Gaza reste sous les bombes israéliennes. Le territoire palestinien est assiégé et l’aide humanitaire n’entre quasiment plus. La principale conséquence est une nouvelle fois, la malnutrition, devenue le quotidien des Gazaouis.
Au Proche-Orient, un plan de cessez-le-feu est toujours sur la table pour tenter de mettre un terme à la guerre à Gaza et obtenir la libération des otages israéliens. Le Hamas qui ne l’accepte pas, reste silencieux, mais ne le rejette pas non plus. De son côté, le Premier ministre israélien reste ambigu. Il semble approuver le plan auprès de ses alliés occidentaux, mais refuse de l’endosser officiellement dans son pays, de peur de précipiter la chute de son gouvernement. Ses ministres d’Extrême droite exigent en effet la poursuite des combats. En attendant, la situation humanitaire continue de se détériorer à Gaza. Faute de pouvoir avoir accès à une aide suffisante, ses habitants sont à nouveau exposés à la malnutrition.
Reconnaissance de l’Etat palestinien : qu’attendez-vous monsieur Macron ? 230 artistes lancent un appel
Plus de 230 artistes, dont Léna Situations, Renaud, DJ Snake, Leïla Bekhti et Angèle, interpellent Emmanuel Macron pour que la France reconnaisse officiellement l’Etat de Palestine, comme l’ont déjà fait 146 autres pays.
Depuis la terrible attaque du Hamas du 7 octobre 2023 causant la mort de plus de 1 100 Israéliens, majoritairement civils, et la prise d’otages de 252 personnes, dont 121 sont encore détenues par le Hamas, les habitants de Gaza subissent des bombardements quotidiens. Il y a quelques jours, deux camps de réfugiés ont été ciblés à Rafah et nous avons en tête des images qui nous empêchent de dormir la nuit. Pourtant, malgré le tollé international, Israël continue le massacre.
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Quelles sont les motivations de celles et ceux qui déposent un bulletin Rassemblement national ou Le Pen dans l’urne ? Le politologue Félicien Faury est allé à la rencontre de ces électeurs ordinaires de l’extrême-droite. Entretien.
Européennes : « Une surreprésentation de l’extrême droite » chez les forces de l’ordre, selon un sociologue
Étudiant·e·s en journalisme, nous réclamons un traitement médiatique à la hauteur des enjeux du conflit israélo-palestinien. Depuis des mois, nous observons avec effroi, dans ces médias où nous travaillerons plus tard, des fautes déontologiques graves qui participent à la déshumanisation du peuple palestinien et à la normalisation de crimes de guerre.
Peut-on prétendre couvrir sérieusement ce conflit en passant sous silence les bombardements continus de civils, participant à leur invisibilisation ?
Depuis quand un Premier ministre peut-il s’inviter à l’improviste dans une émission des médias de service public comme bon lui semble ? Qui à Radio France a cautionné, voire provoqué, cette irruption incongrue de Gabriel Attal lors d’une interview de Valérie Hayer sur France Info ce lundi, en présence de lycéens et d’étudiants ?
Ce happening n’était pas seulement un moment de mépris sexiste humiliant pour la candidate de Renaissance, rabaissée au rang de faire- valoir. Un bien mauvais exemple à donner aux jeunes présents dans la salle. C’était aussi une prise d’antenne très mal venue alors que le gouvernement veut imposer à l’audiovisuel public une réforme qui fait planer une menace sur son indépendance vis-à-vis du pouvoir politique.
Pour tenter de justifier cette réforme, Rachida Dati a évoqué la semaine dernière le bon vieux temps de l’ORTF. Il y a fort à craindre qu’il s’agisse surtout de la nostalgie d’une époque où des ministres pouvaient s’inviter à leur guise dans les journaux télé ou radio, voire en dicter le conducteur.
Les radios et télés publiques n’ont pas à être au service du gouvernement ou du pouvoir politique mais au service des citoyens. Cette indépendance, que nous défendons, est le gage de notre crédibilité. C’est y porter un bien mauvais coup, à un bien mauvais moment, que d’avoir laissé le Premier ministre faire cette intervention. C’est le parfait exemple de ce qui pourrait devenir plus facile et fréquent encore avec le regroupement de l’audiovisuel public que nous refusons.
Des bombardements aériens et des tirs d’artillerie ont visé mardi la bande de Gaza du nord au sud, où Israël poursuit sans répit son offensive contre le Hamas après l’annonce de la mort de quatre otages tués dans le territoire palestinien.
Malgré les appels au cessez-le-feu venus du monde entier, les exigences contradictoires des deux camps semblent vouer à l’échec un plan présenté vendredi par le président américain, Joe Biden, après bientôt huit mois de guerre.
Près d’un mois après le début d’une offensive terrestre sur Rafah, une ville frontalière avec l’Egypte dans le sud du territoire, présentée par Israël comme l’étape finale de sa guerre contre le Hamas, les combats ont repris à travers la bande de Gaza.
La trêve à Gaza au Conseil de sécurité de l’ONU, incendies en Israël… L’actu du conflit au Proche-Orient
Les Etats-Unis ont annoncé lundi soir un projet de résolution du Conseil de sécurité des Nations unies pour soutenir l’accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza présenté par le président Joe Biden le 31 mai. «De nombreux dirigeants et gouvernements, y compris dans la région, ont appuyé ce plan et nous appelons le Conseil de sécurité à se joindre à eux pour appeler à [sa] mise en œuvre sans délai et sans nouvelles conditions», a déclaré l’ambassadrice américaine à l’ONU, Linda Thomas-Greenfield. Le projet de texte note qu’une application «rapide» de l’accord permettrait «un cessez-le-feu, le retrait des forces israéliennes des zones peuplées de Gaza, la libération des otages, une augmentation de l’aide humanitaire, le rétablissement des services de base et le retour des civils palestiniens dans le nord de Gaza». Il soutient aussi la solution à deux Etats. Lundi, les pays du G7 ont par ailleurs annoncé soutenir ce plan de cessez-le-feu, et demandé au Hamas de l’accepter.
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Ce 1er juin, à Paris, une marche contre les rivalités entre jeunes de quartiers a été organisée par des mères. Chaque année, ces rixes causent des morts et des blessés, s’ajoutant aux autres formes de violences et de discriminations.
La paix commence par moi. » C’est le slogan qu’arbore le dos des tee-shirts que Hawa Haidara dépose un à un sur les bras d’Aoua Diabaté : « Ça c’est L, ça c’est M, ça c’est XL, là XL aussi… » . Quelques personnes en récupèrent au passage. La plupart en portent déjà par-dessus leurs vestes en ce 1er juin pluvieux. À peine le stock épuisée, les deux femmes – Aoua est présidente de l’association HDJ dans le quartier de Bastille et Hawa de la Brigade des mamans du haut de Belleville – courent au camion récupérer une autre dizaine du tee-shirts. Ils sont ornés de deux mains – une à la peau blanche, l’autre noire – qui annonce d’un texte rouge : « Marche citoyenne pour la vie dans nos quartiers ».
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Déploiement de la CRS 8, du Raid, usage de drones ou encore de blindés… Les moyens policiers engagés dans la capitale bretonne entre mai 2023 et avril 2024 ont été inédits, rapporte l’Observatoire rennais des libertés publiques (Orlib). Le travail de ce dernier a lui-même a été perturbé.
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35 ans après le massacre, des personnes tentant de le commémorer ont été emprisonnées et les familles des victimes sont toujours privées de réparations.
Le collectif Le Revers de la médaille dénonce dans un rapport « le nettoyage social » en cours avant les Jeux olympiques et paralympiques avec ces expulsions de migrants, sans-abri et travailleurs du sexe.
Malgré les protestations de la communauté internationale, l’armée israélienne poursuit son offensive à Rafah, lundi.
Environ 55% des bâtiments de la bande de Gaza, pour la plupart des logements, ont été endommagés ou détruits depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, le 7 octobre 2023, a annoncé lundi 3 juin l’ONU. Elle estime, grâce à des images satellite, que 137 297 structures ont ainsi été touchées. « D’après notre analyse, nous avons identifié 36 591 structures détruites, 16 513 structures gravement endommagées, 47 368 modérément endommagées et 36 825 structures potentiellement endommagées »,a estimé le centre satellitaire de l’ONU.
«Nus», «attachés à leur lit»: un médecin alerte sur les conditions de détention de Palestiniens dans une prison israélienne
Depuis le début de la guerre à Gaza, ces images reviennent sans cesse : des Gazaouis arrêtés par l’armée israélienne, dénudés, les yeux bandés, agenouillés et les mains liées dans le dos. Accusés d’appartenance au Hamas, ils sont notamment emprisonnés à Sdé Teiman, une base de l’armée israélienne dans le désert. Un médecin israélien, un lanceur d’alerte qui y a travaillé, dénonce des traitements inhumains infligés aux détenus gazaouis.
Des soldats israéliens mettent en scène leurs exactions à Gaza dans des vidéos-chocs qui prolifèrent sur les réseaux sociaux
Depuis le 7 octobre, des militaires israéliens publient sur Instagram ou TikTok des photos et vidéos de destructions, de provocations ou d’humiliations dans l’enclave palestinienne. L’armée israélienne assure qu’il s’agit d' »incidents exceptionnels » et que « le problème est traité en conséquence ».
Plan de cessez-le-feu à Gaza : des ministres d’extrême-droite menacent de quitter le gouvernement, des milliers d’Israéliens dans la rue
Les médiateurs qataris, américain et égyptien ont appelé samedi Israël et le Hamas palestinien à «finaliser» l’accord de cessez-le-feu présenté par Joe Biden alors que Benyamin Nétanyahou est sous pression dans son pays.
Surtout ne pas laisser échapper un espoir de paix. «En tant que médiateurs dans les discussions pour obtenir un cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages et des détenus, le Qatar, les Etats-Unis et l’Egypte appellent conjointement le Hamas et Israël à finaliser l’accord sur la base des principes énoncés par le président Joe Biden», selon un communiqué commun publié au Caire et à Doha. Le Qatar, les Etats-Unis et l’Egypte sont engagés depuis des mois dans des pourparlers visant à obtenir un accord de trêve dans la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza. Mais les négociations ont été interrompues début mai lorsque Israël a lancé des opérations terrestres à Rafah, dans le sud du territoire.
Choqués par les images de la guerre à Gaza, ils manifestent pour la première fois à Paris
A Troyes également, la mobilisation ne faiblit pas.
250 personnes vendredi 31 mai devant la préfecture de l’Aube.
La pétition approche les 2600 signatures. Elle sera remise à la préfecture le jeudi 6 juin ; un rassemblement y est prévu à cette occasion. Elle est toujours en ligne.
Un tournoi de foot est organisé au profit de l’association de soutien au peuple gazaoui IFCRsamedi 8 juin au stade Lucien-Pinet à La Chapelle Saint-Luc.
Les tee-shirts sont toujours en vente.
D’autres actions sont prévues dans les semaines à venir.
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Plus de 40 organisations de jeunes appellent à aller voter le 9 juin
« Loin des représentations médiatiques d’une jeunesse qui ne s’exprimerait que par la violence ou qui brillerait par son désintérêt, un grand nombre d’entre nous se déplaceront aux urnes le 9 juin. » Parce que les politiques européennes impactent les vies quotidiennes et que cette échelle est essentielle pour lutter contre le réchauffement climatique, des organisations invitent à « faire entendre nos voix en faveur d’un avenir européen écologiste et solidaire. »
Et surtout pas pour eux !
Eric Zemmour renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris pour « provocation à la haine ou à la violence » et « injure publique » après des propos sur Cnews
Le président de Reconquête ! avait tenu des propos polémiques envers la communauté sénégalaise.
Eric Zemmour est renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris pour « provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion » et pour « injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion », après des propos tenus sur CNews en 2021 et 2022 envers la communauté sénégalaise, a appris vendredi 31 mai franceinfo de source proche du dossier.
Jordan Bardella et le RN au Parlement européen : absentéisme, contradictions et intérêts des lobbies
L’analyse du travail et des votes des eurodéputés du Rassemblement national au Parlement européen montre que les élus du parti d’extrême droite sont peu actifs, n’hésitent pas à voter en totale contradiction avec le discours officiel tenu à Paris et sont par ailleurs très perméables aux demandes des lobbies industriels.
Bardella, la glande et le patronat
Kot et Muh observent le travail Jordan et sa clique au Parlement européen. Constat pas si étonnant : ces cinq dernières années, Bardella n’y travaille pas beaucoup, derrière la xénophobie et le grand remplacement, il y a surtout l’argent des patrons. À partager !
Les enfants de parents qui s’opposent à la guerre en Ukraine encourent le risque d’être placés en orphelinat. Voici l’une des méthodes de représailles des autorités russes pour écraser la dissidence. Une forme de répression peu documentée que nous mettons en lumière dans notre nouvelle recherche.
Les personnes détenues devraient être remises en liberté et les poursuites pour délits d’expression abandonnées.
Les autorités tunisiennes ont intensifié leur répression contre les médias et la liberté d’expression ces dernières semaines, en condamnant deux journalistes et un fondateur de média à des peines de prison, en procédant à l’arrestation d’une autre figure médiatique et en intimidant des médias privés, ont déclaré aujourd’hui Amnesty International et Human Rights Watch. Les autorités devraient immédiatement remettre en liberté les personnes détenues et abandonner toute poursuite pour l’expression d’opinions, droit protégé par le droit international des droits humains.
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En 1975, le Laos, le Cambodge et le Vietnam passent aux mains de régimes communistes autoritaires. La surveillance généralisée, le manque d’infrastructures et les exactions de toutes sortes poussent des centaines de milliers de personnes à fuir par la mer, vers l’Europe et les États-Unis.
Le 31 mai 1978, le quotidien Le Monde publie un article intitulé : « Exode et désillusion au Sud-Vietnam ». Voilà ce qu’on y lit : « Parmi les images obsédantes de la chute de Saigon, les plus mémorables sont sans doute celles de milliers de Vietnamiens assaillant l’ambassade des États-Unis pour obtenir un visa (…). Mais trois ans après le changement de régime, des Vietnamiens continuent à fuir leur pays au péril de leur vie ». Le journaliste précise : « Une expression a été forgée pour désigner ces hommes, ces femmes et ces enfants : les boat people, les gens de bateaux. Sait-on assez en Occident ce qui se cache derrière ces mots ? »En effet, quelles réalités, quels drames, derrière l’expression boat people ?
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Saisis par plusieurs associations et syndicats, les Sages ont estimé ce mercredi 29 mai que les étrangers sans papiers ont le droit de voir leurs frais de justice pris en charge par l’Etat, au nom du «principe d’égalité devant la justice».
Les étrangers qui ne résident pas régulièrement en France ont le droit à l’aide juridictionnelle au nom du principe d’égalité devant la justice, y compris en matière prud’homale et civile, a tranché le Conseil constitutionnel dans une décision publiée ce mercredi 29 mai au Journal officiel. L’instance avait été saisie d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) à ce sujet par plusieurs associations (la LDH, le Gisti) et syndicats (CGT, CFDT, le Syndicat des avocats de France). Ils estimaient que la différence de traitement entre les travailleurs sans papiers (exclus jusqu’ici de l’aide juridictionnelle) et les autres était contraire aux principes de la Constitution.
« J’ai fui un mariage forcé et une menace d’excision » : témoignage d’une Ivoirienne à la rue en France
Marie* a quitté la Côte d’Ivoire à l’été 2022. Sa famille musulmane a voulu la contraindre à un mariage forcé et à une mutilation génitale – pour satisfaire son futur mari. Avec son petit-ami, chrétien, elle a donc décidé de venir en France. Marie et son ami ont traversé le Sahel, le Maroc, les Canaries, l’Espagne continentale. Arrivée à Paris à l’hiver 2023, l’Ivoirienne se dit aujourd’hui épuisée. Elle vit à la rue et explique « ne pas avoir la force » de se lancer dans une procédure d’asile.
L’appel urgent des ONG pour mettre fin aux camps de migrants, « il faut arrêter les jeux politiques, on parle de vies humaines »
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Au travers de la fermeture de mon service d’insertion professionnelle en protection de l’enfance, je propose d’analyser les conséquences de la mise en oeuvre d’une politique de rapprochement du champ du handicap et du social sans moyen suffisant et d’une idéologie méritocratique et sécuritaire sur les jeunes vulnérables.
Voilà un peu plus de 10 ans que je travaille dans la protection de l’enfance, avec une spécificité sur l’accompagnement scolaire de ces jeunes âgés de 0 à 21 ans. Pendant 10 ans j’ai constaté que la cause de ces enfants, adolescents et jeunes adultes, intéressait si peu les pouvoirs publics que les défauts systémiques des structures ne pouvaient être au mieux palliés que par les efforts des personnels épuisés. Le burn out ou la maltraitance institutionnelle semblent être les deux faces d’une peu glorieuse médaille.
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Construire un grand ensemble audiovisuel, c’est la priorité de la ministre de la Culture. Rachida Dati a commencé vite et fort, mais voilà que plusieurs embûches se dressent sur son chemin.
La route semblait toute tracée par le bulldozer Dati : la ministre de la Culture mène pied au plancher la réforme de l’audiovisuel public. Dans son schéma, France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l’Institut national de l’Audiovisuel seront d’abord réunis sous une holding le 1er janvier 2025, puis fusionnés le 1er janvier 2026. Un patron ou une patronne dirigera l’ensemble. Le dispositif doit être prêt au 1er septembre 2026, au moment où débutera l’année présidentielle. Mais voilà que les embûches se multiplient.
Une cinquantaine de personnalités signent une pétition contre la fusion de l’audiovisuel public
Un collectif de salariés et d’auditeurs de l’audiovisuel public demande au gouvernement, dans une pétition diffusée le mercredi 29 mai, de retirer son projet de «BBC à la française». Parmi les premiers signataires, des artistes et des intellectuels.
Pourquoi Radio France et France TV suppriment-ils des émissions sur l’écologie ?
Alors que l’écologie fait partie des principales préoccupations des Français·es, de nombreux contenus dédiés disparaissent des antennes du service public. Hasard des calendriers ou signe d’un désamour pour ces sujets ? On fait le point sur la question, posée par les lectrices et lecteurs de Vert.
France Inter : après sa blague sur Nétanyahou, le sort de Guillaume Meurice tranché ce jeudi
L’humoriste de la radio publique s’explique ce jeudi 30 mai devant une commission de discipline et risque une sanction pouvant aller jusqu’à la rupture anticipée de son contrat de travail pour «faute grave». La décision ne pourrait être connue que dans les prochains jours.
En mars, dans le cadre des mobilisations étudiantes en soutien du peuple palestinien, Sciences Po suscitait une première fois l’hystérie politico-médiatique : une « surenchère d’accusations d’antisémitisme » sur la base de fausses informations et un emballement survenu en grande partie sous l’impulsion du Premier ministre – Gabriel Attal s’étant déplacé en personne pour tancer la direction de l’établissement, trop timorée à son goût face aux étudiants mobilisés. Un mois plus tard, à la faveur d’une amplification du mouvement étudiant coordonné par le Comité Palestine, l’école parisienne – ses déclinaisons en province, mais aussi la Sorbonne – se retrouve de nouveau sous les feux médiatiques. Meilleur du pire.
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Tous les hôpitaux de Rafah, bombardé sans relâche, sont désormais hors service
Les bombardements israéliens sont incessants sur Rafah. Cette ville du sud de la bande de Gaza est devenue l’épicentre de la guerre, un million de personnes l’ont fuie depuis début mai et le lancement de l’offensive terrestre israélienne. C’est un désastre humanitaire dans cette région qualifiée d’ « enfer sur terre » par l’ONU. Tous les hôpitaux de Rafah ont fermé, assurent les Gazaouis.
« All eyes on Rafah » : une image de l’IA envahit les réseaux sociaux
L’image a fait le tour des réseaux sociaux et tout particulièrement d’Instagram après les bombardements israéliens sur des camps de réfugiés à Rafah.
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