La dégradation de la condition des femmes en Afghanistan et en Tunisie


Les droits des femmes se réduisent de plus en plus en Afghanistan et en Tunisie. En Afghanistan, les droits des femmes déclinent de jour en jour depuis le retour des talibans à la tête du pays. En Tunisie, pays pourtant connu pour être l’un des plus progressistes sur la place des femmes dans la région, les femmes au pouvoir sont de moins en moins nombreuses et les militantes féministes ne sont plus aussi protégées. 

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L’Europe tend la main aux Afghanes persécutées par les talibans


Dans sa dernière recommandation aux États-membres des Vingt-Sept, l’Agence de l’Union européenne pour l’asile juge que le simple fait d’être une femme afghane doit permettre d’obtenir le statut de réfugié.

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D’ici et d’ailleurs


Inégalités

Depuis le Covid, les 1% les plus riches ont capté 63% des richesses produites, selon l’ONG Oxfam


Migrants

Vidéo : comment aider ses enfants à aller mieux après des traumatismes liés à la migration ?


TÉMOIGNAGES. « Aide au retour volontaire »: « On repart pour toujours », confient des étrangers qui abandonnent leurs rêves d’exil pour « rentrer au pays »


Aide au retour volontaire : « Un bon investissement » pour la France, estime le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration


Iran

La répression implacable contre les jeunes en Iran


Afghanistan

Afghanistan : face à la volonté des talibans de réduire les femmes au silence, « Radio Begum » continue d’émettre


Etats-Unis

« Ils essaient de me faire pareil qu’à George Floyd » : aux Etats-Unis, un enseignant noir meurt à l’hôpital après avoir reçu six décharges de Taser


Israël

Israël : des dizaines de milliers de manifestants contre le gouvernement

Le tribunal administratif de Montpellier confirme l’OQTF d’un demandeur d’asile Afghan

Nyangal M. a reçu une obligation de quitter le territoire français après que sa demande d’asile a été rejetée. Image d’illustration. Crédit : Creative Commons)


Nyangal M. s’est vu notifier une obligation de quitter le territoire à la suite du rejet de sa demande d’asile. Pourtant, le ministère de l’Intérieur a confirmé qu’aucune expulsion n’aurait lieu vers l’Afghanistan. L’association La Cimade qui l’accompagne dénonce une « multiplication des OQTF » qui conduit à la précarisation des demandeurs d’asile.

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En Afghanistan, des hommes se lèvent pour défendre les femmes face aux talibans

En direct à la télévision afghane, un professeur déchire ses diplômes. « A partir d’aujourd’hui, je n’ai plus besoin de ces diplômes car ce pays n’est pas un endroit pour faire des études. Si ma sœur et ma mère ne peuvent pas étudier, alors je n’accepte pas cette éducation ». Cette vidéo a été partagée plus d’un million de fois sur twitter.  capture d écran


Un professeur qui déchire ses diplômes en direct à la télévision, des étudiants qui quittent les salles de cours en signe de protestation … Largement relayés sur les réseaux sociaux, ces actes courageux sont encore rares. Néammoins, malgré les risques, des Afghans n’hésitent plus à dire leur colère et montrer publiquement leur solidarité à leurs camarades féminines, épouses, soeurs et filles. Ces femmes auxquelles les talibans interdisent d’étudier.

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Afghanistan : comment les talibans privent les femmes de leurs droits depuis le retour au pouvoir

Deux femmes étudient chez elles avec leur frère, à Kaboul (Afghanistan), le 23 décembre 2022, après que l’accès à l’université a été banni aux femmes. (AHMAD SAHEL ARMAN / AFP)


Le régime multiplie les mesures liberticides depuis août 2021. Parmi les restrictions, figurent notamment l’encadrement des apparitions publiques et l’éloignement des sphères éducatives et politiques.

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Afghanistan: après l’interdiction des universités aux femmes, des enseignants démissionnent

Des talibans montent la garde à l’entrée d’une université à Jalalabad, le 21 décembre 2022  AFP


Le durcissement se poursuit en Afghanistan où les femmes afghanes n’ont plus le droit d’aller à l’université. Elles étaient déjà interdites d’enseignement secondaire. Plusieurs rassemblements d’étudiantes et d’étudiants ont eu lieu aux portes de plusieurs universités à travers le pays pour protester contre cette directive. Plusieurs enseignants ont par ailleurs démissionné de leurs fonctions en signe de protestation.

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« Je suis terrifiée par l’avenir obscur qui s’offre à nous », confie une étudiante désormais privée d’université

Afghanistan : pas de femmes à l’université

Elles ont bravé l’interdiction.

Plusieurs centaines de jeunes femmes rassemblées ce mercredi à l’entrée de campus universitaires en Afghanistan ont été empêchées d’entrer par des gardes armés, notamment devant les grilles de l’entrée de l’université à Kaboul, indique l’AFP.

Cette mobilisation intervient au lendemain de la décision des autorités d’interdire désormais les études supérieures aux jeunes femmes.

Mais les manifestations de femmes contre ces mesures sont devenues risquées, les talibans n’hésitant pas à ouvrir le feu. 

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Afghanistan : première exécution publique depuis la prise de pouvoir des talibans

Un membre des forces de sécurité talibanes monte la garde à un checkpoint, le 6 décembre, à Jalalabad. – / AFP


L’exécution a eu lieu devant des centaines de spectateurs, y compris de nombreux hauts responsables talibans. Les talibans au pouvoir avaient déjà procédé à des flagellations publiques pour des faits de vol, d’adultère ou de fugue.

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Afghanistan : le calvaire vécu par les enfants

Depuis le retour des talibans au pouvoir, en 2021, les conséquences économiques et sécuritaires sont rudes pour toute la population, en particulier pour les enfants. Des millions de petits Afghans sont désormais à un pas de la famine.

L’ONU estime que la moitié de la population est confrontée à la malnutrition. Parmi elle, quatre millions d’enfants sont touchés, confrontés à la malnutrition et à l’insécurité.

Dix millions d'enfants afghans menacés par la faim | La Presse

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Afghanistan : les talibans interdisent les parcs de Kaboul aux femmes

Les talibans ont désormais interdit les parcs et jardins de Kaboul aux femmes afghanes, avec les sévères restrictions imposées par le régime islamiste fondamentaliste.

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Depuis leur retour au pouvoir en août 2021 après 20 ans de guerre et le retrait des troupes américaines, les talibans ont imposé une interprétation ultra-rigoriste de l’islam. Ils n’ont eu de cesse de restreindre les libertés de femmes à qui ils ont interdit les écoles secondaires et ordonné de porter le voile intégral. Exclues de la plupart des emplois publics, les femmes sont aussi empêchées de voyager seules en dehors de leur ville. Les parcs étaient l’un des derniers espaces de liberté qui leur était encore octroyé.

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Malgré le gel des expulsions vers Kaboul, une préfecture française obtient un laissez-passer pour renvoyer un Afghan

Un Taliban armé surveille des personnes faisant la queue devant une banque de Kaboul, le 4 septembre 2021. Crédit : Reuters


L’ambassade d’Afghanistan en France a délivré un laissez-passer consulaire à un Afghan en rétention, document préalable à son expulsion. Or, depuis le retour au pouvoir des Taliban en août 2021, la position officielle du gouvernement français est de ne procéder à aucune expulsion d’Afghans, et de n’avoir aucune relation diplomatique avec Kaboul. InfoMigrants a enquêté.

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DES AFGHANS REPOUSSÉS PAR DES TIRS AUX FRONTIÈRES DE L’IRAN ET DE LA TURQUIE

© Léo Gobin / Viviane Le Borgne / Anahi Perino


Un an après la prise de Kaboul par les talibans, de nombreux Afghans tentent encore de fuir le pays. Venus chercher la sécurité aux frontières turques et irakiennes, ils ont été renvoyés de force, parfois visés par des balles. Nos chercheuses étaient sur place. Enquête.

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« Mon seul espoir est de pouvoir rejoindre mon frère en France » : à Kaboul, Najiba rêve de fuir l’Afghanistan


« Je veux écrire sur tout ce que je vois » : Ali, journaliste afghan réfugié en France


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Des Afghans toujours déboutés de l’asile et placés en rétention, malgré le retour des Taliban


Une famille afghane réunie en France après les évacuations de civils afghans de Kaboul, le 27 août 2021. Crédit : Reuters


Un an après la prise de pouvoir des Taliban en Afghanistan, des rejets de demande d’asile et obligations de quitter le territoire français (OQTF) continuent d’être notifiés à des Afghans. Certains sont parfois même placés en rétention, alors que les perspectives d’éloignement sont pour le moment suspendues. Ces pratiques préfectorales s’inscrivent en contradiction avec les récentes déclarations du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.

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Afghanistan, un an après

Un homme transporte un sac de céréales reçu dans une permanence du Programme alimentaire mondial (PAM) à Kandahar (Afghanistan), le 21 avril 2022. (JAVED TANVEER / AFP)


Dans un rapport publié lundi, l’ONG International Rescue Committee (IRC) estime que la crise actuelle pourrait tuer « beaucoup plus d’Afghans que les vingt dernières années de guerre ».

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Afghanistan : « On ne lapide plus » les femmes « dans les stades de football », mais la « même attitude anti-féministe persiste » chez les talibans, selon un expert


Afghanistan : « C’était très dur de tout recommencer à zéro », raconte une militante pour les droits des femmes exilée en France