Istanbul : la police turque réprime la Marche des Fiertés


La police turque a interpellé sans ménagement plus de 200 personnes, militants et journalistes, dimanche 26 juin. La Marche des Fiertés LGBTQ+ à Istanbul a été interdite par les autorités. Des centaines de manifestants ont bravé cette interdiction dans la capitale turque.

À Calais, un militant britannique, qui soutient les exilés, est menacé d’expulsion

APRÈS LE BREXIT, LA FRANCE VEUT RENVOYER À L’ANGLETERRE SES GAUCHISTES


Un militant britannique, soutien des sans papiers à Calais, a été placé en rétention administrative avant une probable expulsion dans les prochains jours. Les associations dénoncent une tentative d’intimidation contre ceux qui aident les exilés.

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Rwanda : Vague de poursuites visant la liberté d’expression

Les autorités devraient libérer les journalistes, commentateurs et membres des partis d’opposition injustement emprisonnés

La prison de Nyarugenge dans le secteur de Mageragere, à Kigali (Rwanda), où plusieurs YouTubeurs sont en attente de jugement ou purgent leur peine. © 2019 Privé


(Nairobi) – Les autorités judiciaires au Rwanda poursuivent des membres de l’opposition, journalistes et commentateurs pour leurs discours et opinions, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. En 2020 et 2021, Human Rights Watch a suivi plusieurs procès lors desquels les autorités judiciaires ont engagé des poursuites pour des motifs politiques et entretenu un climat d’intolérance à l’égard de la dissidence.

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RUSSIE : LA RÉPRESSION DU KREMLIN MUSÈLE TOTALEMENT LES JOURNALISTES INDÉPENDANTS

Deux policiers russes dans l’ombre bloquent l’accès à la place Rouge à Moscou le 2 mars 2022 / © Kirill Kudryavtsev via AFP


Vladimir Poutine mène aussi une guerre contre la liberté d’expression. Suite à l’invasion de l’Ukraine, les autorités russes ont déclenché une répression sans précédent contre le journalisme indépendant et les voix antiguerre.

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Russie : Des manifestants antiguerre arrêtés, torturés et maltraités

Des milliers de personnes ont été arrêtées le 6 mars, et des manifestants sont maltraités en détention


Ces trois policiers russes emmenaient de force un manifestant, courbé vers l’avant, qui participait à un rassemblement antiguerre sur la Place du Manège (place Manezhnaya) à Moscou, le 6 mars 2022. © 2022 Dmitry Lebedev/Kommersant/Sipa via AP Images


(Berlin, le 9 mars 2022) – Les autorités russes ont arrêté de façon arbitraire des milliers de manifestants pacifiques lors de rassemblements anti-guerre à travers toute la Russie, dans la lignée de leur répression de plus en plus brutale à l’encontre de personnes qui s’opposent à l’offensive militaire de Moscou en Ukraine, a déclaré aujourd’hui Human Rights Watch.

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Afrique : violences policières

Au Soudan, deux manifestants tués dans des défilés contre le pouvoir militaire

Manifestation appelant à un gouvernement civil et dénonçant l’administration militaire, à Omdurman, la ville jumelle de Khartoum, la capitale du Soudan, le 14 février 2022. AFP


La 81e victime a été tuée lundi 14 février à Khartoum d’une « balle réelle dans la poitrine » tirée par « les forces de sécurité soudanaises ».

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SÉNÉGAL : DES MANIFESTANTS TUÉS PAR LA POLICE

Un manifestant fait un geste vers la police lors d’une manifestation à Dakar le 8 mars 2021 / © John Wessels – AFP


Il y a un an, le Sénégal traversait la pire crise de son histoire récente. Suite à l’arrestation de l’opposant politique Ousmane Sonko, la jeunesse sénégalaise est descendue dans la rue : jour après jour, les manifestations ont gagné plusieurs villes du pays. Les autorités les ont réprimées dans la violence : usage excessif de la force, tirs de grenades lacrymogènes, tirs à balles réelles. 14 personnes ont été tuées. Un an après, ces crimes restent impunis. Les familles des victimes attendent justice et vous pouvez agir !

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La répression brutale au Burundi n’a jamais cessé

Les États-Unis et l’Union européenne ont simplement choisi de l’ignorer

Le président burundais Évariste Ndayishimiye lors de sa cérémonie de prestation de serment à Gitega, au Burundi, le 18 juin 2020. © 2020 Evrard Ngendakumana/Xinhua via Getty Images


En juin 2020, lorsqu’Évariste Ndayishimiye a prêté serment en tant que président du Burundi après le décès soudain de son prédécesseur violent et autocratique, Pierre Nkurunziza, il s’est engagé à « maintenir l’unité entre les Burundais » et à garantir « la paix et la justice pour tous ». Pourtant, depuis un an et demi, son gouvernement continue largement à marcher sur les pas de Pierre Nkurunziza. Il a intimidé et réprimé ses opposants, détenu et torturé ses détracteurs, et, comme l’atteste un nombre grandissant de preuves recueillies par des organisations internationales et burundaises de défense des droits, a tué et fait disparaître un grand nombre de personnes qu’il soupçonne de travailler avec l’opposition politique ou avec des groupes rebelles.

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« Société de vigilance » : quand les voisins font la police

– Pixabay/CC/ashleshkshatri


La «démarche participation citoyenne», encadrée par la gendarmerie et dans laquelle les voisins participent à la sécurité de quartiers, cristallise les inquiétudes. Plus de 5 000 communes en France ont adopté ce dispositif. Enquête.

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Chine : un commentateur politique détenu pour “subversion”


Reporters sans frontières (RSF) appelle à la libération de Guo Feixiong, un défenseur historique de la liberté de la presse en Chine, qui la semaine dernière a été formellement accusé « d’incitation à la subversion du pouvoir de l’État » après plus d’un mois de détention.

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« Quand on commence à renoncer à des libertés, on ne revient pas en arrière »

AVEC LE JOURNALISTE PIERRE JANUEL, ANNE-SOPHIE SIMPERE PUBLIE : « COMMENT L’ÉTAT S’ATTAQUE À NOS LIBERTÉS, TOUS SURVEILLÉS ET PUNIS »


La France est-elle devenue un système répressif ? Dans un ouvrage, Anne-Sophie Simpere d’Amnesty international et Pierre Januel, journaliste, reviennent sur vingt ans de libertés publiques progressivement rognées.

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Kazakhstan : près de 8 000 arrestations après les violences qui ont secoué le pays

Les forces de sécurité interpellent un homme à Almaty, au Kazakhstan, le 8 janvier 2022. (VASILY KRESTYANINOV / SPUTNIK / AFP)


Le mouvement de contestation contre le pouvoir a été violemment réprimé par les autorités dans cette ancienne république soviétique. Le gouvernement a évoqué plusieurs « dizaines » de morts.

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En Iran, une dégradation continue des droits humains

Manifestation d’opposants exilés au président iranien Ebrahim Raïssi, le 5 août 2021, à Londres. ADRIAN DENNIS / AFP


Les exécutions de condamnés mineurs au moment des faits se poursuivent et la répression des militants qui critiquent la République islamique s’accroît.

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Hongkong : le site « CitizenNews » cesse ses activités en raison de craintes pour la sécurité de ses journalistes


Chris Yeung, le cofondateur de « CitizenNews », le 3 janvier 2022, à Hongkong. VINCENT YU / AP


Après l’« Apple Daily » et « Stand News », « CitizenNews » vient, à son tour, d’annoncer la cessation de ses activités. Le climat pour la presse s’est considérablement dégradé avec la répression qui a suivi la mobilisation populaire de 2019.

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En Algérie, la stratégie d’étouffement du Hirak se durcit


Des manifestants antigouvernementaux portent une affiche figurant des militants emprisonnés, à Alger, le 7 mai 2021. RYAD KRAMDI / AFP


Près de deux ans après le début du mouvement de contestation, les manifestations ont cessé mais les condamnations continuent de pleuvoir sur les militants, journalistes et défenseurs des droits humains.

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COLOMBIE : RETOUR À CALI, L’ÉPICENTRE D’UNE RÉPRESSION VIOLENTE

Des manifestants sont rassemblés la nuit dans l’un des « points de résistance » de la ville de Cali, 2021 / ©Amnesty International – Christian EscobarMora

D’importantes manifestations ont éclaté en Colombie depuis avril. Elles ont été réprimées violemment par les autorités. Retour dans la ville de Cali, épicentre de la contestation.


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Birmanie : nouvelles manifestations, tollé mondial au lendemain de la journée de répression la plus sanglante depuis le putsch


Malgré la répression, les manifestations se poursuivent en Birmanie. © Crédit photo : HANDOUT / AFP


Dimanche, les Birmans sont une nouvelle fois dans la rue pour réclamer le retour à la démocratie, après la journée la plus sanglante depuis le putsch.


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