Cinq millions d’enfants de moins de 5 ans morts en 2021 dans le monde

Faouzia Souleymane, un bébé malnutri de 8 mois, reçoit un complément nutritif, au CRENI de Tahoua, Niger. © UNICEF


Les chiffres sont alarmants. Si les jeunes enfants nés aujourd’hui ont de meilleures chances de survivre qu’en 1990, les inégalités persistent et le nombre de décès est encore beaucoup trop important si l’on considère l’état des connaissances disponibles, signale un rapport de l’ONU publié ce 10 janvier 2023.

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Inflation, panier moyen et revenus des Français : calculons et comparons…

par Rémy Dufaut


« Au niveau national, le panier [de 37 produits du quotidien, alimentaires et d’hygiène] coûte en moyenne 100,72€ avec une inflation de 14% sur un an » selon l’étude de France Info de ce jour sur l’inflation.

D’après l’Observatoire des Inégalités, le niveau de vie moyen des 10% les plus pauvres s’élève à 726 € mensuels pendant que celui des 10% les plus riches s’élève à 5014 €, (le niveau de vie médian étant établi à 1837 €, le seuil de pauvreté à 918 €, le seuil de richesse à 3674 €)…

Pendant que les 10% les plus pauvres vivent avec l’équivalent de 7 paniers par mois, les 10% les plus riches peuvent encore s’en offrir 49…

Arithmétiquement et dans l’absolu,  une inflation à 14% pour les 10% les plus riches serait ressentie à 98% par les 10% les plus pauvres s’ils pouvaient vivre au même niveau…

C’est d’ailleurs ainsi qu’ils le ressentent lorsqu’ils passent à la caisse et expriment l’impression que tout a doublé de prix (ce qui est d’ailleurs parfaitement exact outre Manche, pour le moment), malgré les « boucliers tarifaires » français. Ceux-ci ne se prolongeront pas éternellement.

D’ici et d’ailleurs


Droit alimentaire : il faut que tout le monde puisse se nourrir dignement


Mort suspecte à la prison de Nanterre


Mort d’une Nigériane dans les Alpes : la Cour européenne des droits de l’Homme saisie par Tous Migrants


Mali : Massacres coordonnés perpétrés par des groupes armés islamistes


Au Burkina Faso, la double peine pour les femmes atteintes de troubles mentaux

D’ici et d’ailleurs, le pire et le meilleur


« Démago, partisane, menée à deux contre un » : la CGT France Télévisions critique l’interview d’un syndicaliste par Franceinfo

Soudan : un an après le coup d’État, les espoirs brisés des femmes, « premières victimes du retour en arrière »


ISRAËL : À QUAND UNE ENQUÊTE SUR LES CRIMES DE GUERRE COMMIS EN AOÛT À GAZA ? 


Avec le food truck des hôtels sociaux de la banlieue sud


Un service de bagagerie et laverie gratuit pour les sans-abri


De la rue à une prestigieuse école d’ingénieurs : l’extraordinaire parcours d’un jeune migrant congolais reçu au bac avec mention « Très bien »


D’ici et d’ailleurs


En Iran, plus de 100 manifestants considérés comme des « émeutiers » inculpés après quatre semaines de contestation


Alimentation infantile en Afrique : comment mener la « révolution » 


RDC: le camp de Rumangabo, dans le Rutshuru, au bord de la crise humanitaire


Bahreïn : Condamnés à mort lors de simulacres de procès entachés d’allégations de torture

D’ici et d’ailleurs


Émeute et violences policières au centre de rétention du Mesnil-Amelot


Méthanisation et agriculteurs : « On gagne plus d’argent à produire de l’énergie que de l’alimentation »


Russie: le deuil invisible des familles de soldats


États-Unis: racisme systémique et crise de l’eau à Jackson, dans le Mississippi

D’ici et d’ailleurs


« Les pâtes ont augmenté de 15 % cette année » : un coût de la vie toujours plus haut pour les étudiants, alerte l’UNEF


Ukraine : Attaques russes illégales à Kharkiv


Guerre en Ukraine : les Russes « ne veulent pas qu’ils en sortent vivants », le père d’un soldat réfractaire raconte l’enfer des prisons russes


« Poutine fou » : la géopolitique sur le divan


Belgique : festival néonazi à Ypres à la fin de ce mois : des services de renseignement européens s’alarment. La ville annule finalement le festival


WikiLeaks : les avocates de Julian Assange portent plainte contre la CIA pour espionnage


Des fusils d’assaut dans les écoles ? Ce dernier sanctuaire sans arme qui vacille aux Etats-Unis



Dans l’actualité


Afghanistan : un séisme de magnitude 5,9 fait au moins 920 morts


Tunisie : Forte mobilisation contre le projet de nouvelle Constitution


Des sénateurs américains dévoilent une proposition de loi pour limiter la violence par arme à feu


Cambodge : Annuler les condamnations des « cinq d’ADHOC »


Affaire Fiminco : Bruno Le Maire ne répond plus


En Tanzanie, des Masaï expulsés de leurs terres au nom de la protection de la faune sauvage et du tourisme

Scandales alimentaires: la CGT dénonce les ravages de la rentabilité financière à tout prix

« Je dépends des autres pour faire manger mon fils » : dans le camp grec de Nea Kavala, des migrants toujours sous la menace de la faim

Le camp de Nea Kavala, au nord de la Grèce, en octobre 2021. Crédit : InfoMigrants


À Nea Kavala, rien ne change. Depuis plusieurs mois, de nombreux migrants de ce campement grec, non loin de la frontière macédonienne, n’ont plus accès à la nourriture. C’est le cas de Marie, une mère de famille congolaise et de son fils de 7 ans. Elle et son enfant ont été exclus du dispositif alimentaire. Témoignage.

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Pénurie de blé : vers une crise alimentaire

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Dérèglement climatique, pandémie de Covid-19, hausse démographique : les causes de la crise alimentaire actuelle étaient déjà nombreuses. Depuis le mois de février, s’ajoute désormais le conflit entre la Russie et l’Ukraine, deux pays majeurs dans la production et l’exportation de blé.

Le prix de la tonne est passé de 300 à 450 euros en trois mois. Un record, qui pourrait avoir des conséquences dramatiques sur notre alimentation.

Pourquoi le blé est-il au cœur de la crise alimentaire? Comment est-il devenu un enjeu géostratégique ? Et à quoi doit-on s’attendre dans les mois à venir ? Sébastien Abis, chercheur associé à l’IRIS et directeur général du Club Déméter, répond à nos questions.

Le rapport Déméter 2022 consacré à l’alimentation est disponible ici : https://www.iris-france.org/publicati...

Pouvoir d’achat : « Je gagne 1500 euros et je viens au Secours populaire », ces familles « dépitées » par la hausse des prix

Secours populaire. Photo d’illustration. (ISABELLE RIVIÈRE / FRANCE-BLEU POITOU)


Face à la flambée des prix des produits de la vie quotidienne, de plus en plus de familles se tournent vers des associations pour s’en sortir. Illustration dans un local du Secours populaire à Colomiers, près de Toulouse.

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L’humanité s’enfonce dans une crise alimentaire majeure

L’Éthiopie fait partie des pays les plus touchés par l’insécurité alimentaire. Il accueille de nombreux réfugiés. – Flickr/CC BY-NC-ND 2.0/EU Civil Protection and Humanitarian Aid


L’insécurité alimentaire est en hausse «alarmante» dans le monde, selon un rapport publié le 4 mai par le Réseau mondial contre les crises alimentaires (GNAFC), mis en place par l’Union européenne, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM).

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La France a atteint le « jour du dépassement », quand l’humanité consomme plus de ressources que la Terre n’en produit en une année

Le village d’Azer (Hautes-Pyrénées). (Photo d’illustration) (PHILIPPE ROY / PHILIPPE ROY / AFP)


Le « jour du dépassement » tombe cette année le 5 mai en France, selon WWF France et l’ONG américaine Global Footprint Network. Mais les ONG estiment que la France peut faire reculer cette date de 25 jours d’ici 2027.

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Au Maghreb, la guerre en Ukraine agite le spectre d’une crise alimentaire

En Égypte, le pain subventionné est consommé par 70 % de la population. Crédit : FlickrCC


Le blé ukrainien pourrait-il (r)allumer la flamme de la contestation au Maghreb ? Quasi-exclusivement dépendantes de l’Ukraine et de la Russie en matière de céréales, la Tunisie et l’Égypte pourraient bien, à cause du conflit en cours, souffrir de pénuries alimentaires. Celles-là même à l’origine de plusieurs crises d’ampleur, à l’instar des Printemps arabes en 2011.

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Guerre en Ukraine : l’UE en profite pour saccager l’agriculture


La guerre en Ukraine fait des ravages et l’agriculture de ce pays très productif en est également victime. De nombreux spécialistes s’inquiètent et craignent une pénurie alimentaire et une flambée des prix des denrées. Cette crise alimentaire pourrait entraîner de graves crises dans de nombreux pays, notamment hors d’Europe. Dans ce contexte, la Commission européenne, réunie mercredi 23 mars, a pris de nouvelles mesures, remettant en cause la politique du Pacte vert européen.

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Ukraine : trois solutions durables face à la crise alimentaire

Piqsels/CC0


La guerre contre l’Ukraine montre que notre système alimentaire n’est pas durable et est injuste, écrivent des scientifiques dans cette tribune. Selon eux, il est nécessaire d’aller vers une agriculture et une alimentation plus saines, justes et respectueuses de l’environnement.

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