La communauté LGBT+ du Liban de plus en plus menacée



La répression contre la communauté LGBT+ au Liban a commencé après la crise économique de 2019 et s’est accentuée ces dernières semaines. Menaces de mort, harcèlement, actes d’intimidation : les membres de cette communauté se sentent cernés de toutes parts et voient leur espace de liberté de plus en plus réduit.

Lire ICI

L’Iran accusé d’intimider les familles de victimes avant l’anniversaire de la mort de Mahsa Amini



Les autorités iraniennes s’en prennent aux tombeaux des victimes de la répression en Iran, dénonce Amnesty international. L’ONG alerte sur la multiplication des cas d’intimidation et de harcèlement des familles de victimes pour « les faire taire » à l’approche de l’anniversaire de la mort de Mahsa Amini en septembre. 

Lire ICI

De nombreuses personnalités françaises appellent à la libération de militantes féministes détenues en Iran



À un peu moins d’un an de la mort de Mahsa Amini après une arrestation pour un voile mal mis et le début de nombreuses protestations, 150 personnes en France appellent les autorités iraniennes à libérer douze militantes féministes arrêtées la semaine dernière. Le courrier a été transmis à l’ambassade d’Iran à Paris à l’initiative du collectif Iran Justice.

Lire ICI

Dix ans après « l’apocalypse », des Syriens commémorent l’attaque chimique de la Ghouta



Les Syriens dans les zones rebelles commémorent lundi le dixième anniversaire de l’attaque chimique au gaz sarin près de Damas qui a fait au moins 1 400 morts. Un crime attribué au régime de Bachar al-Assad et toujours impuni.

Lire ICI

Les brèves de Jean: en Hongrie, en Iran…

par Jean Camus

HONGRIE: LA LITTERATURE JEUNESSE LGBTQ+ SOUS BLISTER

La loi  contre la « promotion de l’homosexualité » auprès des mineurs, dénoncée par la Commission européenne, s’impose désormais aux librairies sous forme de lourdes amendes.

Parallèlement, le gouvernement Orban a réduit les droits des LGBTQ+, restreignant en 2020 l’adoption d’enfants aux seuls couples hétérosexuels

M, le Magazine du Monde, samedi 19/08/2023


IRAN : Les arrestations redoublent un an après la mort de Masha Amini, arrêtée par la police des mœurs chargée de surveiller le bon respect des codes vestimentaires.

Les étudiants qui ont participé au mouvement de protestation de septembre 2022 contre le port du foulard sont aussi convoqués par la police.

Les familles sous pression : « depuis quelques semaines, on assiste à une nouvelle vague de répression en prévision de l’anniversaire du soulèvement »

«  un policier m’a demandé de signer une lettre m’engageant à ne participer à  aucune manifestation  » (Sima).

Le Monde samedi 19/08/2023

Russie: la justice dissout l’association Centre Sakharov de défense des droits humains



Ce vendredi 18 août, le tribunal municipal de Moscou a ordonné la dissolution de l’association Centre Sakharov, un des derniers piliers de la défense des droits humains en Russie, en pleine répression des voix critiques depuis l’intervention militaire en Ukraine.

Lire ICI


Russie: perquisitions au sein d’une importante ONG de surveillance électorale, un responsable arrêté

Iran: le réalisateur Saeed Roustaee condamné à la prison pour avoir diffusé son film à Cannes



La justice iranienne a condamné le célèbre réalisateur Saeed Roustaee à six mois de prison pour la projection de son film Leïla et ses frères au Festival de Cannes en 2022, a annoncé mardi 15 août un média iranien.

Lire ICI

Soulèvements de la Terre : le Conseil d’Etat suspend en référé le décret de dissolution du collectif



Le Conseil d’Etat rendra une décision définitive dans cette affaire vraisemblablement à l’automne.

Lire ICI

Récit : après deux ans sous le régime taliban, la résilience du journalisme afghan malgré la répression



À la veille du second anniversaire de l’arrivée des talibans dans la capitale afghane, Kaboul, Reporters sans frontières (RSF) est allée à la rencontre des journalistes qui, à l’intérieur du pays comme à l’étranger, se battent pour faire vivre le journalisme afghan, malgré la chape de plomb imposée par l’administration de l’émirat islamique.

Lire ICI

Au Bélarus, l’appareil de propagande atteint par la purge des médias



Les journalistes travaillant dans les médias d’État biélorusses n’échappent plus à la répression, devenue frénétique, d’Alexandre Loukachenko depuis sa réélection frauduleuse, il y a trois ans. Reporters sans frontières (RSF) dénonce une nouvelle vague d’attaques, d’un régime qui ne connaît plus que la répression.

Lire ICI

Dissolution des Soulèvements de la Terre : des organisations à leurs côtés pour l’audience du 8 août


Les Soulèvements de la Terre ont demandé au Conseil d’Etat la suspension du décret du 21 juin 2023 portant dissolution de leur mouvement. L’audience est programmée le mardi 8 août.

Lire ICI

L’opposant russe Alexeï Navalny condamné à dix-neuf ans de prison supplémentaires à l’issue d’un procès pour extrémisme



L’ONU a demandé la « libération immédiate » de M. Navalny et jugé que sa condamnation « suscite de nouvelles inquiétudes concernant le harcèlement judiciaire et l’instrumentalisation du système judiciaire à des fins politiques en Russie ».

Lire ICI

Entretien exclusif avec Narges Mohammadi, militante des droits humains, emprisonnée en Iran



Journaliste et militante iranienne des droits humains, détenue à la prison d’Evin à Téhéran, Narges Mohammadi, 51 ans, n’hésite pas à dénoncer les exactions du régime islamique même du fond de sa cellule. Lauréate de plusieurs prix internationaux, dont le Prix mondial de la liberté de la presse (2023), le Prix Olof-Palme pour les droits de l’homme (2023), ou encore le Prix Sakharov (2018), elle a répondu, par écrit, aux questions de RFI.

Lire ICI

Vague de répression contre les migrants en Turquie : « J’envisage de retourner au Sénégal »



Des vidéos amateurs envoyées à la rédaction des Observateurs de France 24 montrent des migrants africains arrêtés par la police turque dans le cadre d’une campagne de répression de l’immigration clandestine. Sur ces images, envoyées par des migrants du Sénégal, du Cameroun, de Guinée et d’Angola, des officiers hurlent sur les exilés et, dans certains cas, les violentent physiquement. Nos Observateurs, dont l’une des victimes visible dans une vidéo, racontent. 

Lire ICI

« Des voix et des droits »

le podcast de la LDH en 4 épisodes 

 



L’ÉTAT DES LIBERTÉS ASSOCIATIVES

 

RETOUR HISTORIQUE SUR MAYOTTE

 


ATTEINTES AU DROIT DE MANIFESTER EN FRANCE

 


OBSERVATIONS DE LA MOBILISATION CONTRE LE PROJET DE MÉGA-BASSINE À SAINTE-SOLINE (24-26 MARS 2023)

Quand les activistes écologistes font face à « un droit pénal d’exception »


Après la dissolution des Soulèvements de la Terre le 21 juin, une trentaine d’activistes écologistes proches du mouvement font maintenant face à des procédures judiciaires. Un photojournaliste qui couvrait une action a aussi été mis en examen.

Lire ICI

« C’est un crachat au visage de toutes les femmes » : en Iran, le retour de la police des mœurs fait trembler les opposants au régime



Dissoute en décembre, la police des mœurs est de retour en Iran. Ces hommes du régime patrouillent dans les rues pour sanctionner les femmes qui ne portent pas correctement le voile islamique. Les opposants au régime s’inquiètent, mais continuent leur désobéissance.

Lire ICI


Iran : le retour des patrouilles de la police des mœurs « se retournera contre le régime »


Iran: les autorités ferment un réseau de centres éducatifs pour avoir «incité» à manifester

 

Les talibans sonnent le glas des salons de beauté

par Jean Camus

 

Le régime fondamentaliste afghan prive les femmes d’un de leurs derniers espaces de liberté.

Les femmes, hors du monde du travail, n’auront plus de revenus.

Les universités, les parcs et les salles de sport sont fermés aux Afghanes. L’école est interdite aux filles de plus de 12 ans.

La communauté internationale a dénoncé la politique anti-femme, mais cela ne ferme pas complètement le dialogue « quand le Conseil de sécurité de l’ONU a renouvelé, le 17  mars le mandat de l’UNAMA, -mission politique de l’ONU-  en Afghanistan, ils ont pris ça comme un blanc-seing, à  tel point qu’un mois plus tard ils interdisaient aux Afghanes de travailler pour les organisations internationale » (source onusienne)

« Aujourd’hui , en Afghanistan, nous les femmes n’avons qu’un droit : respirer et c’est tout »  (une sage-femme)

Source: Le Monde du 18/07/2023

Répression et violence pour les militant·es anti-corruption en Afrique

 La répression que subissent les défenseur·e·s des droits humains qui combattent la corruption en Afrique de l’Ouest et du Centre est très préoccupante. Ces personnes jouent un rôle crucial dans la lutte contre la corruption et dans la défense des droits fondamentaux. Pourtant, elles sont la cible d’attaques, d’intimidation, de harcèlement et de persécution lorsqu’elles font éclater la vérité (mauvais traitements, torture et décès en détention).

Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International

La corruption est une question de droits humains. Elle interfère dans la jouissance effective des droits individuels et collectifs garantis par les traités internationaux et régionaux relatifs aux droits humains.

LIRE ICI

Émeutes : reflet de vies brutalisées

La brutalité reprochée aux populations insubordonnées, régulièrement discréditées par celles et ceux qui représentent nos institutions – qu’il s’agisse de la fin de non-recevoir opposée aux gilets jaunes, ou aux « émeutiers » de début juillet –, interroge la façon dont les accusations de violence peuvent apparaître à sens unique dans le discours public.

De quelle violence parle-t-on ? De celle commise à l’encontre de Nahel M., jusqu’au tir fatal, en tant que violence originelle, ou de la violence des émeutiers, qualifiée d’inacceptable et d’injustifiable ?

Interroger la colère et ses manifestations pourrait amener à les voir autrement : sous l’angle de vies « brutalisées », de « violences-reflets » dont nous ne percevons que trop souvent les effets sans identifier leurs causes.

LIRE ICI

RÉVOLTES URBAINES : LA PROTECTION DES ENFANTS EST UNE RESPONSABILITÉ COLLECTIVE !

Communiqué du 12 juillet du COLLECTIF JUSTICE DES ENFANTS dont la LDH est membre

Face à la révolte des jeunes le pouvoir politique et la justice, en apportant une réponse exclusivement répressive, s’exposent au risque de creuser la fracture du pacte social fondée sur l’égalité républicaine. Loin de se questionner sur le message de la jeunesse le garde des Sceaux a appelé à une répression ferme des enfants et à la responsabilisation de leurs parents.

Or depuis des mois, voire des années, tous les acteurs et actrices de la prévention et de la protection de l’enfance alertent sur les dysfonctionnements majeurs des services publics de la jeunesse.

LIRE ICI

et ICI