestinien et à la normalisation de crimes de guerre.

Peut-on prétendre couvrir sérieusement ce conflit en passant sous silence les bombardements continus de civils, participant à leur invisibilisation ?

Si nous prenons la parole, c’est que nous croyons au rôle fondamental du journalisme, mais ne nous reconnaissons pas dans ces pratiques. Après sept mois d’horreur dans la bande de Gaza, nous appelons à un sursaut éthique de la profession.

Palestine et mobilisations étudiantes : calomnies médiatiques en série



En mars, dans le cadre des mobilisations étudiantes en soutien du peuple palestinien, Sciences Po suscitait une première fois l’hystérie politico-médiatique : une « surenchère d’accusations d’antisémitisme » sur la base de fausses informations et un emballement survenu en grande partie sous l’impulsion du Premier ministre – Gabriel Attal s’étant déplacé en personne pour tancer la direction de l’établissement, trop timorée à son goût face aux étudiants mobilisés. Un mois plus tard, à la faveur d’une amplification du mouvement étudiant coordonné par le Comité Palestine, l’école parisienne – ses déclinaisons en province, mais aussi la Sorbonne – se retrouve de nouveau sous les feux médiatiques. Meilleur du pire.

PAS DE VOS SALADES À LA FÊTE DES PLANTES !

Par Rémy Dufaut




Nous rééditons aujourd’hui cette publication (parue dans le corps de l’article consacré hier soir à la journée des plantes à Bergères) et qui reflète, de notre point de vue, plus objectivement la réalité. Il semble que notre chère presse locale ait recruté en la circonstance ses pigistes parmi les jeunes pousses du RN pour les laisser relater librement l’événement venu perturber hier la fête des amoureux des plantes, de la nature et de la vérité, en taclant non seulement la macronie mais, au point d’oser se livrer à du lèse-majesté, également François Baroin, ce qui n’est pas dans ses habitudes…

Les applaudissements ne furent pas aussi fournis qu’on veut bien le dire. Hormis les amateurs de selfies plutôt rares, les inévitables et très nombreux journalistes et les quelques jeunes nervis du RN venus faire la claque pour leur patronne, l’intérêt porté à la célèbre visiteuse ne fut pas aussi important qu’attendu. Les fidèles de la journée des plantes de Bergères semblaient bien plus intéressés par l’acquisition de la plante rare (orchidée ou plante vivace adepte du calcaire) dont ils rêvaient pour orner leur jardin, leur cour, leur grange ou leur rue, voire par les dégustations de champagne de Bergères proposées par les meilleurs producteurs du « vin des dieux » durant cette journée ensoleillée et à l’atmosphère bon enfant…

Ca bouchonne à Bergères


Les opposants, dont nous faisions partie, n’ont pas souhaité perturber la fête des amoureux des plantes et de la nature, aboutissement d’un long travail  de préparation par le comité des fêtes, les pompiers, avec l’aide de la commune et des habitants de Bergères. Mme le Maire craignait que l’image de l’événement ne soit marquée négativement par cette tentative de récupération politique dont est coutumier le RN et que pépiniéristes, horticulteurs, artisans, artistes et producteurs ne se soient déplacés que pour ça…

Nos tracteuses en action…


Il s’agissait plutôt de marquer notre indignation devant cette nouvelle mystification manifeste de celle qui annonçait une visite privée non sans avoir convoqué la presse nationale, après l’avoir fait annoncer dans tous les médias de France et de Navarre.

C’est ainsi que 16 d’entre nous, membres et amis du Collectif aubois de lutte contre les extrêmes-droites (CGT, MRAP, LDH, Collectif Louise-Michel, Greenpeace) rejoints par des camarades baralbins, avons opté pour une distribution de tracts sur les pare-brises des voitures stationnées sur les 4 parkings aménagés pour l’événement et le long des voies de circulation à l’approche de la commune dont les rues étaient réservées à l’usage exclusif des piétons. Nous avions prévu 2000 tracts imprimés dans l’urgence. Il en eût fallu 10000.



3 irréductibles du Collectif Louise-Michel ont réussi à développer une banderole significative face à Marine Le Pen, portant la mention bien sentie « Pas de vos salades à la fête des plantes ! » très remarquée par les journalistes des différents médias et arrachant quelques francs sourires à certains des nombreux membres des forces de l’ordre présents sur place. La seule tentative avortée d’un  très jeune activiste frontiste d’arracher la banderole des mains des 3 porteurs, aussitôt condamnée par ses propres comparses, a rappelé, si besoin  était, le souci permanent de normalisation de ceux qui espèrent convaincre les Français de leur respectabilité mais aussi, et surtout, que le naturel a beau vouloir être chassé, il revient au galop.



Une belle journée pour le Collectif aubois de lutte contre les extrêmes-droites, qui marque une fois de plus sa détermination à combattre le nationalisme, les atteintes aux libertés, l’ultralibéralisme, l’obscurantisme, l’homophobie, le racisme, la xénophobie, la haine, les inégalités qui font le miel du RN et qui sont en train de dangereusement se banaliser.

Une équipe de choc


Merci aux 16 courageux qui n’ont pas hésité à se lancer de bon matin en ce jour férié à l’assaut de l’imposture. Et merci en particulier à celles et ceux qui n’ont pas tergiversé à l’annonce de l’événement et se sont attelé(e)s sans tarder à la confection et l’impression des tracts.

Sur la route du retour, recouvrement des affiches du RN.


RD

Marine Le Pen s’invite à la journée des plantes

Davantage de journalistes que de partisans…


Le traditionnel marché aux plantes du village de Bergères (Aube) aura une saveur politique cette année. À un mois des élections européennes, la présidente du groupe Rassemblement national à l’Assemblée nationale est venue le visiter ce jeudi 9 mai. Mais sa venue n’a pas fait l’unanimité.

En pleine campagne pour les élections européennes, les visiteurs ne sont pas dupes « elle est venue chercher des voix » lâche l’un d’entre eux, qui est étonné de la voir ici mais qui n’y voit pas d’inconvénient.



Pas de vos salades à la fête des plantes !

Par Rémy Dufaut

Les applaudissements ne furent pas aussi fournis qu’on veut bien le dire. Hormis les amateurs de selfies plutôt rares, les inévitables et très nombreux journalistes et les quelques jeunes nervis du RN venus faire la claque pour leur patronne, l’intérêt porté à la célèbre visiteuse ne fut pas aussi important qu’attendu. Les fidèles de la journée des plantes de Bergères semblaient bien plus intéressés par l’acquisition de la plante rare (orchidée ou plante vivace adepte du calcaire) dont ils rêvaient pour orner leur jardin, leur cour, leur grange ou leur rue, voire par les dégustations de champagne de Bergères proposées par les meilleurs producteurs du « vin des dieux » durant cette journée ensoleillée et à l’atmosphère bon enfant…

Ca bouchonne à Bergères


Les opposants, dont nous faisions partie, n’ont pas souhaité perturber la fête des amoureux des plantes et de la nature, aboutissement d’un long travail  de préparation par le comité des fêtes, les pompiers, avec l’aide de la commune et des habitants de Bergères. Mme le Maire craignait que l’image de l’événement ne soit marquée négativement par cette tentative de récupération politique dont est coutumier le RN et que pépiniéristes, horticulteurs, artisans, artistes et producteurs ne se soient déplacés que pour ça…

Nos tracteuses en action…


Il s’agissait plutôt de marquer notre indignation devant cette nouvelle mystification manifeste de celle qui annonçait une visite privée non sans avoir convoqué la presse nationale, après l’avoir fait annoncer dans tous les médias de France et de Navarre.

 C’est ainsi que 16 d’entre nous, membres et amis du Collectif aubois de lutte contre les extrêmes-droites (CGT, MRAP, LDH, Collectif Louise-Michel, Greenpeace) rejoints par des camarades baralbins, avons opté pour une distribution de tracts sur les pare-brises des voitures stationnées sur les 4 parkings aménagés pour l’événement et le long des voies de circulation à l’approche de la commune dont les rues étaient réservées à l’usage exclusif des piétons. Nous avions prévu 2000 tracts imprimés dans l’urgence. Il en eût fallu 10000.



3 irréductibles du Collectif Louise-Michel ont réussi à développer une banderole significative face à Marine Le Pen, portant la mention bien sentie « Pas de vos salades à la fête des plantes ! » très remarquée par les journalistes des différents médias et arrachant quelques francs sourires à certains des nombreux membres des forces de l’ordre présents sur place. La seule tentative avortée d’un  très jeune activiste frontiste d’arracher la banderole des mains des 3 porteurs, aussitôt condamnée par ses propres comparses, a rappelé, si besoin  était, le souci permanent de normalisation de ceux qui espèrent convaincre les Français de leur respectabilité mais aussi, et surtout, que le naturel a beau vouloir être chassé, il revient au galop.



Une belle journée pour le Collectif aubois de lutte contre les extrêmes-droites, qui marque une fois de plus sa détermination à combattre le nationalisme, les atteintes aux libertés, l’ultralibéralisme, l’obscurantisme, l’homophobie, le racisme, la xénophobie, la haine, les inégalités qui font le miel du RN et qui sont en train de dangereusement se banaliser.

Une équipe de choc


Merci aux 16 courageux qui n’ont pas hésité à se lancer de bon matin en ce jour férié à l’assaut de l’imposture. Et merci en particulier à celles et ceux qui n’ont pas tergiversé à l’annonce de l’événement et se sont attelé(e)s sans tarder à la confection et l’impression des tracts.

Sur la route du retour, recouvrement des affiches du RN.


RD

Venue de Marine Le Pen à Bergères jeudi : la Journée des plantes « ne prendra jamais un caractère politique », avance l’organisation


L’annonce de la venue de Marine Le Pen à la Journée des plantes de Bergères, ce jeudi, à l’approche des élections européennes, n’a pas manqué de susciter des réactions et même des crispations. « On a reçu beaucoup de messages de gens qui nous disent ne pas vouloir venir, et même une exposante qui vient de se désister. (…) La Région, jusqu’à Strasbourg, m’appelle. Nous ne sommes pas responsables de la venue d’une personnalité politique, insiste Florence Petit, maire de Bergères, qui ne souhaite pas être associée aux couleurs du Rassemblement national. Je suis très contrariée de me dire que ça va gâcher notre fête ».



Visite de Marine Le Pen à Bergères

Dites-le avec des fleurs…

Un jeudi de convivialité et de détente à la campagne ou des politiques en campagne.

Marine Le Pen sera à la traditionnelle journée des plantes à Bergères le 9 mai.

Une visite qui serait officiellement déclarée à titre personnel alors qu’elle est organisée par le RN, comme l’a indiqué la presse locale.

Une visite qui sème le trouble parmi les organisateurs, des exposants fidèles qui ont exceptionnellement annulé leur participation et des visiteurs habituels qui ont informé de leur absence. Une visite qui perturbe la fête.

Personne ne tient à porter atteinte à la liberté de circulation, tout au moins pour les défenseurs des libertés.

En revanche, la journée des plantes n’est pas une tribune pour servir les discours et la propagande de certains. Dès lors qu’une visite d’un responsable politique est placée sous l’égide de son parti, elle ne peut pas être qualifiée de privée, sauf à vouloir entretenir la confusion au mépris des personnes et à cultiver non pas les plantes mais la duplicité sans complexe.

La journée des plantes n’est pas une opportunité, mais un rassemblement local des amoureux de la nature qui souhaitent vivre ensemble en paix, un moment qui mérite le respect de celles et ceux qui en assurent la promotion et qui y participent.

HB et RD

La liberté d’informer attaquée de toutes parts


Le gouvernement israélien a interrompu, dimanche, la diffusion de la chaîne qatarie Al-Jazira, accusée de menacer la sécurité du pays. Un assaut en règle contre la liberté d’informer alarmant contre lequel les Etats-Unis et l’Union européenne doivent protester davantage.

Deux jours après la Journée mondiale de la liberté de la presse, le 3 mai, le gouvernement israélien a décidé à l’unanimité de réduire au silence la chaîne d’information qatarie Al-Jazira au nom de la sécurité du pays. Cette décision s’est traduite immédiatement par l’arrêt pour une période reconductible de quarante-cinq jours de la diffusion des programmes de la chaîne, que le premier ministre Benyamin Nétanyahou a qualifiée de « terroriste », et par la fermeture de ses bureaux sur le territoire israélien. Elle s’est accompagnée de la confiscation de ses équipements.



Italie: en grève, les journalistes de la RAI refusent de devenir « TV Meloni »


L’audiovisuel public transalpin est en grève ce lundi 6 mai. Les journalistes protestent contre la censure et la volonté de contrôle du gouvernement Meloni.

« Nous ne sommes pas le mégaphone du gouvernement. » Les mots sont signés du syndicat Usigrai, majoritaire dans l’audiovisuel public italien. Ils justifient la grève déclenchée ce lundi 6 mai au sein des treize chaînes de télévision et des trois radios nationales que compte la RAI, le mastodonte dédié à l’information et au divertissement. Une mobilisation de 24 heures, qui a commencé à 5h30.



Morandini-Praud-Hanouna, porte-voix de la fachosphère

 

Le 30 avril, la journaliste Nassira El Moaddem (Arrêt sur images, ex-i-Télé, ex-France Inter) tweete en réaction à une décision de la Fédération française de football [1] : « Pays de racistes dégénérés. Il n’y a pas d’autres mots. La honte. » Ce qui lui vaut d’être prise pour cible par l’extrême droite sur les réseaux sociaux et de subir menaces et insultes racistes et sexistes. La campagne se déroule ensuite sur les plateaux de la TV Bolloré, qui décuplent le torrent de haine.

Jean-Marc Morandini est le premier à dégainer. Le 1er mai, sur CNews, il introduit le sujet en précisant que ce tweet l’a mis « hors de [lui] », avant de tendre le micro à… Julien Odoul (RN) qui appelle Radio France à la suspendre (alors qu’elle n’y travaille plus) et conclut : « Si elle n’est pas contente, elle se casse. » Problème, comme le révèle Morandini qui s’enorgueillit d’avoir mené l’enquête – une enquête de basse police sur les « origines » de Nassira El Moaddem : « Elle est née dans le Loir-et-Cher, c’est une journaliste française. Ses parents sont marocains, ses parents sont originaires du Maroc. » Courtois avec l’élu RN qui pense comme lui, Jean-Marc Morandini se fait ensuite plus mordant – c’est le moins que l’on puisse dire – avec son autre interlocuteur, Rost, qui se refuse à « condamner » les propos de Nassira El Moaddem, même s’il dit ne pas les reprendre à son compte.

Le Premier ministre Benyamin Netanyahu dément une famine à Gaza et réitère «le droit» d’Israël «à se protéger»


Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a récusé ce mercredi 17 avril 2024 toute «allégation» de famine dans la bande de Gaza et a réitéré «le droit» d’Israël «à se protéger», lors de rencontres avec les chefs de la diplomatie britannique et allemande à Jérusalem. «Durant ces rencontres, le Premier ministre a insisté sur le fait qu’Israël se réservait le droit de se protéger», a déclaré le gouvernement israélien dans un communiqué. Benyamin Netanyahu a aussi «récusé les allégations des organisations internationales sur une famine à Gaza et a affirmé qu’Israël fait tout son possible sur la question humanitaire». (Source)



Guerre Israël-Hamas, jour 193 : Israël « obstrue » l’accès aux victimes de l’attaque du 7 octobre, selon des enquêteurs de l’ONU


« Je déplore le fait que les personnes en Israël qui souhaitent nous parler se voient refuser cette possibilité, parce que nous ne pouvons pas entrer en Israël », a déclaré Navi Pillay, la présidente de l’enquête.



Cisjordanie : Israël est responsable de la montée de la violence des colons


Les habitants de communautés palestiniennes entières sont toujours déplacés, des mois après les attaques.

(Jérusalem) – L’armée israélienne a participé ou n’a pas protégé les Palestiniens des violentes attaques des colons en Cisjordanie qui ont déplacé des personnes de 20 communautés et ont entièrement déraciné au moins 7 communautés depuis le 7 octobre 2023, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui.

L’ÉTAT APPREND-IL VRAIMENT À DES ENFANTS DE 11 ANS À FAIRE DES ANULINGUS ?


Sur le plateau de CNews, la psychologue Marie-Estelle Dupont affirmait mercredi 3 avril que des campagnes préventives de santé expliquent aux enfants de 11 ans comment faire un anulingus. Si le site du Gouvernement onsexprime, destiné aux 10-19 ans, en donne une définition et informe sur comment se protéger des IST, il ne fait aucune description détaillée et n’incite en rien les internautes à en pratiquer.

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Derrière le cas de CNews, le consensus néolibéral contre le pluralisme réel


Une récente intervention du Conseil d’État a remis sur le devant du débat politique la question du pluralisme des médias. Il s’agit d’un problème qui préoccupe depuis longtemps l’opinion publique. 

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Aux auditions des cadres de CNews, autoflagellation, « liberté éditoriale » et coup de fil « quotidien » de Vincent Bolloré


Les dirigeants de la chaîne étaient convoqués jeudi à l’Assemblée nationale dans le cadre d’une commission d’enquête. Critiqués pour une infographie sur l’IVG dans une émission religieuse diffusée dimanche dernier, ils ont joué profil bas.

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Temps de parole : Arcom un ouragan sur CNews


« Il ne faut pas renouveler l’agrément de CNews et C8 »