Afghanistan : des femmes manifestent après l’interdiction des instituts de beauté


Des femmes afghanes ont manifesté à Kaboul (Afghanistan), mercredi 19 juillet. En cause : la fermeture des instituts de beauté, l’un des rares lieux où elles pouvaient encore se rendre. Les autorités, qui jugent ces magasins non conformes à la loi islamique, ont dispersé le rassemblement.

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Le jeune Algérien que Robert Ménard avait refusé de marier a été expulsé


Le maire de Béziers avait refusé de célébrer son mariage avec une Française le 6 juillet dernier. Le jeune homme, visé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF), a finalement été renvoyé en Algérie, annonce la préfecture de l’Hérault ce jeudi.

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Quand les activistes écologistes font face à « un droit pénal d’exception »


Après la dissolution des Soulèvements de la Terre le 21 juin, une trentaine d’activistes écologistes proches du mouvement font maintenant face à des procédures judiciaires. Un photojournaliste qui couvrait une action a aussi été mis en examen.

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Jane Birkin, femme sensible, artiste rayonnante, citoyenne engagée

Nouvelle vague de violences policières en France : RSF porte plainte aux côtés d’un journaliste du HuffPost blessé par la BRAV-M



Reporters sans frontières (RSF) dépose plainte avec Pierre Tremblay, vidéaste pour le média en ligne HuffPost, pour violences volontaires par un dépositaire de l’autorité publique commises lors d’une manifestation contre les violences policières à Paris.

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Le Parlement britannique adopte la loi très controversée sur l’immigration


C’est une étape clé pour Rishi Sunak qui a fait de la lutte contre l’immigration illégale son cheval de bataille. Dans la nuit de lundi à mardi, les députés britanniques ont adopté la loi sur l’immigration qui prévoit notamment d’interdire à toute personne arrivée clandestinement par la Manche en Angleterre de déposer une demande d’asile.

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« C’est un crachat au visage de toutes les femmes » : en Iran, le retour de la police des mœurs fait trembler les opposants au régime



Dissoute en décembre, la police des mœurs est de retour en Iran. Ces hommes du régime patrouillent dans les rues pour sanctionner les femmes qui ne portent pas correctement le voile islamique. Les opposants au régime s’inquiètent, mais continuent leur désobéissance.

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Iran : le retour des patrouilles de la police des mœurs « se retournera contre le régime »


Iran: les autorités ferment un réseau de centres éducatifs pour avoir «incité» à manifester

 

Les talibans sonnent le glas des salons de beauté

par Jean Camus

 

Le régime fondamentaliste afghan prive les femmes d’un de leurs derniers espaces de liberté.

Les femmes, hors du monde du travail, n’auront plus de revenus.

Les universités, les parcs et les salles de sport sont fermés aux Afghanes. L’école est interdite aux filles de plus de 12 ans.

La communauté internationale a dénoncé la politique anti-femme, mais cela ne ferme pas complètement le dialogue « quand le Conseil de sécurité de l’ONU a renouvelé, le 17  mars le mandat de l’UNAMA, -mission politique de l’ONU-  en Afghanistan, ils ont pris ça comme un blanc-seing, à  tel point qu’un mois plus tard ils interdisaient aux Afghanes de travailler pour les organisations internationale » (source onusienne)

« Aujourd’hui , en Afghanistan, nous les femmes n’avons qu’un droit : respirer et c’est tout »  (une sage-femme)

Source: Le Monde du 18/07/2023

Uber Files : ce que dit le rapport de la commission d’enquête parlementaire



La commission d’enquête parlementaire consacrée aux Uber Files confirme les informations révélées en juillet 2022 par la cellule investigation de Radio France. Elle dénonce une proximité étroite entre Uber et Emmanuel Macron qui s’est poursuivie après son élection à la présidence de la République.

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Les maires ne sont pas au-dessus du droit

Angoulême : deux recours juridiques déposés contre l’arrêté municipal «anti-marginaux»


Depuis mardi dernier, il est interdit d’être allongé, assis et même debout dans certains endroits du centre-ville lorsque ces positions entravent «la circulation des piétons» et causent des «nuisances». Un référé suspension a été déposé par la Ligue des droits de l’homme et sera audiencé le 1er août.

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Béziers : l’Algérien que Robert Ménard a accusé de mariage blanc placé en centre de rétention et sur le point d’être expulsé

Nahel et révoltes urbaines : promenade à travers la PQR (Presse Quotidienne Régionale)


À la Une de la PQR, il y a les images que montrent les rédactions, et celles qu’elles ne montrent pas. Les acteurs qu’elles soutiennent, et ceux qu’elles ne tolèrent pas. Les violences qu’elles condamnent, et celles qui ne comptent pas. Les bilans qu’elles dressent, et ceux qu’elles ne tirent pas. Les mots qu’elles emploient, et ceux qu’elles préfèrent taire. Évidemment, des Unes ne sauraient résumer la diversité des contenus éditoriaux et du travail journalistique des différents titres de la PQR que nous avons épluchés. Elles méritent néanmoins que l’on s’y attarde, d’une part parce qu’elles révèlent tout à la fois le cynisme commercial et les choix très politiques des chefferies éditoriales, et, d’autre part, du fait de leur potentiel effet de cadrage sur le débat public que leur confère leur visibilité.

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La Tunisie refuse d’être un « centre d’accueil » pour les migrants expulsés d’Europe


Tunis accepte d’accueillir uniquement les Tunisiens en situation irrégulière en Europe, et refuse d’accueillir les migrants d’autres nationalités. Les autorités avaient déjà déclaré en juin dernier qu’elles ne voulaient pas que la Tunisie devienne le « garde-frontières » de l’Europe. Dimanche, un accord a été conclu avec l’Union européenne pour tenter d’endiguer l’immigration illégale, venue de la Tunisie.

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Manifestations contre les violences policières

MEMENTO A L’USAGE DES MINISTRES DE L’INTÉRIEUR, PRÉFETS ET TRIBUNAUX ADMINISTRATIFS


Une nouvelle fois, le préfet de police de Paris a interdit une manifestation contre les violences policières prévue le 15 juillet et ce, en application des directives données la veille par le ministre de l’intérieur selon lesquelles, dans le cadre du dispositif de sécurité mis en place pour la célébration du 14 juillet, il invitait les préfets à interdire les manifestations qui se tiendraient jusqu’au 15 juillet, précisant : « Nous considérons que les manifestations en lien avec les violences urbaines que nous avons connues doivent être interdites ».

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AVIS DU DÉFENSEUR DES DROITS AU SÉNAT SUR LE PROJET DE LOI « POUR LE PLEIN EMPLOI »



Les 10 et 11 juillet, les sénateurs examinaient en séance publique le projet de loi dit « pour le plein emploi ».

Les objectifs annoncés de ce projet de loi sont d’améliorer le fonctionnement du marché du travail et de parvenir au plein emploi en réorganisant l’accompagnement des demandeurs d’emploi et des bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA).


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Trop d’argent public dans les banlieues ? « Un vaste mensonge à des fins racistes et anti-pauvres »


Après les révoltes urbaines, des commentateurs ont accusé les banlieues d’engloutir les fonds publics. La réalité ce sont plutôt des services publics moins bien dotés qu’ailleurs, et des travailleurs essentiels plus nombreux dans ces quartiers.

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Loin des yeux, près du cœur


Depuis la fin de la trêve hivernale et la fin de la prise en charge systématique de toutes les familles avec enfants mineurs par la Préfecture d’Ille-et-Vilaine, un nouveau campement et de nombreux enfants sont désormais installés dans un parc, aux portes de Rennes. Pour se souvenir que les vacances n’ont pas le même charme pour tout le monde, voici les témoignages de certains d’entre eux.

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L’homophobie reste présente dans la société française


SOS homophobie a reçu 1 500 témoignages signalant des violences ou discriminations homophobes et transphobes en 2022. Ces violences quotidiennes vont de marques de rejet à des agressions physiques, en passant par des insultes ou des menaces.

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À la frontière tchadienne, les témoignages glaçants de rescapés soudanais des massacres au Darfour


À Adré, ville tchadienne située à la frontière avec un Soudan en guerre depuis le 15 avril, des rescapés livrent des témoignages glaçants des massacres commis au Darfour. Reportage.

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Charente : la ville d’Angoulême interdit de rester assis, allongé, debout « sans bouger », dans le centre-ville sous peine d’une amende de 35 euros



La municipalité veut lutter contre des « groupes d’individus, souvent en état d’imprégnation alcoolique », qui « s’approprient les espaces et les aménagements publics tels que les trottoirs et les bancs » et bloquent la circulation des piétons dans la ville.

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Répression et violence pour les militant·es anti-corruption en Afrique

 La répression que subissent les défenseur·e·s des droits humains qui combattent la corruption en Afrique de l’Ouest et du Centre est très préoccupante. Ces personnes jouent un rôle crucial dans la lutte contre la corruption et dans la défense des droits fondamentaux. Pourtant, elles sont la cible d’attaques, d’intimidation, de harcèlement et de persécution lorsqu’elles font éclater la vérité (mauvais traitements, torture et décès en détention).

Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International

La corruption est une question de droits humains. Elle interfère dans la jouissance effective des droits individuels et collectifs garantis par les traités internationaux et régionaux relatifs aux droits humains.

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LES FEMMES ET MINORITÉS DE GENRE , GRANDES OUBLIÉES DE LA SANTÉ ?

Aujourd’hui, en 2023, les équipes de Médecins du Monde en France et à l’international constatent quotidiennement combien être femme ou minorité de genre implique des difficultés à exercer ses droits et un accès limité ou complexifié à la prévention et aux soins.

Surexposées à différentes formes de stigmatisation, les femmes et minorités de genre font face à des obstacles variés solidement ancrés dans les sociétés : des barrières géographiques, économiques, socio-culturelles, mais aussi administratives et institutionnelles.

« Face aux conservatismes, à la stigmatisation sociale et morale, aux violences liées au genre, notre combat aux côtés des associations féministes, humanitaires et de santé, reste primordial pour défendre la liberté de toute personne à disposer de son corps, à décider de sa sexualité et de sa santé. » Plan Stratégique de Médecins du Monde.

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