Des organisations de presse demandent au gouvernement de renforcer le secret des sources des journalistes



Depuis l’adoption de la loi Dati, il est possible de lever le secret des sources en invoquant un « impératif prépondérant d’intérêt public ».

Plus de 80 organisations de presse demandent lundi 13 janvier au gouvernement de « garantir la protection du secret des sources », avant la possible mise en examen d’une journaliste du média d’investigation Disclose visée par une enquête sur des atteintes au secret défense. Ariane Lavrilleux est convoquée vendredi par une juge d’instruction, a précisé Disclose, qui dénonce « un nouveau cap » franchi « dans les pressions exercées contre les journalistes qui enquêtent sur des affaires d’Etat ».

Dix ans après le massacre de Charlie Hebdo, les dessinateurs de presse sont toujours la cible de représailles


Le 7 janvier 2015, la rédaction de l’hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo a été décimée par une attaque terroriste. Reporters sans frontières (RSF) rend hommage à ces journalistes et caricaturistes tués et blessés en raison de leur travail et alerte sur le fait que, dix ans après, la protection des dessinateurs de presse et de leur liberté d’informer reste une nécessité. De l’emprisonnement pour “subversion de l’État” en Chine aux intimidations au Nicaragua, en passant par des poursuites pour “outrage à la cour” en Inde, 20 cas emblématiques de ces dix dernières années illustrent l’ampleur des menaces et entraves pesant sur les professionnels de la presse satirique partout dans le monde.

Attentat de « Charlie Hebdo » : dix ans plus tard, la liberté de la presse décriée chez les jeunes selon un sondage



Selon les résultats d’une étude menée par l’Ifop pour la Fondation Jean-Jaurès, en partenariat avec « Charlie Hebdo », les jeunes âgés de 18 à 34 ans sont en décalage avec le reste de la population sur les thématiques de la liberté de la presse et de caricature, une majorité d’entre eux y étant opposés. Une tendance qui ne fait que s’accentuer, dix ans après l’attentat au sein de la rédaction du journal satirique.

États-Unis : la caricature qui ne passe pas au « Washington Post »



Censure au « Washington Post » ? Une dessinatrice vient d’en démissionner. Elle avait proposé un dessin figurant Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon et propriétaire du journal, tendant un sac d’argent à une statue de Donald Trump. Le dessin a été refusé.



La liberté de la presse aux Etats-Unis



Après avoir connu une brusque hausse en 2020, les violations de la liberté de la presse ont considérablement diminué aux États-Unis, mais d’importants obstacles structurels persistent dans ce domaine au sein de ce pays, autrefois considéré comme un modèle en matière de liberté d’expression.

Interview avec Halyna Petrenko à la tête de Detector Media, organisation ukrainienne qui décrypte les stratégies de la propagande russe



Detector Media, une organisation ukrainienne spécialisée dans l’analyse des médias, s’emploie à décrypter la propagande du Kremlin destinée à justifier l’invasion de l’Ukraine. Dans le cadre de son projet « Propaganda Monitor » lancé en septembre 2024, Reporters sans frontières (RSF) a interviewé la directrice de Detector Media, Halyna Petrenko, qui revient sur les stratégies de désinformation russes sur les réseaux sociaux et identifie les acteurs de leur diffusion.



Le best of 2024 de la propagande russe

Édition et presse. Gaza, symbole d’un tour de vis idéologique



Le jour de son arrivée en septembre aux éditions du Seuil, Coralie Piton, la patronne venue de McKinsey, voit d’un mauvais œil la sortie du Livre noir de Gaza, coordonné par Agnès Levallois. Et à Marianne, la directrice Natacha Polony, considérée comme critique de la guerre israélienne à Gaza, vient d’être débarquée. Signes de plus d’une menace sur les libertés éditoriales des milliardaires catholiques et réactionnaires. Et, bien entendu, pro-israéliens.

Proche-Orient: libertés, c’est pas gagné…



Chute de Bachar al-Assad : « Les pratiques du groupe rebelle HTS sont très hostiles à la presse libre », selon Reporters sans frontières


Reporters Sans Frontières se réjouit de la fin du règne de Bachar al-Assad, mais s’inquiète de la mise en place d’un autre régime répressif en Syrie. Le groupe rebelle islamiste Hayat Tahrir al-Sham (HTS), désormais à la tête du pays, retient toujours six journalistes en otages.



Proche-Orient. « Ces guerres agissent comme un accélérateur de notre propre fascisme »


En plus de ses répercussions sur Gaza, le 7 octobre 2023 a été un bouleversement pour tout le Proche-Orient, dont on a vu les conséquences au Liban et en Syrie. Mais là où les discours géopolitiques pullulent, Peter Harling, fondateur de Synaps, analyse ces événements à hauteur des vies humaines.



Que dit le droit international des réfugiés et le droit d’asile concernant les Syriens ?


La chute du dictateur syrien Bachar el-Assad le 8 décembre dernier a déclenché des réactions quasi-immédiates quant au sort des Syriens ayant déposé une demande d’asile ou ayant été protégés en Europe. Plusieurs États européens ont ainsi annoncé « suspendre » l’examen des demandes, et envisager un retour des personnes concernées. Le droit international, européen et national encadre assez strictement ce processus.

Secret des sources : la journaliste de Disclose Ariane Lavrilleux convoquée par la justice



La journaliste Ariane Lavrilleux est convoquée au tribunal de Paris, le 17 janvier 2025, en vue d’une possible mise en examen. Un nouveau cap est franchi dans les pressions exercées contre Disclose.

L’enquête judiciaire visant à identifier les sources de Disclose se poursuit. Quinze mois après sa garde à vue de 39 heures et la perquisition de son domicile par des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), notre journaliste Ariane Lavrilleux est convoquée, vendredi 17 janvier 2025, en vue d’une possible mise en examen pour « appropriation et divulgation d’un secret de la défense nationale ».



Filature, cyberespionnage… La surveillance hors norme subie par Ariane Lavrilleux

Géolocalisation, filatures, analyse des relevés bancaires… L’enquête judiciaire ouverte en 2022 pour compromission du secret de la défense nationale dévoile l’utilisation de moyens d’investigation hors norme contre la journaliste de Disclose Ariane Lavrilleux. Au mépris de sa vie privée, comme de la protection de ses sources.

Rapport alarmant en Géorgie : à la veille des élections législatives, RSF et ses partenaires appellent au respect des engagements du pays pour des médias libres et une information fiable



La dérive de la démocratie géorgienne atteint désormais l’un de ses piliers, la liberté de la presse. En amont des élections législatives du 26 octobre, Reporters sans frontières (RSF) et les neuf organisations partenaires de la Plateforme pour la sécurité des journalistes du Conseil de l’Europe publient un rapport et des recommandations pour garantir la sécurité des journalistes et le droit des citoyens à une information fiable. 

Le Conseil de sécurité soutient « pleinement » le chef de l’ONU, persona non grata en Israël



Le Conseil de sécurité de l’ONU a apporté jeudi soir son « plein » soutien au secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres qu’Israël avait déclaré la veille « persona non grata » pour ne pas avoir immédiatement condamné les frappes de l’Iran mardi.



Pressions, intimidations et censure : les journalistes israéliens sous une chape de plomb depuis un an


Depuis l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 et la guerre à Gaza qui a suivi, les pressions sur les journalistes et les médias israéliens se sont multipliées. Reporters sans frontières (RSF) dénonce ce climat d’intimidation et appelle les autorités israéliennes à cesser d’entraver le travail des journalistes qui couvrent la guerre.  

Deux journalistes sous pression face à des éleveurs porcins



Ils souhaitaient questionner des éleveurs porcins du Finistère sur leur rapport aux médias. Deux reporters de la revue Invendable se sont heurtés début août au mutisme des exploitants. Avant qu’un homme se présentant comme gendarme les somme d’expliquer leurs motivations.

Haro sur les médias !



« On a vraiment l’impression d’enterrer la radio » : à Europe 1, malaise autour de la nouvelle émission de Cyril Hanouna


Cyril Hanouna anime depuis une semaine une émission de décryptage politique sur les ondes d’Europe 1. Une arrivée en fanfare qui a déjà valu à la chaîne privée – sous pavillon Bolloré – une sévère mise en garde de l’Arcom. En coulisses, le retour de l’animateur provoque des gros remous au sein de la rédaction.



Chez Pascal Praud, diabolisation de la gauche et soutien explicite à l’extrême-droite qui « n’existe plus en France »


DU CÔTÉ DE CHEZ BOLLORÉ… Les chaînes du milliardaire réactionnaire ont bousculé leurs programmes pour les législatives. De Pascal Praud (CNews) à Cyril Hanouna (Europe 1), elles mènent à l’unisson une violente campagne à droite toute. Chronique.



Sur le service public aussi…


« Cette fois c’est vraiment la dernière » : Charline Vanhoenacker évoque la fin du « Grand dimanche soir » sur France Inter.

À l’occasion de la dernière du « Grand dimanche soir » de la saison, ce dimanche 23 juin, la journaliste et humoriste belge n’a pas donné rendez-vous aux auditeurs à la rentrée prochaine, laissant entendre que l’émission ne serait pas reconduite.

RSF dénonce l’intimidation de Haaretz, l’un des rares médias israéliens qui critiquent la guerre à Gaza



Dans un écosystème médiatique israélien qui manque de plus en plus de pluralisme, Haaretz fait figure d’exception. Reporters sans frontières (RSF) dénonce les tentatives d’intimidation croissantes dont le quotidien fait l’objet depuis le 7 octobre pour sa couverture de l’impact de la guerre à Gaza et sa critique du gouvernement israélien. 

Le matin du 5 juin, l’entrée vitrée du bureau du quotidien Haaretz à Tel Aviv a été brisée par un homme non identifié : première attaque physique contre le média, mais dernière en date d’une série de menaces et de tentatives d’intimidation. Accusé d’être le “journal du Hamas” par les partisans du gouvernement israélien, le quotidien de gauche subit, depuis le 7 octobre, des pressions accrues pour sa couverture critique de la guerre à Gaza.

Tunisie : Les autorités intensifient leur répression contre les médias et la liberté d’expression



Les personnes détenues devraient être remises en liberté et les poursuites pour délits d’expression abandonnées.

Les autorités tunisiennes ont intensifié leur répression contre les médias et la liberté d’expression ces dernières semaines, en condamnant deux journalistes et un fondateur de média à des peines de prison, en procédant à l’arrestation d’une autre figure médiatique et en intimidant des médias privés, ont déclaré aujourd’hui Amnesty International et Human Rights Watch. Les autorités devraient immédiatement remettre en liberté les personnes détenues et abandonner toute poursuite pour l’expression d’opinions, droit protégé par le droit international des droits humains.

La liberté d’informer attaquée de toutes parts


Le gouvernement israélien a interrompu, dimanche, la diffusion de la chaîne qatarie Al-Jazira, accusée de menacer la sécurité du pays. Un assaut en règle contre la liberté d’informer alarmant contre lequel les Etats-Unis et l’Union européenne doivent protester davantage.

Deux jours après la Journée mondiale de la liberté de la presse, le 3 mai, le gouvernement israélien a décidé à l’unanimité de réduire au silence la chaîne d’information qatarie Al-Jazira au nom de la sécurité du pays. Cette décision s’est traduite immédiatement par l’arrêt pour une période reconductible de quarante-cinq jours de la diffusion des programmes de la chaîne, que le premier ministre Benyamin Nétanyahou a qualifiée de « terroriste », et par la fermeture de ses bureaux sur le territoire israélien. Elle s’est accompagnée de la confiscation de ses équipements.



Italie: en grève, les journalistes de la RAI refusent de devenir « TV Meloni »


L’audiovisuel public transalpin est en grève ce lundi 6 mai. Les journalistes protestent contre la censure et la volonté de contrôle du gouvernement Meloni.

« Nous ne sommes pas le mégaphone du gouvernement. » Les mots sont signés du syndicat Usigrai, majoritaire dans l’audiovisuel public italien. Ils justifient la grève déclenchée ce lundi 6 mai au sein des treize chaînes de télévision et des trois radios nationales que compte la RAI, le mastodonte dédié à l’information et au divertissement. Une mobilisation de 24 heures, qui a commencé à 5h30.



Morandini-Praud-Hanouna, porte-voix de la fachosphère

 

Le 30 avril, la journaliste Nassira El Moaddem (Arrêt sur images, ex-i-Télé, ex-France Inter) tweete en réaction à une décision de la Fédération française de football [1] : « Pays de racistes dégénérés. Il n’y a pas d’autres mots. La honte. » Ce qui lui vaut d’être prise pour cible par l’extrême droite sur les réseaux sociaux et de subir menaces et insultes racistes et sexistes. La campagne se déroule ensuite sur les plateaux de la TV Bolloré, qui décuplent le torrent de haine.

Jean-Marc Morandini est le premier à dégainer. Le 1er mai, sur CNews, il introduit le sujet en précisant que ce tweet l’a mis « hors de [lui] », avant de tendre le micro à… Julien Odoul (RN) qui appelle Radio France à la suspendre (alors qu’elle n’y travaille plus) et conclut : « Si elle n’est pas contente, elle se casse. » Problème, comme le révèle Morandini qui s’enorgueillit d’avoir mené l’enquête – une enquête de basse police sur les « origines » de Nassira El Moaddem : « Elle est née dans le Loir-et-Cher, c’est une journaliste française. Ses parents sont marocains, ses parents sont originaires du Maroc. » Courtois avec l’élu RN qui pense comme lui, Jean-Marc Morandini se fait ensuite plus mordant – c’est le moins que l’on puisse dire – avec son autre interlocuteur, Rost, qui se refuse à « condamner » les propos de Nassira El Moaddem, même s’il dit ne pas les reprendre à son compte.

France : RSF proteste contre la venue de Xi Jinping, un des plus grands prédateurs de la liberté de la presse


Le président de la République française Emmanuel Macron reçoit ce 6 mai le président de la République populaire de Chine Xi Jinping. Plus de 100 journalistes sont emprisonnés dans les geôles du régime de Pékin, l’un des régimes les plus répressifs pour le journalisme. Reporters sans frontières (RSF), lors d’une opération spéciale dans les rues de Paris, a rappelé ses demandes : la liberté de la presse ne doit pas être la grande absente de cette visite d’État. 

Alors que Pékin considère les défenseurs de la liberté de la presse comme des ennemis de l’État, l’Élysée déroule le tapis rouge pour le principal prédateur de la liberté de la presse. Ce lundi 6 mai, alors que XI Jinping est en visite officielle auprès du président de la République française Emmanuel Macron, RSF a manifesté son inquiétude en faisant circuler dans Paris un camion marqué des noms de journalistes détenus dans les geôles du régime chinois. 


Xi Jinping à Paris : les enjeux pour la France et l’Europe

Le président chinois est en France pour le soixantième anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre Paris et Pékin. Peut-on le convaincre de prendre ses distances vis-à-vis de Vladimir Poutine ? Quels bénéfices espérer sur le plan bilatéral ?

François Chimits, conseiller scientifique du CEPII, livrait ses réflexions au microphone de France Culture le 29 avril dernier

Pressions sur les journalistes

Les pressions politiques sur les médias augmentent dans le monde, s’inquiète RSF

https://rsf.org/fr

Globalement, les conditions d’exercice du journalisme sont mauvaises dans les trois quarts des pays de la planète, rapporte l’ONG de défense des journalistes dans son rapport annuel.

La France, elle, passe de la 24ᵉ à la 21ᵉ place par un effet mécanique, alors que les indicateurs du pays « stagnent ».

Cette édition 2024 met en exergue une moindre protection du journalisme par les Etats, quand ce n’est pas un rôle actif de ceux-ci dans la désinformation.
Cette édition 2024 met en exergue une moindre protection du journalisme par les Etats, quand ce n’est pas un rôle actif de ceux-ci dans la désinformation. 

Les pressions politiques sur la presse augmentent dans le monde, alors même que la moitié de la planète vote cette année, alerte Reporters sans Frontières (RSF).

La Norvège reste en tête de la 22e édition de ce classement de la liberté de la presse, tandis que l’Erythrée arrive en dernière position, 180e, après la Corée du Nord les deux années précédentes.

Globalement, les conditions d’exercice du journalisme sont mauvaises dans les trois quarts des pays. RSF dénonce en particulier l’« absence manifeste de volonté politique de la communauté internationale à faire appliquer les principes de protection des journalistes » à Gaza.

Plus de 100 reporters palestiniens ont été tués par l’armée israélienne, dont au moins 22 dans l’exercice de leurs fonctions, rappelle l’ONG.

En Europe, la liberté de la presse est « éprouvée par les majorités au pouvoir en Hongrie, à Malte et en Grèce ».

Les reculs les plus importants en matière de liberté de la presse s’observent en Afghanistan sous l’empire des talibans (178e, -26 places), au Togo (113e, -43) et encore en Equateur (110e, -30).

Cette étude de RSF a été réalisée sur la base « d’un relevé quantitatif des exactions commises envers les journalistes » d’une part et « d’une étude qualitative » de l’autre. Cette dernière se fonde « sur les réponses de centaines d’experts de la liberté de la presse (journalistes, universitaires, défenseurs des droits humains) à une centaine de questions ».

Le journal « Le Monde » suspendu au Burkina Faso

Cette décision du Conseil supérieur de la communication (CSC) burkinabé, qui n’a pas été notifiée officiellement, est une nouvelle atteinte au droit d’accès à l’information dans le pays.

Dans un article intitulé « Au Burkina Faso, “les soldats voulaient s’assurer qu’il n’y avait pas de survivants” » publié le 25 avril, notre journal a rapporté de façon circonstanciée la manière dont au moins 223 civils, dont une cinquantaine de femmes et d’enfants, ont été massacrés par leur propre armée dans des villages du nord du pays.

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/04/29/le-monde-denonce-l-annonce-de-sa-suspension-au-burkina-faso_6230664_3212.html?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTAAAR3PjJutBVOa-Oe6jM3sdvG1idwXahte0sfs4g-3DA6RkprZxDzxiTz97WI_aem_Aem-l_yTaL7RER-PoGpRS9VO2PxWTTgekdgydB7Z6Lc67DYcoDrpccQ1z2h1SNO6xYCr5-_RGQaAaDxaSdX5XcL0

Dans le monde

Guerre en Ukraine : sous le déluge des bombes russes, le village frontalier de Velyka Pysarivka devenu champ de ruines


Ce village situé à 5 km de la Russie a connu une pluie de bombardements fin mars. En l’espace de dix jours, le centre de Velyka Pysarivka a été réduit à néant.



La liberté de la presse à l’épreuve au Mali



Alors qu’avant-hier, les autorités annonçaient la suspension des activités des partis politiques et des associations à caractère politique, c’est au tour de la presse d’être visée. Hier, la Haute autorité de la communication, la HAC, a annoncé sa décision « d’interdire aux journalistes de couvrir les partis politiques ». Une décision qui provoque la colère de Bamada.net, le site d’information malien parle « d’une directive arbitraire et dépourvue de fondement juridique ».



Projet de loi Rwanda : la compagnie nationale RwandAir refuse de participer aux expulsions depuis le Royaume-Uni


La compagnie nationale RwandAir ne transportera pas les demandeurs d’asile expulsés du Royaume-Uni, d’après une source au ministère de l’Intérieur britannique. Un nouveau pied-de-nez au projet de loi phare du gouvernement, qu’il tente de concrétiser depuis deux ans.



« On dit que la France a peur de nous, mais on n’est pas comme vous croyez » : témoignages d’enfants de djihadistes, détenus en Syrie

 


Lors d’un reportage diffusé sur France 2 jeudi 11 avril dans l’émission Envoyé Spécial, pour la première fois, deux journalistes ont pu pénétrer dans un centre de déradicalisation d’enfants de djihadistes, au Kurdistan syrien. Parmi la centaine de jeunes détenus, Adem Clain et Hamza sont toulousains.



Guerre Israël-Hamas : le Conseil des droits de l’homme demande de cesser les ventes d’armes à Israël


Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a pris position ce vendredi pour la première fois sur le conflit entre Israël et le Hamas, en exigeant l’arrêt de toute vente d’arme à l’Etat hébreu.

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Pour la liberté d’informer à Gaza

RSF ouvre un centre régional pour la liberté de la presse à Beyrouth au Liban