![](https://i0.wp.com/cdn-s-www.leprogres.fr/images/C6C5FFC1-B7DD-4E37-91D9-41283F923B1E/NW_raw/title-1705037413.jpg?w=680&ssl=1)
En choisissant l’ex-ministre de Nicolas Sarkozy pour succéder à Rima Abdul-Malak au ministère de la Culture, Emmanuel Macron s’est certainement inspiré des recettes de succès des comédies françaises.
En choisissant l’ex-ministre de Nicolas Sarkozy pour succéder à Rima Abdul-Malak au ministère de la Culture, Emmanuel Macron s’est certainement inspiré des recettes de succès des comédies françaises.
Ouverte en juin dernier, la commission d’enquête sur l’échec des plans Écophyto de réduction des pesticides a rendu ses conclusions. Celles-ci montrent un manque de coordination interministérielle dans la mise en œuvre des mesures requises.
Plusieurs médias qui ont consacré des articles à l’enquête de l’Ifop ont omis de mentionner certaines données, notamment concernant la «sympathie» des Français musulmans à l’égard du groupe islamiste.
Depuis deux mois, toute dénonciation de la guerre menée par Israël à Gaza expose son auteur à l’accusation d’antisémitisme, ainsi que La France Insoumise, et particulièrement Jean-Luc Mélenchon en ont fait les frais. Dominique de Villepin, qui est sans doute le seul responsable ou ex-responsable gouvernemental français à critiquer la stratégie israélienne de guerre totale, s’est à son tour retrouvé sur le banc des accusés pour avoir critiqué les médias et les industries culturelles. Retour sur un procès – en partie – truqué.
Ses dossiers font la Une et il aime ça. Pour faire bouger les lignes sur la question des violences policières, Arié Alimi use du droit autant qu’il joue des médias. À travers cinq affaires emblématiques, il raconte sa méthode.
Arié alimi sera parmi nous à Sainte-Savine le 30 novembre prochain à l’issue de notre AG pour présenter son livre et ses combats actuels.
Tout au long de l’année, et plus encore depuis la rentrée, les journalistes politiques jouent les oracles en vue de la future élection présidentielle. Au menu : cueillette de « off » indiscrets, dissertations autour d’interviews « exclusives », accompagnement des plans de comm’ de (certaines) rentrées politiques, bavardage sondagier… L’indigestion est proche, mais les professionnels du commentaire, eux, se régalent.
Une semaine après la suspension de Radio Oméga pour avoir diffusé l’interview d’un opposant à la junte nigérienne, la direction du média a saisi le Conseil d’État du Burkina Faso pour l’annulation de la mesure. Reporters sans frontières (RSF) dénonce les nombreuses menaces contre cette radio indépendante et encourage les médias locaux à résister face aux mesures contre la liberté de la presse prises par la junte.
Une info erronée a circulé le 3 juillet, après un tweet du ministre de l’Intérieur. La réaction demandée au ministre de la Justice, sur France Inter, lui a donné un sens abusif et une résonance qui posent question. Comment un journaliste peut-il ne pas se tromper, s’il se fonde sur des infos sur les réseaux sociaux postées dans un délai trop court pour les vérifier ? Encore une « faute de temps ».
A la une du premier numéro de l’hebdo version Geoffroy Lejeune, des familles de victimes iséroises ont cosigné une lettre ouverte au président Macron. Mais selon les informations du «Dauphiné libéré», le texte aurait été écrit par la rédaction du JDD qui a ensuite sollicité les familles.
Le journal, dont la publication a repris dimanche avec à sa tête de Geoffroy Lejeune, aurait confondu deux affaires pour le choix de la photo de sa Une.
RFI et France 24 ont été suspendues jeudi 3 août par la junte au Niger. Mais les médias français ou étrangers ne sont pas les seuls à être malmenés depuis le coup d’État. Les médias nigériens et leurs journalistes sont également sous pression, selon les organisations de protection des journalistes.
En reprenant à son compte les attaques contre la Ligue des droits de l’homme souvent brandies par l’extrême-droite, le ministre de l’Intérieur a franchi une dangereuse ligne rouge. Seuls les Etats illibéraux ou totalitaires exigent une société civile à leur botte.
65 % de ceux qui s’expriment à la télévision sont des cadres supérieurs, 2 % des ouvriers. Cette représentation, en complet décalage avec la composition de la société, construit une image déformée de la réalité sociale. L’analyse de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.
Face à la répression des mobilisations sociales et écologistes, si les violences policières ont « fait l’agenda » de certains grands médias plus rapidement qu’au moment des manifestations des Gilets jaunes, le traitement médiatique est encore loin d’être à la hauteur des enjeux…
Nota Bene : cet article est disponible en tract (format pdf) ici. Nous le distribuons lors des manifestations aujourd’hui : n’hésitez pas à en faire de même !
« Réforme des retraites : les femmes, grandes perdantes » (Libération, 27/01) ; « Retraites : la réforme n’est pas « plus juste » pour les femmes » (Mediapart, 23/01) ; « Retraites : le ministre Franck Riester admet que les femmes sont « un peu pénalisées » par le report de l’âge légal » (BFM-TV, 23/01)… De toute évidence, l’actuelle réforme des retraites aggravera la situation des femmes, déjà victimes d’inégalités sociales et salariales majeures. Mais si la question des retraites est un enjeu féministe de premier plan [1], la presse féminine se distingue (une nouvelle fois)… par sa capacité à regarder ailleurs.