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Belgique: faut-il interdire ou encadrer les courses-poursuites par la police? La Ligue des droits humains réclame un débat.


Népal: près de 500 000 citoyens apatrides attendent la régularisation de leur situation


Maroc: les réseaux sociaux en deuil après la mort de Meriem, avortée clandestinement à la suite d’un viol


Somalie : le pays est au bord de la famine


Soudan : « Un enfant sur trois ne va pas à l’école », s’alarment des organisations humanitaires


L’Algérie expulse une nouvelle vague de 600 migrants africains vers le Niger


Gangs et pouvoir en Haïti, histoire d’une liaison dangereuse

Les jeunes mobilisés contre le sida

Le Sida a entraîné plus de 36,3 millions de décès depuis sa découverte au début des années 80. © Shutterstock – AtlasStudio


À l’occasion de la 7è conférence de Reconstitution des Ressources du Fonds mondial, du 18 au 21 septembre 2022, à New York, nous avons suivi le travail d’une petite ONG de terrain qui bénéficie de l’appui du Fonds Mondial.

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D’ici et d’ailleurs

Marseille : une cinquantaine de migrants mineurs isolés installent leurs tentes sur la Canebière


Le second sommet pour l’information et la démocratie se réunit à New York le 22 septembre 2022


Ukraine: un employé de l’OSCE condamné à treize ans de prison par les séparatistes pro-russes


Les Iraniens bouleversés par la mort d’une femme arrêtée par la police des mœurs


Angola : les enfants des rues de Luanda, visages d’un pays miné par les inégalités


ARGENTINE : IVG, LA RÉVOLUTION DES FEMMES


Forum de la vie associative à La Chapelle St-Luc

Gymnase Albert-Camus, 46 Avenue Jean-Jaurès



Le forum de la vie associative est un évènement incontournable qui permet aux Chapelains et aux autres de découvrir un large choix d’associations.
Il ouvrira ses portes le 17 septembre 2022, de 10h à 18h avec une nouvelle formule et un nouveau lieu cette année : le gymnase Camus.

Il regroupe de nombreuses associations culturelles, sportives, famille et santé…

Des démonstrations sur scène et dans la salle tout au long de la journée afin de montrer différents sports et activités (judo, danse, théâtre…).

Retrouvez toutes les associations dans le guide des associations et des loisirs.

D’ici et d’ailleurs



Calais : nouvelles accusations de violences policières contre des migrants


Système ARENH : « Une arnaque à 8 milliards »


États-Unis: un juge du Texas conteste l’obligation de rembourser des médicaments anti-sida


En Suisse comme ailleurs, les mouvements pro-vie gagnent du terrain


Désinformation et propagande de guerre russe diffusées par Eutelsat : RSF saisit l’ARCOM


Syrie : Les enfants handicapés manquent de protection


Éducation: cinq écoles pour filles ont rouvert dans l’est de l’Afghanistan

Lectures de rentrée


Féminicides
Une histoire mondiale

Christelle Taraud

Sortie prochaine


« Lancer l’alerte. Guide à usage du lanceur d’alerte et de ses soutiens. »

En précommande



A L’OMBRE DE LA CITÉ RIMBAUD

HALIMATA FOFANA



De la tyrannie

Vingt leçons du XXe siècle

Petit précis à usage quotidien pour lutter contre les extrémismes.

NORA KRUG,  TIMOTHY SNYDER


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Afrique subsaharienne : 98 millions d’enfants et de jeunes sont privés d’école

Une petite écolière togolaise. L’Afrique est le continent où vivent le plus d’enfants non scolarisés dans le monde, selon l’Unesco.  (GODONG / BSIP)


C’est la seule région du monde où le nombre d’enfants non scolarisés est en hausse.

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«L’école est le premier lieu de cristallisation du sexisme»


Une intervention au sein du collège Camille-Claudel de Villepinte (Seine-Saint-Denis) de l’association En avant toute(s), dont le programme vise à «susciter la parole chez les collégiens pour lutter contre les inégalités filles-garçons et prévenir les violences conjugales», en mai 2021. (Marie Rouge/Libération)


La présidente du Haut Conseil à l’égalité enjoint les pouvoirs publics à mettre sur pied «un plan d’urgence de l’égalité à l’école» pour cette rentrée, et à impliquer davantage les établissements dans la lutte contre les violences et les discriminations sexuelles.

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Rentrée scolaire

Plus de 1.600 enfants toujours sans logement à deux jours de la rentrée scolaire

Certains enfants dorment actuellement dans des tentes sur le trottoir à deux jours de la rentrée scolaire. © Radio France – Catherine Grain


Plusieurs associations lancent ce mardi un réseau national avec la FCPE, pour mieux repérer et reloger durablement les familles qui vivent à la rue. À deux jours de la rentrée scolaire, plus de 1.600 enfants sont sans solution de logement, ce qui va avoir un impact sur leur scolarité.

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LA DÉFENSEURE DES DROITS ALERTE SUR L’ACCÈS À L’ÉDUCATION DES ENFANTS EN SITUATION DE HANDICAP


À quelques jours de la rentrée scolaire, la Défenseure des droits, Claire Hédon, publie un rapport « L’accompagnement humain des élèves en situation de handicap » et propose 10 recommandations permettant d’instaurer une école réellement inclusive et sans discrimination.

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Afrique : De nombreuses jeunes mères sont confrontées à des obstacles à l’éducation

Gérald Darmanin veut un encadrement militaire pour les mineurs délinquants dans les territoires d’outre-mer


Gérald Darmanin, lors d’une visite de la caserne de gendarmerie de Pamandzi, à Mayotte, le 22 août 2022. JEAN-CLAUDE COUTAUSSE POUR « LE MONDE »


Alors que le ministre de la justice, Eric Dupond-Moretti, a annoncé lundi la création d’un centre éducatif fermé à Mayotte, celui de l’Intérieur va faire des propositions à Emmanuel Macron pour ouvrir « des lieux de rééducation et de redressement ».

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Le Planning familial, qui s’estime victime d’une attaque « extrêmement violente » de l’extrême-droite, envisage de déposer plainte

Affiches sur l’accès à l’IVG dans les locaux du planning familial de la Sarthe au Mans, 9 octobre 2020 (Alexandre Chassignon/RADIO FRANCE)


L’association est sous le feu de nombreuses critiques, notamment de la part de l’extrême-droite, après la diffusion mercredi 17 août sur Twitter d’une affiche présentant deux hommes assis sur un canapé, dont l’un a le ventre arrondi.

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Afghanistan, un an après

Un homme transporte un sac de céréales reçu dans une permanence du Programme alimentaire mondial (PAM) à Kandahar (Afghanistan), le 21 avril 2022. (JAVED TANVEER / AFP)


Dans un rapport publié lundi, l’ONG International Rescue Committee (IRC) estime que la crise actuelle pourrait tuer « beaucoup plus d’Afghans que les vingt dernières années de guerre ».

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Afghanistan : « On ne lapide plus » les femmes « dans les stades de football », mais la « même attitude anti-féministe persiste » chez les talibans, selon un expert


Afghanistan : « C’était très dur de tout recommencer à zéro », raconte une militante pour les droits des femmes exilée en France

Le « gâchis » des obligations de quitter le territoire prises contre des jeunes apprentis


Patrons, professeurs et associations dénoncent une recrudescence des mesures d’expulsion « ubuesques » contre des jeunes pourtant formés sur des métiers en tension.
Par Julia Pascual Le Monde
Publié le 30 juillet 2022 à 14h00, mis à jour hier à 06h42 • Lecture 3 min.
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Ils sont des futurs pâtissier, boulanger ou boucher, menuisier ou logisticien. Ils sont maliens, guinéens ou ivoiriens. Et sont menacés d’expulsion. Ces jeunes majeurs, élèves de la filière professionnelle et soutenus par leurs professeurs, leurs patrons ou des associations, estiment pourtant être pleinement engagés dans des démarches d’insertion. Au moment où de nombreux secteurs économiques font état de difficultés de recrutement, tels que l’hôtellerie-restauration et le bâtiment, ces situations interpellent.

Lire aussi : Ils démissionnent ou se reconvertissent pour vivre mieux : où sont passés les salariés ?
Moussa (il n’a pas souhaité donner son nom de famille) est titulaire d’un CAP de peintre et d’un CAP de couvreur, obtenus au lycée Jean-Monnet de Montrouge (Hauts-de-Seine). Ce Malien de 21 ans, en France depuis cinq ans et logé par une tante française, a demandé un titre de séjour, mais s’est vu délivrer une obligation de quitter le territoire français (OQTF) en janvier par la préfecture du département. « Je ne comprends pas, confie-t-il au Monde. J’ai fourni tous mes bulletins, avec à chaque fois les encouragements ou les félicitations. Un patron voulait m’embaucher mais [à cause de l’OQTF], il n’a pas pu. » Moussa a formé un recours et, dans l’attente, il s’est inscrit en CAP plâtrier pour la rentrée de septembre. Toujours dans les Hauts-de-Seine, un autre Malien, également prénommé Moussa et titulaire d’un bac professionnel en électricité, est lui aussi sous le coup d’une obligation de quitter le territoire depuis mars. Pris en charge par l’aide sociale à l’enfance entre 2017 et 2021, Moussa, aujourd’hui âgé de 21 ans, est accompagné par un patron chez lequel il a déjà réalisé plusieurs contrats à durée déterminée. « Je ne comprends pas pourquoi j’ai une OQTF, j’en souffre énormément », dit-il. « Situations ubuesques » Dans ce département francilien, ces situations se multiplient, selon Armelle Gardien, du Réseau éducation sans frontières (RESF). « Cette problématique absorbe la quasi-totalité de nos efforts, témoigne-t-elle. Depuis 2021, on accompagne quatre-vingts jeunes qui ont des OQTF. Mais la problématique est générale. » Ainsi, dans la Marne, Marie-Pierre Barrière, professeure de français et membre de RESF, dénombre près de trente jeunes menacés d’expulsion et accompagnés par l’association. Elle évoque le cas de Maurice Tolno, un Guinéen de 20 ans titulaire d’un CAP de cuisinier et expulsé le 3 juillet vers Conakry. « Il travaillait dans un restaurant à Amiens, le patron le trouvait excellent et voulait l’embaucher en CDI», souligne la militante, qui précise qu’une OQTF avait été prise à son encontre par la préfecture de l’Aisne, « sous prétexte d’incohérences dans son récit de vie lors de son évaluation de minorité auprès de l’aide sociale à l’enfance ».
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Armelle Gardien voit dans ces situations « un gâchis ». « Ces jeunes sont dans des parcours de formation que des élèves français considèrent comme des pis-aller. Il est intéressant de voir que beaucoup de pétitions de soutien à leur égard émanent de patrons. » « Depuis cet été, j’ai l’impression qu’il y a une recrudescence de situations ubuesques, de cas de patrons dans des métiers en tension qui sont contents d’avoir enfin un jeune fiable, ponctuel, investi, mais qui doit arrêter de travailler », rapporte à son tour Margot Wolf, membre bénévole de Patron.ne.s solidaires. Cette association a été fondée notamment par le boulanger Stéphane Ravacley, candidat de la Nouvelle Union écologique et sociale (Nupes) du Doubs, pour lutter contre l’expulsion des jeunes apprentis. Absence d’attaches en France Sollicitée sur le sujet, la direction générale des étrangers en France n’a pas donné suite. Au moment où le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, annonce un projet de loi à la rentrée pour améliorer les éloignements et le taux d’exécution des OQTF, il est intéressant de se pencher sur les motifs qui président à celles qui visent ces jeunes. Les préfectures leur reprochent notamment l’absence d’attaches en France ou l’existence de liens familiaux dans le pays d’origine, des documents d’état civil considérés comme faux, des résultats insuffisants ou encore des absences scolaires. Armelle Gardien considère ces arguments plus ou moins fallacieux selon les situations. De fait, une partie de ces OQTF sont abrogées.

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Cela a par exemple été le cas à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) pour deux élèves du lycée Marcel- Cachin, qui forme aux métiers industriels du BTP. Martial, un Camerounais de 19 ans, et Gédéon, un Ivoirien du même âge, ont obtenu le réexamen de leur situation après des recours gracieux. Déjà titulaires d’un bac pro, ils pourront suivre à la rentrée un BTS en génie climatique. Moussa, un autre élève de l’établissement, lui aussi visé par une OQTF, est en attente du réexamen de sa situation. « La préfecture lui reproche un manque d’attaches familiales en France alors que son père est ici, un manque de justificatifs de présence en 2019 alors qu’il était déjà scolarisé et l’absence d’une insertion professionnelle alors qu’il doit poursuivre son bac pro électrotechnique en alternance l’an prochain chez Bouygues Energies », souligne Claire Moissonnier, professeure de français et d’histoire au lycée Marcel-Cachin, qui accompagne ces jeunes.

Lire aussi « La situation des jeunes majeurs étrangers représente un terrible gâchis humain et social »
Mme Moissonnier estime qu’il y a dans l’établissement « plus d’une vingtaine de dossiers d’élèves qui ont des demandes de titre de séjour en cours ». « Ils sont sérieux et intéressés. Ils tirent les classes vers le haut », assure-t-elle. Elle s’apprête à devoir se battre pour chacun d’entre eux.
Julia Pascual

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Somalie : la naissance d’un nouveau média


Éducation des jeunes filles, accès à la santé ou encore violences sexuelles, Bilan Media, un nouveau canal d’information pour sensibiliser à des sujets encore peu médiatisés.

Somalie : un média 100% féminin pour dénoncer les violences sexuelles

Bilan media est le premier média féminin en Somalie, un pays où aucune loi ne punit les violences sexistes et sexuelles.  ©bilan media/twitter


Bilan Media, c’est le nom de ce nouveau et premier média 100% féminin en Somalie. Six femmes journalistes composent l’équipe. Reportages, enquêtes, interviews : leur objectif est de mettre en lumière la situation des femmes dans la très conservatrice société somalienne. Parmi les sujets les plus tabous : les violences sexistes et sexuelles, contre lesquelles aucune loi n’existe. 

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Il y a 80 ans : la rafle du Vel d’Hiv

Des dessins poignants de Cabu sur la rafle du Vel d’Hiv exposés pour la première fois au Mémorial de la Shoah

« Cabu, dessins de la rafle du Vel d’Hiv » – jusqu’au 7 novembre 2022 au Mémorial de la Shoah. (CAPTURE D’ÉCRAN FRANCE 3 / I. RACINE)


« Ce sont des dessins sans paroles, ça c’est la phrase de Riss. Et je considère qu’on ne pouvait pas les laisser dans un carton à dessins, il fallait qu’ils soient vus par le plus grand nombre, pour expliquer ce qu’a été l’horreur de cette tragédie. » Véronique Cabut, épouse de Cabu

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Migrants: étudier en France

Quelles sont les bourses auxquelles vous avez droit ?

De nombreux jeunes rêvent de faire des études universitaires


Pour les jeunes exilés, faire ses études en France peut s’avérer coûteux. Le manque de ressources peut entraver leur parcours universitaire, et même menacer l’obtention de leur diplôme. Pour les aider au quotidien, il existe des bourses, délivrées en fonction de leur statut. InfoMigrants fait le point.

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En Afrique du Sud, les adolescentes et les jeunes femmes, premières victimes des contaminations au VIH

Abigail, 22 ans, bénéficiaire de l’association Childline. A Soshanguve, Pretoria, Afrique du Sud, le 1er juillet 2022. GULSHAN KHAN POUR « LE MONDE »


Premier foyer de l’épidémie de VIH au monde, l’Afrique du Sud est également l’un des pays les plus violents envers les femmes. La maladie reste taboue et la rudesse du système de soins public frappe durement les jeunes filles.

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« Mesdames, n’ayez pas peur, ne retirez jamais une plainte que vous déposez » : l’appel de l’actrice Judith Chemla, victime de violences conjugales


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Atteinte de surdité, elle se bat pour garder ses aides

Dans les Hauts-de-Seine, de plus en plus de jeunes apprentis étrangers menacés d’expulsion

Samedi 2 juillet, Resf a organisé un pique-nique dans le parc de Sceaux pour soutenir les jeunes apprentis étrangers qui ont reçu une OQTF. Crédit : InfoMigr


Dans le département des Hauts-de-Seine, de plus en plus de jeunes majeurs étrangers, arrivés mineurs en France, reçoivent des Obligations de quitter le territoire français (OQTF) malgré leur scolarisation et même, souvent, des promesses d’embauche. Les associations dénoncent un acharnement des autorités.

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