Logement : avec la fin de la trêve hivernale, des associations craignent des expulsions en hausse du fait de l’inflation


A partir de samedi, il sera de nouveau possible d’expulser des locataires, après cinq mois d’interdiction de cette mesure.

Lire ICI

Autres questions de fond


Extrême-droite

Le Planning familial de Bordeaux visé par un groupuscule d’extrême droite

Le Planning familial de la Gironde ciblé par un groupuscule d’extrême droite pour la deuxième fois en deux semaines


Racisme

Je suis noire et mon voisin est raciste


Médias

« C ce soir » et « l’affaire » Thomas Portes : ambiance feutrée pour rappels à l’ordre

France Info : naufrage Total

C8 sanctionnée par l’Arcom : les droites contre le droit


Inégalités

Les inégalités sociales, de l’école primaire à la fin du collège

Aissé, 13 ans, morte à cause du mal-logement


Crime environnemental

Infiltration au cœur du trafic illégal de bois entre la France et la Chine

Trafic de bois : l’Etat ferme les yeux sur le pillage des forêts publiques françaises

Nuit de la Solidarité 2023 : 3015 personnes sans-abri recensées à Paris


3 015 personnes sans solution d’hébergement ont été recensées à Paris dans la nuit du 26 au 27 janvier. Une hausse par rapport à la précédente édition 2022 de la Nuit de la Solidarité.


Lire ICI




L’hébergement social dans l’Aube (10)

L’Hébergement social dans l’Aube: un besoin en forte croissance

Malgré une augmentation régulière du nombre de place en Hébergement social (plus de 100 000 places en France), ce nombre se révèle toujours insuffisant pour faire face, dans l’Aube comme presque partout en France, aux besoins sans cesse croissants.

L’Hébergement social est considéré comme une solution temporaire permettant, dans l’Aube, aux personnes précarisées par des difficultés sociales ou contraintes de quitter le logement familiale (femmes victimes de violence par exemple), de trouver un lieu de vie le temps de se reconstruire

A qui s’adresser dans l’Aube pour bénéficier d’un Hébergement social

L’admission à l’aide sociale et à ce titre, à l’Hébergement social, relève du Conseil Général. Dans l’ Aube, la demande de prise en charge peut être déposée auprès du CCAS le plus proche.

On distingue, en fonction des besoins immédiats, dans l’ Aube (10), 3 grandes catégories d’Hébergement social :
– Les Centres d’hébergement et de réinsertion Sociale (CHRS)
– Les Centres de stabilisation (CHS)
– Les Centres d’hébergement d’urgence

Les grands acteurs de l’Hébergement social dans l’ Aube

Le nombre toujours plus important de personnes en situation de précarité a nécessité de la part de l’Etat, une mise en réseau du dispositif d’accueil. Chaque département a vu la mise en place d’un SIAO (service intégré d’accueil et d’orientation) qui assure la régulation de l’orientation et de l’accès à l’Hébergement social

Le SIAO veille dans l’Aube, à la continuité de la prise en charge et coordonne les acteurs de l’Hébergement social.

Les centres d’accueil dans l’Aube

Carte

(Source)

Plus de 4 millions de mal-logés en France, mais la droite s’attaque aux squats


Un texte, en cours d’examen au Sénat, pourrait aggraver la situation. Cette proposition de loi, portée par le député Renaissance Guillaume Kasbarian, prévoit de durcir la réglementation sur les squats et d’affaiblir les protections des locataires ayant des impayés de loyer.

Lire ICI

Crise du logement : les femmes et les enfants d’abord


Dans son rapport annuel, la Fondation Abbé-Pierre alerte sur «l’enracinement du mal-logement», qui touche plus fortement les femmes que les hommes.

Lire ICI

Comment l’État met des milliers de familles pauvres à la rue chaque année


Dans son ouvrage De gré et de force, le sociologue Camille François fait un état des lieux inédit de la hausse des expulsions en France. Après 10 ans de travail, il explique comment l’État met dehors des milliers de ménages endettés par an.

Lire ICI

Des associations alertent l’État sur des lits vacants dans un centre d’accueil de migrants

Pour les deux associations, il y a urgence à ouvrir les lits vacants dans le centre d’accueil des Ukrainiens, particulièrement en cette période de grand froid. (Image d’illustration) AP – Graham Hughes


Alors que des personnes en situation de grande précarité dorment dans les rues, des dizaines de lits restent vides dans un centre d’hébergement d’urgence parisien destiné à l’accueil de réfugiés ukrainiens. Pour pouvoir y loger des sans-abri, peu importe leur nationalité, les associations Médecins du monde et Utopia 56 ont donc saisi la justice afin qu’elle ordonne à l’État d’ouvrir ces lits vacants à des personnes et des familles sans solution de logement.

Lire ICI

Hébergement des sans-abri


En Seine-Saint-Denis, le nombre de personnes sans-abri atteint un nouveau record


Royaume-Uni: l’hébergement de réfugiés dans des hôtels suscite la polémique

Communiqués


LES EXPULSIONS AUGMENTENT, PAS LES SOLUTIONS DE LOGEMENT

Communiqué commun dont la LDH est signataire.

Alors qu’une proposition de loi émanant de la majorité souhaite pénaliser encore davantage les personnes mal-logées, des milliers de personnes en France sont contraintes de vivre dans des habitats de fortune : bidonvilles, squats, tentes…

Chaque année, de nombreuses expulsions viennent aggraver leurs conditions de vie déjà extrêmement précaires.

Les ravages du mal-logement sur la santé

LIRE ICI

Crise du logement


Dix maires de France dénoncent la suppression de 14 000 places d’hébergement d’urgence par l’État

Un sans-abri dans les rues du Mans, le 7 octobre 2021. (GILE MICHEL/SIPA )


Le gouvernement a annoncé fin septembre la suppression de 7 000 places d’hébergements d’urgence en 2023, qui s’ajoutent aux 7 000 déjà supprimées depuis 2020. Une décision qui suscite l’indignation des maires de France.

Lire ICI

D’ici et d’ailleurs


Qatar/FIFA : Les revendications des travailleurs migrants en grève doivent être prises en compte


Femmes SDF : à la rencontre des « Invisibles »


Quand France Inter se fait porte-parole du gouvernement


Avec 41 journalistes actuellement détenus, l’Iran est aujourd’hui la troisième plus grande prison au monde pour la profession


« Des pratiques du passé » : Frontex réagit au rapport accablant ses dirigeants


« Parler gentiment a montré ses limites » : face à la crise écologique et climatique, des scientifiques racontent pourquoi ils entrent en rébellion


«Enseigner, ce n’est pas se taire», par Mickaëlle Paty, sœur de l’enseignant assassiné


Elle alerte contre le nouveau projet de Total en Afrique du Sud


À Paris, les jeunes migrants de la place de la Bastille ont été évacués

L’association Utopia 56 a installé, samedi 28 mai 2022, un campement de mineurs place de la Bastille, à Paris, pour alerter sur le manque de prise en charge de ces jeunes en recours. Crédit : Utopia56


Après 119 jours de mobilisation, les 80 exilés de la place de la Bastille ont été expulsés. Si l’opération conduite par Utopia56 a permis à ces jeunes, pour la plupart des mineurs en recours, de trouver, pour un temps un peu de réconfort, l’association déplore le silence des autorités quant au sort de ces jeunes, « condamnés à l’errance ».

Lire ICI

Collectif de veille: jeunes majeurs étrangers

On parle de nous dans les médias


France 3


Canal 32 (JT du 01/07/2022)



Dernière minute


Nous apprenons que Le Centre Départemental de l’Enfance expulse actuellement les Jeunes Majeurs Étrangers des lieux où ils étaient jusqu’alors hébergés.

Ceux-ci se retrouvent donc à la rue et dans la plus grande précarité.

Nous ne pouvons pas accepter cette situation et nous mettrons tout en œuvre pour leur venir en aide.

Nous vous attendons

au 5 rue Charbonnet à Troyes

À Paris, Utopia 56 installe un campement pour alerter sur le sort des mineurs en recours

L’association Utopia 56 a installé, samedi 28 mai 2022, un campement de mineurs place de la Bastille, à Paris, pour alerter sur le manque de prise en charge de ces jeunes en recours. Crédit : Utopia 56


Un campement de mineurs isolés a vu le jour, samedi, place de la Bastille, à Paris. L’association Utopia 56, à l’origine de l’événement, entend alerter sur la situation des jeunes non reconnus mineurs et qui, dans l’attente du résultat de leur recours en justice, sont sans solution d’hébergement.

Lire ICI

Toulouse : les 90 jeunes migrants des Tourelles ont 20 jours pour quitter les lieux

De nombreux jeunes migrants avaient fait le déplacement au Tribunal Administratif ce mercredi. • © France 3 Occitanie


Saisi en référé par le Centre communal d’action sociale (CCAS) de Toulouse, le juge administratif enjoint les occupants de l’ancien EHPAD des Tourelles de quitter les lieux. 90 jeunes migrants accueillis depuis 2019 et les associations qui s’en occupent ont 20 jours pour trouver une solution.

Lire ICI

Dans des bureaux occupés à Paris, des personnes exilées attendent un logement digne

ILS ONT MONTÉ UNE « AMBASSADE DES IMMIGRÉS »

Les exilés et la Chapelle Debout occupent les bureaux depuis le 18 avril. / Crédits : Clémentine Eveno


80 exilés et des associations comme le collectif La Chapelle debout occupent des bureaux vides depuis le 18 avril. Parmi eux, des personnes qui ont obtenu l’asile tentent de faire entendre leur droit à un logement décent.

Lire ICI

Syrie: après les camps de tentes, des logements financés par Ankara

Vue aérienne d’un convoi de déplacés syriens arrivant au complexe résidentiel, construit près de la ville d’al-Bab, le 9 février 2022 en Syrie
afp.com – Bakr ALKASEM


« Quand j’ai appris que nous emménagions dans une maison, je n’y croyais pas »: Maryam al-Hussein, mère de quatre enfants, habite enfin dans un complexe résidentiel financé par Ankara dans le nord de la Syrie, après plus d’un an passé dans des camps de tentes. »

Lire ICI

Logement : cette note secrète qui circule dans les QG de campagne

(Crédits : Charles Platiau)


« Quelle conception de l’habitat adopter ? », « comment adapter la politique du logement au pouvoir d’achat des ménages, des bailleurs privés et publics ? », « quelle est la bonne répartition des compétences en matière de logement ? », « la politique du logement peut-elle demeurer une composante isolée de l’action publique » ou encore « comment organiser le secteur de l’habitat ? ». Intitulée « Quelle politique du logement pour le prochain quinquennat », une note, que dévoile La Tribune en exclusivité, circule actuellement dans les états-majors des candidat(e)s à l’élection présidentielle. Objectif: interpeller le futur(e) ministre du Logement pour définir une politique « cohérente ».

Lire ICI