D’ici et d’ailleurs


Port d’arme : que sait-on de la formation de «30 000 réservistes» attendus pour renforcer la police nationale?


« La situation est intenable » : 31 sénateurs demandent la légalisation du cannabis



Afghanistan : un an après la chute de Kaboul, « 70% de la population du pays ne mange pas à sa faim »


Un an après la chute de Kaboul, l’Afghanistan a perdu plus de la moitié de ses journalistes


Cameroun : Meurtres et disparitions imputables à l’armée dans la région du Nord-Ouest

La Tunisie s’enfonce dans la crise, la France appelle au « respect de l’État de droit »


Des affrontements ont éclaté lundi devant le Parlement tunisien au lendemain de la suspension de ses activités par le président Kaïs Saïed et du limogeage du Premier ministre. L’armée s’est également déployée dans le palais du gouvernement, selon des fonctionnaires.

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Dans la nuit
En Tunisie, le président gèle les activités du Parlement et démet le premier ministre de ses fonctions


TUNISIE : L’INQUIÉTANTE RÉGRESSION DES DROITS HUMAINS DEPUIS L’ACCAPAREMENT DU POUVOIR PAR LE PRÉSIDENT KAÏS SAÏED


D’ici et d’ailleurs


Police : 37 personnes sont décédées lors d’une mission de police en 2021, révèle l’IGPN


Loi séparatisme: le Conseil constitutionnel valide des dispositions contestées par les cultes chrétiens



Ukraine : L’emplacement de bases russes et ukrainiennes met en danger les civils


La Tunisie va-t-elle redevenir une dictature ?


Égypte : ces présentateurs à la solde du pouvoir qui mènent campagne contre les journalistes


Sri Lanka : les forces de l’ordre délogent des manifestants manu militari, la communauté internationale s’inquiète

D’ici et d’ailleurs



Ukraine : après l’attaque russe sur Vinnytsia, Moscou dit avoir frappé une réunion militaire


Tchad : l’enfance brisée des victimes de viols


Génocide des Tutsi au Rwanda : Laurent Bucyibaruta condamné à 20 ans de prison


Soutenir la quête de justice pour les crimes graves internationaux


Guerre en Ukraine, en direct : le Britannique Paul Urey meurt dans une prison du Donetsk ; Londres juge l’information « alarmante »


Hongrie : Bruxelles saisit la justice européenne contre une loi enfreignant les droits des LGBTQ et des atteintes aux médias


La Tunisie va-t-elle rebasculer dans la dictature ?


En Birmanie, le sinistre retour de la peine de mort pour mater la contestation

Dans l’actualité


De LGBT à LGBTQIA+ : l’évolution du sigle qui décrit la diversité des identités de genre et orientations sexuelles


Tunisie : la colère des juges ne retombe pas


RDC : Les journalistes dans le viseur des combattants au Nord-Kivu


ENS, Supélec, Polytechnique : plusieurs enquêtes pour viol ouvertes sur le campus de Saclay


A Avignon, la fresque antisémite avec Emmanuel Macron a été effacée


Dans l’actualité


Afghanistan : un séisme de magnitude 5,9 fait au moins 920 morts


Tunisie : Forte mobilisation contre le projet de nouvelle Constitution


Des sénateurs américains dévoilent une proposition de loi pour limiter la violence par arme à feu


Cambodge : Annuler les condamnations des « cinq d’ADHOC »


Affaire Fiminco : Bruno Le Maire ne répond plus


En Tanzanie, des Masaï expulsés de leurs terres au nom de la protection de la faune sauvage et du tourisme

Scandales alimentaires: la CGT dénonce les ravages de la rentabilité financière à tout prix

Tunisie : Les révocations arbitraires de magistrats, un coup dur contre l’indépendance de la justice

Le président tunisien Kaïs Saïed, lors de la cérémonie de prestation de serment au siège du Parlement au Bardo, dans la banlieue de Tunis, le 23 octobre 2019.
 © 2019 Nicolas Fauque/Images de Tunisie/Abaca/Sipa USA via AP Images


Il faut abolir le décret qui donne au président le pouvoir de révoquer des juges.

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Tunisie : le président Saied s’oppose à la présence d’observateurs étrangers lors des prochains scrutins

Manifestation de soutien à Kais Saieb le 8 mai 2022 à Tunis. © AP Photo/Hassene Drid


Le président tunisien Kais Saied s’est dit hostile à la présence d’observateurs étrangers aux prochains scrutins prévus en Tunisie. Il s’est exprimé ce 12 mai lors de la prestation de serment de nouveaux membres de l’Autorité électorale qu’il s’était arrogé le droit de nommer.

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Tunisie : des députés en résistance après la dissolution du Parlement


La décision du président Kaïs Saïed de dissoudre le Parlement a suscité une levée de bouclier dans le pays. Depuis, certains élus estiment êtres entrés dans une période de résistance.

Au moins 25 corps de migrants rejetés sur la plage en Tunisie

Une plage dans les environs de Zarzis, en Tunisie. Crédit : InfoMigrants


En trois jours, près de 25 cadavres ont été rejetés par la mer au large des côtes du nord-est de la Tunisie. Selon les informations de l’OIM, il s’agirait de migrants de nationalité syrienne et tunisienne.

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Tunisie : Un tribunal militaire emprisonne un éminent avocat

Aucune personne critiquant la prise de pouvoir du président ne semble être à l’abri

Le portail barricadé du Parlement tunisien, dans le quartier du Bardo à Tunis, photographié le 26 juillet 2021, au lendemain de la décision du président Saïed de suspendre cette assemblée dans le cadre de sa saisie de pouvoirs exceptionnels, le 25 juillet 2021. © 2021 Ahmed Zarrouki


(Tunis) – L’emprisonnement d’un avocat de premier plan, le 2 mars 2022, pour s’être querellé avec des membres des forces de sécurité, est une nouvelle étape alarmante dans la confiscation des libertés civiques depuis que le président tunisien Kais Saied s’est arrogé des pouvoirs extraordinaires le 25 juillet 2021, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Abderrazak Kilani, ancien ministre et bâtonnier de l’Ordre des avocats, est l’un des Tunisiens les plus en vue à être emprisonné pour son expression pacifique depuis la chute du président Zine el-Abidine Ben Ali en 2011.

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Tunisie : Il faut faire barrage aux restrictions imminentes qui menacent la société civile

Un projet de loi risque de rétablir les restrictions de l’ère Ben Ali

Le président tunisien Kaïs Saïed levait son poing en marchant sur l’avenue Bourguiba à Tunis, entouré de gardes du corps, le 1er août 2021.   © 2021 Slim Abid/Présidence tunisienne via AP


(Tunis) – Les autorités tunisiennes devraient immédiatement renoncer à imposer de nouvelles restrictions aux organisations de la société civile, ont déclaré 13 organisations tunisiennes et internationales de défense des droits humains aujourd’hui.

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Afrique : les dictatures

En Tunisie, le président, Kaïs Saïed, renforce son contrôle de la justice

Manifestation contre le président tunisien, Kaïs Saïed, le 13 février 2022 à Tunis. HASSENE DRIDI / AP


Le chef de l’Etat s’est attribué par décret le pouvoir de limoger les magistrats et leur interdit de faire grève.

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Egypte : grève de la faim d’un médecin prodémocratie détenu depuis 2018

Une immense bannière représentant le président Abdel Fattah Al-Sissi sur un pont d’autoroute, dans le quartier de Nasr City, au Caire, le 15 janvier 2021. AMIR MAKAR / AFP


Walid Shawky avait été en 2008 l’un des fondateurs du Mouvement du 6 avril, puis emprisonné le 14 octobre 2018 pour « appartenance à une organisation terroriste ».

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Tunisie : Des détentions secrètes sous couvert d’état d’urgence

Des manifestants lors d’une manifestation contre le président tunisien Kaïs Saïed, 18 septembre 2021.  © 2021 AP Photo/Riadh Drid


Des assignations à résidence arbitraires, sans contrôle judiciaire.

(Tunis) – Les autorités tunisiennes dissimulent sous certaines assignations à résidence des détentions secrètes sous prétexte d’état d’urgence, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Le cas de l’ancien cadre du ministère de l’Intérieur, Fathi Beldi, et d’autres, témoignent d’une dangereuse escalade dans l’application des mesures d’exception.

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Un rapport à point nommé : Journalisme en Tunisie : l’heure de vérité


Au lendemain de la violente répression qui a touché une vingtaine de journalistes qui couvraient des manifestations contre le président Saïed, Reporters sans frontières (RSF) publie Journalisme en Tunisie : l’heure de vérité, un rapport qui met le doigt sur le risque de dilution des acquis de la révolution tunisienne.

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Tunisie : Libérer l’ex-ministre de la Justice, détenu arbitrairement

Un nouveau coup porté aux droits dans le cadre de la saisie de pouvoirs extraordinaires par le président
Saïed.

L’ancien ministre tunisien de la Justice Noureddine Bhiri (à gauche) et Fethi Beldi, un ancien employé du ministère de l’Intérieur, sont tous les deux détenus arbitrairement en Tunisie depuis le 31 décembre 2021.   © 2011 AP Photo/Hassene Dridi ; © 2021 Privé


(Tunis) – Les autorités tunisiennes devraient immédiatement libérer l’ancien ministre de la Justice, Noureddine Bhiri, actuellement en détention arbitraire, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui.

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Gaz en Tunisie : le business trouble du groupe français Perenco


Premier groupe pétrolier et gazier indépendant d’Europe, Perenco, usant de sociétés écran, détruit le sous-sol tunisien en l’absence de tout cadre légal, et en dépit des risques de pollution et des secousses sismiques. Un constat et des faits niés par les autorités et la direction du groupe propriété de la famille Perrodo (une des premières fortunes françaises). C’est ce que révèle notre enquête, copubliée et produite avec le site indépendant tunisien Inkyfada et le Journalism Fund EU.

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Tunisie : Les tribunaux intensifient leurs poursuites portant atteinte à la liberté d’expression


Le portail barricadé du Parlement tunisien, dans le quartier du Bardo à Tunis, photographié le 26 juillet 2021, au lendemain de la décision du président Saïed de suspendre cette assemblée dans le cadre de sa saisie de pouvoirs exceptionnels, le 25 juillet 2021. © 2021 Ahmed Zarrouki


(Tunis) – Les autorités tunisiennes poursuivent des citoyens devant des tribunaux militaires et civils et les emprisonnent pour avoir critiqué publiquement le président Kais Saïed et d’autres responsables, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Parmi les personnes poursuivies figurent des membres du parlement, des personnes connues pour leurs commentaires sur les réseaux sociaux et un animateur de télévision.

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En Tunisie, une personne sur cinq veut quitter le pays, selon une enquête nationale


Des jeunes tunisiens manifestent contre le chômage devant l’installation d’hydrocarbures et de gaz d’el-Kamour, dans l’Etat de Tataouine, le 16 juillet 2020. (FATHI NASRI / AFP)


D’après une étude nationale sur les migrations réalisées en Tunisie et publiée le 8 décembre, 40% des jeunes âgés de 15 à 29 ans veulent quitter le pays.

Un Tunisien sur cinq veut quitter la Tunisie : ce chiffre édifiant a été dévoilé mercredi 8 décembre par une enquête nationale sur les migrations, réalisée par l’Observatoire national de la migration (ONM) et l’Institut national de la statistique (INS). La proportion est encore plus élevée chez les jeunes de 15 à 29 ans : 40% d’entre eux veulent partir vers l’Europe. 

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En Tunisie, la ville de Zarzis submergée par les cadavres de migrants


Le cimetière « Jardin d’Afrique » compte déjà environ 500 tombes, pour une capacité de 800 places. Crédit : Dana Alboz / InfoMigrants


La ville de Zarzis dans le sud de la Tunisie prend en charge l’immense majorité des corps de migrants rejetés par la mer sur les différentes plages du sud du pays. Un fardeau pour la petite municipalité qui dit manquer de moyens. Deux cimetières d’exilés sont aujourd’hui visibles à Zarzis. Ils comptent à eux deux près de 1 000 corps, et arrivent à saturation.

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