Derrière le cas de CNews, le consensus néolibéral contre le pluralisme réel


Une récente intervention du Conseil d’État a remis sur le devant du débat politique la question du pluralisme des médias. Il s’agit d’un problème qui préoccupe depuis longtemps l’opinion publique. 

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Plan d’économies dans le spectacle vivant : 54% de représentations en moins pour la saison 2024-2025, prévoit une association de professionnels du secteur


Le secteur du spectacle vivant est touché de plein fouet par les coupes budgétaires. France Inter a consulté la dernière enquête de l’Association des professionnels de l’administration du spectacle.

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Fin de vie : faut-il opposer devoir de soigner et droit à mourir ?


Le débat sur la fin de vie agite à nouveau la société française après que le président Emmanuel Macron a annoncé un projet de loi prévoyant la création d’une aide à mourir. Le texte a été transmis au Conseil d’État et sera examiné au Parlement à partir du 27 mai 2024. Il provoque une levée de boucliers d’une grande partie des soignants qui défendent leur devoir de soigner. Quelle doit être la responsabilité des médecins ? Aider à mourir, est-ce abandonner les patients ?

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La Défenseure des droits s’inquiète d’une « banalisation des atteintes aux droits » dans son rapport annuel


Le nombre de réclamations auprès de cette autorité indépendante est en hausse de 10% en 2023. Elles concernent principalement les relations avec les services publics.

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« Les atteintes aux droits de l’enfant se multiplient », s’inquiète la Défenseure des droits

Idées suicidaires en hausse : les jeunes les plus touchés.

par Jean Camus



Des jeunes de plus en plus nombreux, c‘est la tendance révélée par Santé publique France. Les pensées suicidaires déclarées ont été multipliées par plus de deux depuis 2014 (échantillon de plus de 30000 personnes) chez les jeunes de 18 à 25 ans passant de 3,3 % à 7,2 %. Quand elles stagnent pour les autres classes d’âge à 4,2 %.

Une rupture, les suicides déclarés les douze derniers mois ont augmenté de plus de 60 % (de 0,7 % en 2017 à 1,1 % en 2021) pour cette tranche d’âge, de 50 % sur la même période (de 6,1 % à 9,2%) pour l’ensemble de la vie. Depuis 2000, les différents baromètres à intervalles réguliers donnaient pour ces âges, des résultats inférieurs ou comparables. Un changement important note Santé publique France, cette tendance semble se poursuivre.

Passée la période du COVID -19, la demande de soins ne faiblit pas. Au contraire : services saturés en pédopsychiatrique, en psychiatrie, délais pour accéder à une consultation qui s’allongent (jusqu’à 6 mois pour une Tentative de Suicide) alors qu’un contact dans le mois suivant est préconisé.  Ni l’hôpital, ni la médecine de ville ne voient baisser la vague.

Ces prises en charge plus tardives ont de lourdes conséquences, peu ou pas de prévention, peu de possibilités pour désamorcer les crises. Au CHU de Nantes, le service est passé de six médecins à un médecin en quelques mois.

Et ce constat remonte à tous les niveaux. Lancée en 2021, la plate-forme d’écoute, d’orientation et d’intervention a dépassé les 50 000 appels.  Lille, Montpellier, Brest recevaient en moyenne 600 à 800appels quotidiens. « On est aujourd’hui plutôt à 1 000 appels par jour ». « Cesbesoins interrogent les moyens, mais au-delà, l’organisation des soins qu’il faut remettre en question ». C.E Notre -Dame responsable de la plate -forme.

En France, le suicide représente la deuxième cause de décès chez les 15- 24 ans juste après les accidents de la route. Il est le plus élevé des pays européens.  Un adolescent sur cinq souffre de troubles dépressifs. La prescription des psychotropes explose chez les mineurs. Les admissions pour troubles alimentaires connaissent une augmentation de 30 % à 40 %. Pour les 13 % d’enfants et adolescents nécessitant des soins en neuropsychiatrie (soit 1,6 million de jeunes), on compte 600 psychiatres sur toute la France. La plupart des pays européens ont lancé un plan pour répondre à l’urgence. En France, pas de plan, ni décennal, ni quinquennal, ni triennal, aucun. Certes il y a tant de raisons de vouloir mourir que s’il fallait s’occuper de tous les désespérés, on n’en finirait pas. Raisonnement fallacieux s’il en est. Il en va de nos enfants. On s’inquiète pour nos vieux jours alors que les jeunes vont si mal.

Pour expliquer cette tendance qui s’établit dans le temps long, ces professionnels rappellent que cette phase de la vie est celle « de toutes les vulnérabilités, un moment de transition, une transformation de constructions et d’acquisition de l’autonomie ». « Unepériode d’apprentissages, de découvertes, d’expériences, mais aussi de doutes, d’inquiétudes, de peurs ».

Est-ce plus vrai aujourd’hui qu’hier ? Les fragilités sont-elles devenues plus fortes? Tous les cadres censés protéger sont questionnés aujourd’hui ; la famille, l’école, l’université. Un sentiment d’isolement parfois même au sein des familles « s’ils parlent de leur mal -être à leurs parents ?» la réponse est souvent la même : « je ne veux pas les inquiéter » « comme si nous-mêmes adultes apparaissions trop fragiles ». « Un sentiment d’enfermement  à l’heure où les réseaux sociaux et les écrans donnent pourtant l’impression d’être hyperconnecté.

 Des dépressions de plus en plus précoces. La crise du COVID-19 a marqué un tournant, mais avant des dépressions se manifestaient de plus en plus tôt. « Avant les idées noires, les TS concernaient plutôt des jeunes de 14-15 ans. Maintenant la majorité a plutôt entre 11 et 14 ans avec une singularité ; on voit plus de filles que de garçons »quand les morts par suicide sont plus des garçons que des filles.

La crise du Covid-19 a provoqué un accélérateur ; son effet s’éloigne maintenant. « On devrait constater des signes d’amélioration. Or, il n’en est rien, c’est même l’inverse » une cheffe du service pédiatrie.

Cette tranche d‘âge est un moment difficile, ces jeunes ne se reconnaissent plus comme relevant de la pédopsychiatrie, mais il leur est difficile de se diriger vers e service adulte. Ces jeunes ont pourtant des besoins. L’âge de ‘’transition’’ correspond au « pic d’émergence » des troubles psychiatriques, 75 % apparaissent avant l’âge de25 ans.

Par endroits, s’amorcent des dispositifs innovants ouverts, pour les patients atteints du trouble borderline, des séances de psychothérapie de groupe (hospices civils de Lyon), avec un binôme de soignants qui changent à chaque séance très impliqués dans le programme.  Très vite, le groupe dégage des catégories de symptômes, des « critères » ; sentiment de vide, d’abandon, de colères intenses, des comportements auto dommageables – drogue, automutilations. « On dit souvent que la TS est un appel à l’aide, mais pour moi c’est surtout une manière de poser une limite ». « C’est aussi une manière d’éteindre la douleur. Et pourtant, moi, j’aime la vie » . Les participants mettent des mots sur les maux « avec une maturité assez déconcertante» de l’avis de tous au sein du service.

D’autres modèles thérapeutiques sont proposés ailleurs. Mais les possibilités de prise en charge sont limitées. Pourtant les diagnostics sont de plus en plus fréquents parmi les 16-30 ans. Les lits sont tous occupés avec un âge moyen de 27-28 ans, quand il se situait plutôt après 30 ans, il y a une décennie. « On a fait le pari d’une prise en charge reposant sur le consentement et sur la collaboration du sujet ». Le « virage de l’ambulatoire » a permis de réduire le temps d’hospitalisation. « Une prise en charge précoce, avant que le mal-être ne se chronicise, peut permettre de vivre le mieux possible ».

Le dilemme aussi vaste et complexe que possible de la fin de vie ne peut escamoter et faire passer au second plan la santé mentale des jeunes.


JC

Sainte-Savine, mars 2024

Claude Alphandéry, son appel bouleversant contre le retour de la barbarie


Résistant, haut fonctionnaire, militant de nombreuses causes, Claude Alphandéry est mort ce mardi 26 mars à l’âge de 101 ans. Au début du mois, sentant ses forces décliner, il avait adressé à l’Obs ce court texte dans lequel il appelle à empêcher une nouvelle nuit noire de l’humanité en barrant la route aux candidats populistes et autoritaires.

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L’extrême-droite semble inarrêtable dans les six pays fondateurs de l’UE


Un première réussite pour le collectif aubois de veille « lutte contre les extrêmes-droites »

Une salle comble/photo MB


En guise d’introduction à la conférence de ce vendredi 22 mars, sur laquelle nous reviendrons prochainement, Hubert Bruneel, membre du collectif et secrétaire de la section de l’Aube de la LDH a tenu à rappeler nos objectifs en ces termes:

Bienvenue à toutes et à tous et merci d’avoir répondu à l’invitation de notre collectif.

Depuis plusieurs années nous sommes confrontés à un contexte grave, attentatoire aux libertés,qui appelle à la vigilance, à l’alerte et à l’action.

Les extrêmes-droites en France, comme dans d’autres pays, ont toujours assimilé la défense des libertés publiques, la lutte contre les injustices et les discriminations et la défense des droits humains à une forme de subversion antinationale qu’il convenait d’éradiquer, n’hésitant pas à recourir à la violence dans le discours et dans les actes.

L’histoire a montré que les extrêmes-droites avaient pu accéder au pouvoir, soit par la voie des urnes, soit par celle de la force, mais qu’elles l’avaient toujours pris en s’affranchissant de la démocratie et des libertés publiques.

Depuis plusieurs années le FN, transformé en RN, s’est engagé dans une stratégie de respectabilité, qui favorise sa reconnaissance par le public et contribue à la banalisation d’opinions contraires à l’Etat de droit et au respect des droits fondamentaux. Dans le même temps, des groupes, des associations, des partis et des groupements d’extrêmes-droites agissent.

Dans une démocratie digne de ce nom, l’Etat se doit d’agir contre la montée du fascisme et pour défendre les libertés de tous les citoyens.

Le département de l’Aube n’échappe hélas plus aux marches des néo-nazis et aux concerts de groupes se revendiquant « aryens ». Chacun sait qu’aucun territoire n’est à l’abri de ces très dangereuses dérives qui annoncent la perspective d’un avenir extrêmement sombre.

Autant de raisons pour s’unir et agir ensemble.

Ce constat incite à la plus grande vigilance et à l’alerte. C’est pourquoi la LDH a mis en place des cellules de veille au niveau national dans chacune de ses sections.

La cellule de veille de la section LDH de l’Aube a proposé de constituer un collectif sur le département. Elle a sollicité toutes les organisations qui défendent les libertés, associations, syndicats, partis politiques, collectifs et les citoyens désireux de se joindre à eux.

Ensemble, nous avons décidé de constituer le Collectif aubois de veille pour lutter contre les extrêmes-droites, dans une approche transpartisane, pour agir, réagir de façon concertée et faire face aux extrêmes-droites, à leur propagande, à leurs intimidations et à leurs exactions.

Ensemble nous avons défini les objectifs, l’organisation du collectif ainsi que ses modalités de fonctionnement et mettons en place des relais dans les quartiers et les territoires pour élargir le réseau des veilleurs.

Ensemble, nous nous organisons et nous donnons les moyens pour :

  • documenter la totalité des faits et des actions concernant les agissements des extrêmes-droites, leurs actions contraires aux droits fondamentaux, leur posture et leur communication visant à faire l’apologie du racisme, de l’antisémitisme, de l’homophobie et de toutes les formes de discriminations et à les banaliser, à travers une action de veille partagée et coordonnée.          
  • mettre en place des relais dans les quartiers et les territoires pour élargir le réseau des veilleurs.
  • partager l’information au sein du collectif.
  • agir concrètement pour en finir avec les idées fausses des extrêmes-droites, pour dénoncer leur duplicité, leurs agressions verbales et physiques, leurs actes répréhensifs et contraires à la loi, leurs atteintes aux droits et aux libertés
  • communiquer auprès des publics.

Ce sont les raisons pour lesquelles nous avons invité Jonathan Preda, enseignant et historien, qui est actuellement doctorant à l’Institut Français de Géopolitique. Il consacre ses travaux à l’étude de l’extrême-droite en France. Nous le remercions d’avoir accepté de nous présenter ses recherches et ses connaissances. Nous lui laissons le soin de se présenter.


Le conférencier, Jonathan Preda, enseignant agrégé en histoire-géographie et doctorant à l’Institut Français de Géopolitique/photo MB

NOUVELLE INSTRUMENTALISATION DE LA LOI SÉPARATISME : UNE COMPAGNIE DE THÉÂTRE PRIVÉE DE SUBVENTION AU MOTIF DE SON ENGAGEMENT MILITANT



Refus de subvention à la Cie de théâtre Arlette Moreau à Poitiers


Séparatisme : les principales dispositions de la loi

Définition pénale du viol : cinq questions sur l’intégration de la notion de non-consentement dans le droit français


Emmanuel Macron s’y est dit favorable, tout en maintenant son opposition à une définition commune du viol à l’échelle européenne.

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Définition pénale du viol : « On va demander à l’auteur » de s’expliquer et pas à la victime de le démontrer, souligne une professeure de droit

Fin de vie : malgré le développement des soins palliatifs, les inégalités d’accès persistent en France


Alors que les Français vivent de plus en plus âgés, et avec des pathologies multiples, seul un tiers des malades qui en auraient besoin a accès aux soins palliatifs.

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Var : Associations mises au garde-à-vous par la surenchère LR/RN


Frédéric Masquelier a une conception bien arrêtée de la gestion de sa commune. Le maire LR de Saint-Raphaël menace les associations de couper leurs subventions si elles ne répondent pas à ses injonctions au garde-à-vous lors des commémorations, auxquelles il leur ordonne d’assister derechef. Une dérive qui instaure une dangereuse police de la pensée, dans la (très) droite lignée du CER. Pour faire du pied au vote RN, très installé dans le département.

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Violence des gangs, crise humanitaire, rapatriement des diplomates… Le point sur la situation en Haïti


Des groupes armés, qui réclament la démission du Premier ministre Ariel Henry, ciblent des infrastructures administratives et des sites stratégiques. Plusieurs pays ont décidé de rapatrier leurs diplomates.

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Russie : Un éminent défenseur des droits humains condamné lors d’un simulacre de procès


Oleg Orlov, coprésident d’une ONG colauréate du prix Nobel de la Paix, a été condamné à deux ans et demi de prison.

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Oleg Orlov, dissident russe et co-président de Memorial : « Je n’ai commis aucun crime »

Grève à la SNCF : LR veut « encadrer » le droit de grève, le RN « ne reproche pas » les revendications salariales mais la forme


Face à la grève des contrôleurs qui débute jeudi soir, Eric Ciotti et Gérard Larcher ont dit vouloir porter une réforme au Parlement. Le parti d’extrême droite tente, de son côté, de tenir sur une ligne de crête entre défense du pouvoir d’achat et condamnation du mode d’action.

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La SNCF en grève pour les vacances : la nouvelle astuce des sénateurs pour encadrer le droit de grève


Grève à la SNCF : « Interdire le droit de grève avant les vacances, ça ne peut pas passer du point de vue de la Constitution »

Chasse aux arrêts de travail : des médecins dénoncent « une campagne d’intimidation générale »


L’Assurance maladie contrôle des centaines de médecins généralistes qui prescriraient, selon elle, trop d’arrêts de travail, et leur impose des quotas au mépris de la situation des patients. Des médecins, « écœurés », contestent la démarche.

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Loi Immigration : sur les métiers en tension, un article limité qui « suscite de grands espoirs »


Finalement promulguée le 26 janvier, la loi Immigration a été vertement critiquée par la droite qui accuse le Conseil constitutionnel de l’avoir vidée de sa substance. À Saint-Denis, en banlieue parisienne, des bénévoles ont lancé une nouvelle structure pour aider les sans-papiers dans leurs démarches, notamment les travailleurs des métiers en tension, pour qui le texte est censé simplifier la procédure. Reportage. 

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Robert Badinter, le père de l’abolition de la peine de mort, est décédé


L’ancien garde des Sceaux Robert Badinter est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi à l’âge de 95 ans. Le président Emmanuel Macron a annoncé qu’un hommage national sera rendu à celui qui a porté la loi du 9 octobre 1981 ayant aboli la peine de mort en France.

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Mort de Robert Badinter, architecte de l’abolition de la peine capitale en France


La peine de mort avant son abolition par Robert Badinter en 1981: un débat exacerbé en France


Discours de Robert Badinter sur l’abolition de la peine de mort 


Aide médicale d’Etat : « Pour maintenir la santé des migrants, il faut leur donner plus de droits »


Alors que le premier ministre a annoncé une réforme restrictive de l’Aide médicale d’Etat d’ici l’été, deux médecins rappellent, dans cette tribune à « l’Obs », l’indignité de cette proposition et le risque sanitaire qu’elle fait courir à tous.

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La CNIL valide Microsoft comme hébergeur de données de santé des Français, mais avec des regrets


C’est un feu vert peu enthousiaste que donne la CNIL, dans sa décision publiée ce mercredi 31 janvier. Comme nous vous l’expliquions au début du mois de janvier, le gendarme de nos libertés a bien validé le fait que Microsoft, société américaine soumise aux lois extraterritoriales américaines, héberge les données de santé des Français et des Européens, dans le cadre du développement d’une plateforme européenne destinée à la recherche.

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Subventions réduites voire supprimées, nouvelle stratégie… Laurent Wauquiez est-il en guerre contre la culture en Auvergne-Rhône-Alpes ?


Quatre millions d’euros ont été supprimés aux structures culturelles de la région Auvergne-Rhône-Alpes, depuis 2022. Une diminution des subventions que les professionnels du secteur mettent en cause.

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