A l’ENS (Ecole Normale Supérieure) plus de femmes sélectionnées; la suppression des épreuves orales a modifié le profil des admis.
Dans les filières littéraires, 67% des admissions sont des femmes contre 54% en moyenne les 5 années précédentes. Même chose dans d’autre séries, « lettres et art », « langues vivantes ».
La sélection uniquement par l’écrit avantagerait les femmes ? Garçons et filles ne développent les mêmes compétences ( travaux nombreux sur ce sujet) « les filles apprennent mieux à répondre aux attentes de l’école »; « les épreuves orales font appel à des capacités davantage encouragées chez les garçons, la confiance en soi, la capacité à parler en public, plus à l’aise dans l’esprit de compétition »; « les filles adhérent moins à la mise en scène attendue à l’oral, toutes sortes de stéréotypes valorisés par l’institution et le système qui vont influencer, même inconsciemment, le jugement du jury ».
La situation évolue cependant mais peu.
Pour les concours scientifiques, les lignes n’ont pas bougé.
« Ce bond significatif de la part des femmes est une interpellation »
Sans doute une occasion de réfléchir sur les procédures pour toutes épreuves orales, leurs partis pris et les qualités ou compétences recherchées parmi les candidats.
Serbie, Sexe et pouvoir
Le président a nommé une femme première ministre, lesbienne assumée. Gêne dans ce pays avec une opinion fort conservatrice en matière de mœurs. 40% de la population juge que l’homosexualité est une maladie.
Refusant que son orientation sexuelle soit utilisée pour la décrire, elle assure que son pays n’est pas homophobe, que sa nomination constitue « un énorme pas » vers une société tolérante.
Vraie conviction ou coup politique d’un président désireux d’intégrer l’Union européenne, avec laquelle les pourparlers sont particulièrement laborieux ?
Depuis la crise sanitaire le secteur privé s’installe dans la grande maison républicaine de l’Education nationale. On assiste à une accélération de la vente à la découpe de l’école publique.
Comme il y a les profiteurs de guerre, il y a les vautours du désastre. Dans son célèbre essai la Stratégie du choc, Naomi Klein décrit bien comment les catastrophes, naturelles ou humaines offrent toujours aux forces du marché de nouveaux territoires à conquérir. Certes, dans le sillage de la crise sanitaire, et de ses bouleversements sociaux et économiques, on a parlé d’un «retour de l’Etat». Mais quand l’Etat se met au service des intérêts privés, c’est le bien commun qui recule.
Dans le «monde d’après», l’Education nationale est un cas d’école. Depuis 2017, on pouvait déjà observer un renforcement très net des dispositions en faveur du secteur privé de l’enseignement, sous les auspices bienveillants et assumés du ministre lui-même. Ainsi, la réforme pour rendre obligatoire la scolarité dès l’âge de 3 ans avait élargi aux écoles privées le financement par les collectivités, réduisant d’autant les flux vers le public. Il y eut aussi ces déclarations et initiatives des proches du Président : sa femme, Brigitte Macron, qui se rapproche des «Live», établissements privés cofinancés par le groupe de luxe LVMH s’adressant prioritairement aux plus nécessiteux ; ou sa belle-fille, Tiphaine Auzière, qui vient d’ouvrir à grand renfort de communication une école privée hors contrat, «Autrement», et reprend à son compte personnel le credo méritocratique républicain pour «donner toutes leurs chances aux plus méritant.e.s».
Merci patron !
Mais depuis la fin du confinement, la tendance s’accélère. Partout en France, on a vu se développer en lieu et place des activités proposées en temps normal par les personnels de l’Education nationale des dispositifs «2S2C» (sport-santé-culture-civisme) mis en œuvre par le secteur privé, pour les demi-journées où les enfants n’étaient pas accueillis à l’école. Autrement dit, ce sont des associations ou des entreprises qui ont proposé aux enfants des activités sportives, culturelles ou sanitaires, sur le temps scolaire avec le soutien des autorités, locales et nationales. Et voilà comment le secteur privé, sans autre contrôle que celui des communes, parvient à s’installer dans la grande maison républicaine de l’Education nationale. Dans le même esprit, les entreprises privées qui proposent des certifications en langues étrangères sont désormais rémunérées par l’Etat pour faire passer des tests de langue, devenus obligatoires par la loi. Merci Patron !
Et ce n’est pas tout : la chaîne de grande distribution Auchan, en partenariat avec l’éditeur Hatier, a reçu cet été le label de l’Education nationale «vacances apprenantes», cette idée de génie du ministre Blanquer pour pallier les cours manqués pendant le confinement. Des cours de maths comme produit d’appel pour attirer les familles dans les centres commerciaux, il fallait y penser ! On attend avec impatience le partenariat avec McDo pour soulager les familles des repas de cantine pris à la maison.
«Projet»
Profiteurs du désastre, les acteurs privés de l’éducation sont à la fête. Au même moment, pour des raisons budgétaires, l’Etat refuse la prise en charge des masques pour tous les élèves, dont il martèle par ailleurs qu’ils sont indispensables à la lutte contre la pandémie. La privatisation d’un service public suit toujours la même logique: financements publics réduits, dysfonctionnements croissants, exaspération des usagers, solutions privées. La croissance impressionnante du marché des «petits cours privés» n’a pas d’autre moteur.
Tout cela interroge. Faut-il s’inquiéter que ceux qui s’occupent d’école dans l’entourage d’Emmanuel Macron, tout comme lui, n’aient jamais fréquenté les bancs de l’école publique ? Cette privatisation de l’école républicaine ferait-elle partie de ce fameux «projet» hurlé un soir de campagne ? Quoi qu’il en soit, il semble que la que la crise des derniers mois ait bien permis d’accélérer la vente à la découpe de l’école publique. Il est urgent d’exiger l’arrêt de cette commercialisation. Et de tirer d’autres leçons de cette crise sanitaire.
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Depuis mi-août, de nombreuses femmes témoignent sur les réseaux sociaux.
Le violeur avait fait boire « sa victime » et l’a peut-être droguée.
Elles ont osé témoigner pour certaines sous leur propre nom. Un tabou brisé ; en Iran prouver un viol est très laborieux. Fréquenter un homme pas de la famille est inacceptable pour des Iraniens traditionnels; l‘alcool est interdit, les rapports sexuels avant mariage passibles de 99 coups de fouet.
Cela a pris une telle ampleur que la police a ouvert une enquête.
THAILANDE – Le droit à l’avortement, une des principales requêtes des jeunes
Les campus thaïlandais en ébullition: la jeunesse demande la démission du gouvernement; le droit à l’avortement figure en bonne place dans ces revendications.
Un « Mai 68 thaïlandais » ? installation d’un planning familial; depuis 2014 des avancées et en 2020 la Cour suprême a déclaré que certaines dispositions contre l’avortement étaient anticonstitutionnelles.
Une jeune fille bosniaque de 17 ans musulmane violentée molestée et tondue par des membres de sa famille (son oncle), famille arrivée en France en 2017.
Elle est amoureuse d’un jeune Serbe chrétien, ils souhaitaient se marier.
Le jeune homme et sa famille ont porté plainte. Les coups continuaient à pleuvoir sur la jeune fille ; une côte cassée, une oreille blessée, de nombreux hématomes et 14 jours d’incapacité totale.
Ceci se passe Besançon. En 2020.
La jeune fille est mise sous protection judiciaire dans une structure adaptée. Les parents en examen.
La maire de Besançon, exprime son émotion. Le ministre de l’Intérieur « profondément choqué par cet acte de torture » et « cette barbarie appelle les sanctions les plus sévères ».
L’Italie ne veut plus de migrants illégaux sur son territoire (Di Maio)
17 août 2020 Par Agence France-Presse
Il n’y aura plus de place pour les migrants illégaux en Italie, a averti lundi à Tunis le ministre italien des Affaires étrangères, Luigi Di Maio, à l’issue d’un entretien avec le président tunisien Kais Saied.
M. Di Maio a indiqué que son pays était « prêt à présenter toutes les aides nécessaires à la Tunisie » pour lutter contre l’immigration illicite.
Mais « il n’est pas question de laisser en Italie ceux
qui arrivent d’une façon illégale », a-t-il ajouté selon
un communiqué de la présidence de la République
tunisienne.
Luigi Di Maio était accompagné au cours de sa visite en
Tunisie par la ministre italienne de l’Intérieur,
Luciana Lamorgese, le commissaire européen à
l’Élargissement, Oliver Varhelyi, et la commissaire
européenne aux affaires intérieures, Ylva Johansson.
Les négociations entre l’Italie et la Tunisie se poursuivront « pour trouver des formules de coopération bilatérale », a indiqué encore le ministre italien, selon la présidence tunisienne.
La délégation italienne a exprimé son « soutien
politique et économique » à la Tunisie, pour renforcer
les efforts nationaux (…) à travers l’encouragement de
l’investissement et la création des postes d’emploi
surtout dans les régions de l’intérieur« , a ajouté
encore le communiqué.
Et le commissaire européen à l’Élargissement, Oliver Varhelyi, a annoncé sur son compte twitter une aide de 10 millions de dollars pour soutenir la Tunisie dans la gestion de ses frontières.
De son côté, le président Saied a affirmé de nouveau que « les solutions sécuritaires ne permettent pas à elles seules de lutter contre l’immigration non organisée ».
L’arrivée de migrants en Italie a augmenté de près de 150% au cours des 12 derniers mois, la majorité arrivant de Tunisie, a déclaré samedi Mme Lamorgese qui s’était rendue déjà fin juillet en Tunisie pour parler du problème de l’immigration clandestine.
Du 1er août 2019 au 31 juillet 2020, 21.618 migrants sont arrivés sur les côtes italiennes, une augmentation de 148,7% par rapport aux 8.691 arrivées de l’année précédente, selon des données présentées par Mme Lamorgese samedi à Milan.
Quelque 41,6% des migrants sont partis de Tunisie, où le taux de chômage a atteint 18%, selon l’Institut national des statistiques.
Le 7 août, le chef de la diplomatie italienne a indiqué que son pays refoulerait à partir du 10 août tous les migrants tunisiens illégaux.
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Conventions, colloques, expositions, les USA célèbrent le centenaire du 19ème amendement de la constitution qui a permis aux Américaines de voter. Adopté le 18 août 1920, il entre en vigueur le 26 août, les bâtiments publics vont être illuminés de pourpre et d’or.
Mais cette année, l’histoire est nuancée. Le travail reste « inachevé ». Les femmes noires ont été délaissées alors que certaines étaient des figures du mouvement « suffragistes ». « Quand les gens parlent du vote des femmes, c’est en général du vote des femmes blanches »
Ce 19ème amendement, s’il déclare que réserver le droit de vote aux hommes, est anticonstitutionnel, il ne garantit pas aux femmes que la puissance publique s ’opposera aux obstacles dressés sur le chemin pour les empêcher de voter. Dans le Sud et l’Ouest, taxes, restriction d’âge, éducation, rétorsions du Ku Klux Klan.
Les femmes noires ont dû se débrouiller seules. En 2016, les femmes blanches avaient voté à 53% pour D. Trump, les femmes noires à 94% pour H. Clinton.
Pourtant 2020 pourrait être une nouvelle « année des femmes », sur le plan électoral, quand elles se mobilisent contre le sexisme et le racisme. Les maires de grandes villes ont été vues à l’œuvre contre la pandémie, pour soutenir le mouvement de justice raciale.
J. Biden, candidat démocrate à l’élection présidentielle des USA, a choisi l’une d’elles, la « combattante » Harris…
*
Petit détour, bientôt publié chez Grasset « Une farouche liberté » dernier ouvrage de G. Halimi co-écrit avec Annick Cojean, journaliste au Monde.
Le dernier message de Gisèle Halimi aux femmes
«Organisez-vous, mobilisez-vous, soyez solidaires »
Un député RN de l’Aube ancien membre d’un groupe Facebook raciste
Selon une enquête du média Les Jours, une quinzaine de députés du Rassemblement national dont l’Aubois Jordan Guitton ont fait partie d’un groupe Facebook contenant des publications racistes et des appels aux meurtres.
Après une action anti-avortement, neuf militants d’extrême droite jugés en Vendée
Neuf membres de l’Action française, âgés de 18 à 23 ans, ont comparu ce jeudi 19 décembre 2024, pour avoir dégradé la statue de Simone Veil, à l’occasion d’une action anti-avortement en marge du vote de l’IVG dans la constitution.
Pour les allocataires du RSA, un inquiétant « compte à rebours » a commencé
A partir de janvier, la réforme de France Travail entrera en vigueur, et avec elle les 15h d’activités obligatoires pour les allocataires du RSA ainsi que l’intensification des contrôles. Agents de l’ex-Pôle emploi comme usagers s’inquiètent.
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« On a toujours vu personne » : à Mayotte, les habitants des bidonvilles attendent toujours de l’eau et de la nourriture
Les bidonvilles, qui représentent près d’un tiers des habitations de Mayotte et abritent une grande partie de personnes en situation irrégulière, ont été les endroits les plus dévastés par Chido. Cinq jours après le passage du cyclone, les habitants attendent toujours les premières distributions de nourriture qui tardent à se mettre en place. Ils sont livrés à eux-mêmes et leurs stocks de vivres s’amenuisent.
Mayotte : « Dans les ‘bangas’, les gens ont peur mais ils ne vont pas rester cachés, ils vont mourir de faim sinon »
Six jours après le passage du cyclone Chido, Desire (prénom d’emprunt), une mère de famille burundaise de 42 ans sans-papiers, raconte que la soif et la faim l’ont poussée à sortir de son appartement du quartier de Cavani, à Mamouzou, dévasté, pour aller chercher de l’eau. La peur d’être arrêtée et expulsée, l’avait conduite, les premiers jours, à rester cachée. Témoignage.
« C’est pas moi, le cyclone ! » : à Mayotte, Emmanuel Macron confronté à la colère des Mahorais
« Vous êtes contents d’être en France » : les oppositions s’indignent de propos d’Emmanuel Macron à Mayotte, après le cyclone Chido
Le chef de l’Etat, visé par des appels à la démission, s’est lancé, jeudi, dans un appel à l’unité en affirmant que les sinistrés seraient « 10 000 fois plus dans la merde » si Mayotte n’était pas un département français.
«Si c’était pas la France, vous seriez 10 000 fois plus dans la merde !» : les propos de Macron à Mayotte ne passent pas
Les déclarations présidentielles à Mayotte, jeudi 19 décembre, face à la colère des habitants démunis après le passage du cyclone Chido, ont été vivement dénoncées de toutes parts.
François Bayrou avait déjà été sous le feu des critiques, lundi 16 décembre, pour s’être rendu à Pau afin d’assister au conseil municipal de la ville dont il est maire plutôt que de rester à Paris pour assister physiquement à la réunion interministérielle de crise consacrée à Mayotte. C’est maintenant à Emmanuel Macron de susciter la polémique pour son attitude vis-à-vis du département français. Le chef de l’Etat y est en visite depuis jeudi et jusqu’à ce vendredi, une petite semaine après le passage de Chido. Sur place, Emmanuel Macron a fait face à la défiance des habitants en colère. Pris à partie et hué jeudi soir par une foule de personnes criant «Macron démission !» au terme de sa première journée dans l’archipel français dévasté, le président de la République s’est emporté.
Mayotte : un deuxième cyclone appelé Macron
Le passage du cyclone Chido a laissé Mayotte en ruines, ravageant les maisons, les familles, et les espoirs d’une population déjà éprouvée par les crises incessantes. Dans ces moments où tout semble s’effondrer, on aurait pu espérer que le président de la République vienne avec des paroles de réconfort, d’amour et de compassion. Mais à la place, c’est un tout autre spectacle qui s’est joué. Une scène digne du temps des colonies. Par Haidari Nassurdine et Soilihi Chahidati.
À Mayotte, le mépris colonial ordinaire d’Emmanuel Macron
Pour Rokhaya Diallo, c’est parce que son histoire s’inscrit dans celle de la domination coloniale qu’Emmanuel Macron croit que les Mahorais.es devraient se satisfaire de leur situation et exprimer une gratitude éternelle envers la France.
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Aux Etats-Unis, un ours abattu par un chasseur tombe d’un arbre et tue un autre chasseur
L’homme de 58 ans, qui traquait le plantigrade réfugié en hauteur avec plusieurs amis chasseurs dans l’Etat de Virginie, est décédé le vendredi 13 décembre, deux jours après l’accident.
Ne jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Ni après, en l’occurrence. Un accident de chasse peu conventionnel a eu lieu dans le verdoyant comté de Lunenburg, dans l’Etat de Virginie, à l’est des Etats-Unis, mercredi 11 décembre. Abattu par un chasseur alors qu’il se trouvait dans un arbre, un ours est tombé… et s’est écrasé sur un autre chasseur. L’homme, âgé de 58 ans, est mort de ses blessures vendredi 13 décembre, rapporte le site CBS News.
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« Là, le mode survie est activé » : à Mayotte, les habitants face au défi de trouver eau et nourriture
Le blocage des prix annoncé par le gouvernement pourrait apporter un peu de réconfort aux Mahorais qui ces derniers jours faisaient face à une flambée des prix des produits de consommation courante.
Emmanuel Macron est attendu jeudi 19 décembre à Mayotte, près d’une semaine après le passage du cyclone Chido, qui a fait 33 morts selon un bilan très provisoire. Le président doit notamment se rendre à l’hôpital ainsi que dans un quartier en grande partie détruit. Il rencontrera sans doute des habitants qui manquent encore de tout.
« J’ai peur de me faire arrêter en allant aux distributions alimentaires »: à Mayotte, la survie des migrants après le passage de Chido
Comores: Moroni indigné après les propos de Bruno Retailleau sur le durcissement de la lutte contre l’immigration à Mayotte
Quatre jours seulement après le passage destructeur du cyclone Chido à Mayotte, le ministre démissionnaire français de l’Intérieur a de nouveau déclaré, mercredi 18 décembre, que la reconstruction de l’île passait aussi par un nouveau durcissement de la législation contre l’immigration clandestine en provenance des Comores. Une déclaration qui suscite une très vive réaction à Moroni.
Cyclone Chido à Mayotte : quand l’obsession migratoire écrase la justice climatique
Israël commet le crime d’extermination et des actes de génocide à Gaza
La privation d’eau généralisée imposée par les autorités israéliennes menace la survie des habitants de Gaza.
Les autorités israéliennes ont intentionnellement privé les civils palestiniens de Gaza d’un accès adéquat à l’eau depuis octobre 2023, entraînant très probablement des milliers de morts et commettant ainsi le crime contre l’humanité d’extermination et des actes de génocide, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd’hui.
France. L’amitié avec Israël comme excuse de la violation du droit international
Nicolas Sarkozy définitivement condamné à trois ans de prison dont un an ferme dans l’affaire des écoutes
La décision dans ce dossier, aussi appelé Bismuth, intervient à quelques jours de l’ouverture d’un nouveau procès pour l’ex-chef de l’Etat, celui des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle 2007, qui doit s’ouvrir le 6 janvier 2025.
Gaza: «À la fin, tout le monde verra à travers nos yeux»
Aujourd’hui, tous les regards se dirigent vers la Syrie, vers la chute du régime de Bachar Al-Assad et de sa Bastille, la prison de Saidnaya. Tous les médias du monde parlent de cette chute inattendue. Et ils ne parlent plus de Gaza.
Liban-Sud: l’armée israélienne déploie des chars à Markaba, fait exploser des maisons dans plusieurs villages
Le président de la municipalité de Naqoura dénonce des « destructions systématiques » et révèle que 70 % de la localité a été rasé.