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Dans les écoles américaines, les chrétiens conservateurs mènent la guerre des livres


ÉGYPTE : AVANT LA COP 27, COMMENT LES AUTORITÉS REDORENT LEUR IMAGE


Des ONG dénoncent un important projet gazier de TotalEnergies en Afrique du Sud


LES MÉDIAS FACE AUX RAFFINEURS : « UN MOYEN D’OPPOSER LES PAUVRES ENTRE EUX »

Arrêt sur images: Thomas Porcher, économiste


Des queues interminables devant les stations-service, des grévistes jugés « irresponsables », une situation qui a des allures de « prise d’otage » : voilà la grammaire médiatique à l’œuvre dans les grands médias depuis une quinzaine de jours pour qualifier le mouvement de grève en cours dans les raffineries françaises, chez les géants Esso-Exxon, et bien sûr Total. Cette façon de déprécier ce mouvement social est finalement assez commune, voire franchement caricaturale. Mais sommes-nous face à une grève comme les autres ? Dans un contexte de pénurie, d’inflation et de tensions géopolitiques, mais aussi face aux superprofits engrangés par les multinationales de l’énergie et l’impératif écologique qui semble gagner du terrain, est-ce que le patronat et les médias qui le relaient sont encore en position de force ?

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Iran: après l’incendie de la prison d’Evine, le sort des détenus inquiète

La prison d’Evine, au nord de Téhéran, où l’incendie s’est déclaré le samedi 15 octobre dans la soirée. © AFP


Les autorités iraniennes ont annoncé que huit détenus sont morts dans l’incendie la nuit dernière de la prison d’Evine à Téhéran. Un peu plus tôt, elles assuraient qu’aucune victime n’était recensée et selon les sources officielles, on parle d’événement sans rapport avec les manifestations, mais l’inquiétude demeure auprès des familles des détenus iraniens et étrangers.

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D’ici et d’ailleurs


Qatar/FIFA : Les revendications des travailleurs migrants en grève doivent être prises en compte


Femmes SDF : à la rencontre des « Invisibles »


Quand France Inter se fait porte-parole du gouvernement


Avec 41 journalistes actuellement détenus, l’Iran est aujourd’hui la troisième plus grande prison au monde pour la profession


« Des pratiques du passé » : Frontex réagit au rapport accablant ses dirigeants


« Parler gentiment a montré ses limites » : face à la crise écologique et climatique, des scientifiques racontent pourquoi ils entrent en rébellion


«Enseigner, ce n’est pas se taire», par Mickaëlle Paty, sœur de l’enseignant assassiné


Elle alerte contre le nouveau projet de Total en Afrique du Sud


Passe d’armes au Sénat après le refus d’un amendement de Laurence Rossignol sur les violences conjugales

Discours de Laurence Rossignol à l’occasion de la Journée internationale des Femmes, le 8 mars 2017. (ZIHNIOGLU KAMIL/SIPA / SIPA)


Le rejet d’un amendement de la sénatrice PS, qui proposait d’offrir une protection aux victimes de violences conjugales dès la présence de menaces, a suscité sa colère dans l’ambiance feutrée du palais du Luxembourg.

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Deux ans après l’assassinat de Samuel Paty, un prix pour lui rendre hommage et « pour dire non au fanatisme religieux et à l’obscurantisme »

Antoine, Solane, Jeanne et Fanny ont réalisé un podcast portant notamment sur les limites légales de la liberté d’expression, avec leur professeur d’histoire-géographie Jean-Emmanuel Dumoulin.  (THOMAS GIRAUDEAU / RADIO FRANCE)


Pap Ndiaye, le ministre de l’Education nationale, sera à la Sorbonne samedi 15 octobre pour la remise du premier prix Samuel-Paty, en hommage au professeur d’histoire-géographie assassiné il y a deux ans. Les élèves devaient répondre à la question : « Sommes-nous toujours libres de nous exprimer ?

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Tunisie : à Zarzis, les familles de disparus font réagir les autorités

Des femmes pleurent leurs fils disparus en mer, à Zarzis, en Tunisie, le 6 septembre 2022. Crédit : Maurice Stierl


Depuis le début de la semaine, les familles des 18 disparus suite au naufrage d’une embarcation partie de Zarzis, il y a quinze jours, se font de plus en plus entendre. Leur dénonciation de la gestion de ce drame par les autorités s’est transformée en un mouvement de protestation, donnant lieu à des blocages dans le centre-ville. En réponse, les autorités accélèrent leurs recherches des corps sur les plages, aux côtés de citoyens volontaires.

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Maroc : le groupe de travail sur la détention arbitraire de l’ONU demande la libération immédiate de Souleiman Raissouni

RSF


Le groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire demande au gouvernement marocain de libérer “immédiatement” le journaliste Souleiman Raissouni, injustement incarcéré depuis deux ans et demi. Pointant des atteintes graves à ses droits humains, il considère que la détention du journaliste marocain, condamné à cinq ans de prison en février dernier, est arbitraire.

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La LDH soutient le média Reflets.info face aux atteintes à la liberté de la presse

Le mur de la peur est tombé en Iran

Rassemblement de soutien aux manifestations iraniennes, à Paris le 9 octobre 2022, à la suite du décès de Mahsa Amini à Téhéran. © AFP/Julien De Rosa


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Est-il vrai que 40 % des naissances sont «le fait de l’immigration extra-européenne» comme l’affirme Jordan Bardella ?


S’appuyant sur une déclaration, elle-même assez floue, de l’ex-ministre Pierre Lellouche, le président par intérim du RN énonce des chiffres faux.

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D’ici et d’ailleurs


En Iran, plus de 100 manifestants considérés comme des « émeutiers » inculpés après quatre semaines de contestation


Alimentation infantile en Afrique : comment mener la « révolution » 


RDC: le camp de Rumangabo, dans le Rutshuru, au bord de la crise humanitaire


Bahreïn : Condamnés à mort lors de simulacres de procès entachés d’allégations de torture

D’ici et d’ailleurs

Canicules: des régions entières vont devenir invivables au cours des prochaines décennies


Au Brésil, l’espoir est permis pour les déçus de Bolsonaro


L’art pour donner une voix aux femmes afghanes


Elle est devenue la plus jeune maire en Afghanistan

Alouettes des champs : les girouettes du gouvernement volent au secours des chasses traditionnelles

Une alouette des champs (Alauda arvensis) dans le Finistère. (Jean Mayet/Biosphoto via AFP)


Le gouvernement a de nouveau autorisé des formes traditionnelles de chasse de l’alouette des champs dans plusieurs départements du Sud-Ouest malgré une directive européenne. Le ministre de la Transition écologique assume sans convaincre.

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D’ici et d’ailleurs


Gérald Darmanin sous pression face à la colère de la police judiciaire


Climat : 30 ans pour rien ?


Construire un environnement médiatique favorable aux femmes: par où commencer?


Violences faites aux femmes: un rapport européen dénonce de «graves insuffisances» en Allemagne


Iran : « Cela fait 43 ans que les femmes luttent »


Ukraine : le pont de Crimée, «phallus métallique» de Poutine et symbole de l’annexion de 2014


Argentine: des associations de défense des droits humains vent debout après l’expulsion d’une communauté Mapuche

Jeunes migrants : mobilisation à Troyes le 15 octobre


Ils sont plus d’une centaine dans l’Aube, jeunes migrants mineurs, à avoir dû quitter leur pays pour rejoindre la France.

Pris en charge par le Centre Départemental de l’Enfance, ils suivent, malgré leur dépaysement, un parcours souvent exceptionnel. Ils apprennent et perfectionnent leur français. Ils se forment et se montrent des élèves studieux et ont envie de progresser. Ils s’engagent dans l’apprentissage de métiers et pourraient facilement être embauchés dans les entreprises qui ont besoin de salariés.

Pour une immense majorité, ils ne provoquent aucun trouble là où ils vivent, mais sont bénévoles ou actifs dans des associations, des clubs sportifs.

La plupart du temps, ils n’ont plus de proches dans leur pays d’origine.

Pour poursuivre leur parcours d’intégration, ils demandent à leur majorité la délivrance d’un titre de séjour.

En dépit de leurs efforts, de ceux du Conseil Départemental pour les accompagner, de ceux des enseignants et des formateurs et des demandes renouvelées de leurs employeurs pour les recruter, la préfecture de l’Aube refuse de régulariser leur situation et leur notifie une obligation de quitter le territoire.

Ils sont alors contraints d’arrêter leur apprentissage et de quitter leur employeur, privés de ressources et d’hébergement, abandonnés et n’ont plus d’espoir sauf celui de sombrer dans la précarité.

La Ligue des droits de l’Homme, avec le soutien de la CIMADE et du MRAP et l’appui d’un collectif d’associations et de citoyens, demande à l’État que les jeunes migrants qui ont été accueillis dans l’Aube puissent poursuivre leur formation et travailler dans les entreprises qui ont besoin de salariés compétents et qu’ils soient hébergés et traités dignement.

Pour cela, elle organise une journée d’action et d’information pour sensibiliser le public, les acteurs économiques et sociaux, les institutions et les élus de l’Aube, sur ce drame humain et l’absurdité économique de la situation.

Le samedi 15 octobre 2022 de 10h à 20h à Troyes

A ce titre, nous vous invitons à nous rencontrer et à échanger toute la journée à la permanence qui sera tenue dans les locaux du 5 de la rue Charbonnet.

Russie: vingt ans de prison supplémentaires pour l’opposant Vladimir Kara-Mourza?

Vladimir Kara Murza à Moscou, le 29 janvier 2016. © AP – Dmitri Beliakov


Vladimir Kara-Mourza est l’une des dernières figures emblématiques de l’opposition restée en Russie. Placé derrière les barreaux au printemps dernier après avoir été accusé de discréditer l’armée, il est selon plusieurs médias russes depuis ce jeudi 6 octobre accusé également de haute trahison et encourt vingt ans de prison supplémentaires. 

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Un choix exemplaire pour le prix Nobel de la paix

Vladimir Poutine fête ses 70 ans en exterminant la presse indépendante en Russie

rsf.org


Prédateur de la liberté de la presse, le président russe fête ses 70 ans le 7 octobre 2022. L’occasion pour Reporters sans frontières (RSF) de tirer un bilan de ses vingt-deux ans de “règne” en matière d’exactions contre les journalistes.

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Trop loin, trop proches: les Iraniens face aux difficultés de se mobiliser et de communiquer

Des femmes crient des slogans de soutien aux femmes iraniennes, à Barcelone, le 4 octobre 2022. REUTERS – NACHO DOCE


Depuis presque trois semaines, malgré la répression, des Iraniennes et Iraniens contestent le régime, faisant du port du voile obligatoire pour les femmes un symbole de l’oppression. À l’étranger, des Iraniens expatriés ou en exil se mobilisent aussi : manifestations, présence sur les réseaux sociaux. Entre engagement en faveur d’un changement et obstacles liés à la distance.

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