Ce samedi matin, place Jean Jaurès à Troyes, une cinquantaine de manifestants se sont rassemblés pour appeler à la paix en Palestine. Bien qu’un accord de cessez-le-feu entre le Hamas et le gouvernement israélien ait été annoncé le dimanche 19 janvier, le Collectif aubois pour la paix en Palestine reste vigilant : « Certes, on se réjouit du cessez-le-feu qu’il y a depuis quelques jours, mais on craint que ce soit un cessez-le-feu très court. Du coup, il faut qu’on maintienne la pression, qu’on se fasse entendre, pour que ce cessez-le-feu dure le plus longtemps possible. », explique David Durlot, membre du collectif.
Le collectif, composé de diverses associations et syndicats (la CGT, la Ligue des Droits de l’Homme, La France insoumise, La Libre Pensée, le MRAP, Greenpeace, AGUI, le collectif Louise-Michel, le Parti communiste, le Parti ouvrier indépendant, Génération.s, Solidaires et la FSU), entend poursuivre son action et diffuser un message de paix : « Ça peut paraître être une goutte d’eau dans l’océan, mais pour citer Pierre Rabhi, c’est le colibri qui fait son travail. », affirme Sylvie Garet, membre du collectif.
Pour rappel, 15 mois après le début du conflit, l’Unicef dresse un bilan provisoire de 47 161 morts, dont plus de 14 500 enfants et 111 166 blessés.
Extrait du journal de bord de Rami Abou Jamous pour Orient XXI.
Au quatrième jour du cessez-le-feu, les Gazaouis ont toujours un grand sentiment de soulagement. Mais beaucoup d’entre eux semblent comme anesthésiés. Surtout ceux qui pouvaient se déplacer, et qui ont trouvé leur maison totalement détruite. Pendant la guerre, les habitants de Rafah avaient bien entendu parler de « destructions massives », mais ils ne s’attendaient pas du tout à ce qu’ils ont trouvé. C’est comme la ville du Havre en France, après la Deuxième guerre mondiale : plus rien ne reste, même pas les routes. Les municipalités ont commencé à dégager les décombres pour les faire réapparaître. Mais vu d’en haut, pour l’instant, on ne voit que des carrés noirs et blancs, des blocs de décombres, même pas des carcasses de bâtiments. La quasi-totalité des habitations a été aplatie.
Une vidéo montre les traces d’une « fouille à nu » des Palestiniens par Israël à Jabalia
Un journaliste a documenté un site à Jabalia, dans le nord de la bande de Gaza, où entre 150 et 200 Palestiniens auraient été forcés de se déshabiller jusqu’à leurs sous-vêtements avant d’être arrêtés par les forces israéliennes.
L’opération GAZA des VISAGES est une campagne internationale pour re-humaniser les Palestiniens lorsque les médias mainstream n’en font que des nombres.
Un groupe international d’artistes et de citoyens bénévoles réalise des portraits avec photos, noms et contexte avec les Palestiniens martyrisés et les plus de 2 millions d’otages enfermés dans un blocus inhumain par Israël. Ces portraits sont disponibles ici en une série de films courts et en images fixes pour être diffusés sur les réseaux et imprimés au format A3 en vue de veillées de sensibilisation, partout où ce sera possible avec le mot d’ordre (si possible écrit à la lueur des bougies) :
CESSEZ LE FEU IMMÉDIAT À GAZA ET EN PALESTINE!
Chacun-e pourra adapter les slogans en fonction de l’évolution de la situation sur le terrain.
Chacun peut participer en nous envoyant des photos avec des noms et des histoires comme sur cette image.
Des photos des noms et des histoires des martyrs mais avant d’être défigurés par la mort.
des photos des noms et des histoires des vivants avec un message écrit court qu’ils veulent adresser au monde.
Comme dit le proverbe arabe : “Une seule main ne peut pas applaudir…”
L’arrivée de Donald Trump à la tête des États-Unis entraîne un revirement brutal de la politique de modération des grandes plateformes. Ce changement, conforme au droit états-unien, se heurte aux exigences de l’Union européenne en matière de sécurité et de lutte contre la désinformation. Une confrontation juridique et géopolitique se profile entre ces deux approches.
Les contenus haineux et négatifs sont rentables pour les médias sociaux publicitaires
Depuis 15 longs mois, la population de Gaza subit une guerre génocidaire brutale.
Nous avons perdu des êtres chers, des maisons et tout sentiment de normalité.
Mais alors que les discussions sur un éventuel cessez-le-feu se multiplient, l’espoir s’affole qu’il puisse entrer en vigueur avant l’investiture du président élu américain Donald Trump la semaine prochaine.
La trêve à Gaza entre en vigueur demain matin ; Guterres conclut une visite « positive » et « productive » au Liban
Tôt ce matin, le gouvernement israélien a ratifié l’accord de cessez-le-feu à Gaza et de libération des otages, a annoncé le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu. Cette décision est tombée après une réunion du cabinet qui a duré plus de six heures et s’est terminée dans la nuit.
Mercredi 15 janvier 2025, les négociateurs israéliens et palestiniens sont parvenus à un accord de cessez-le-feu… temporaire. Le compromis, en attente d’approbation par le gouvernement israélien, serait agrémenté de « cadeaux » mirifiques octroyés par la future administration américaine à Israël. Champion de la diplomatie « non conventionnelle », le nouveau président étatsunien Donald Trump s’entoure d’une équipe plus que jamais acquise aux vues de l’extrême droite israélienne. Et les Palestiniens, dans tout ça ? Quels Palestiniens ?
Guerre à Gaza: le ministère de la Santé du Hamas annonce 23 morts en 24 heures
Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas à Gaza a annoncé samedi qu’au moins 23 personnes avaient été tuées dans le territoire palestinien au cours des dernières 24 heures, à la veille de l’entrée en vigueur d’un accord de trêve après plus de 15 mois de guerre. Cela porte à plus de 46 899 morts le bilan des hostilités avec Israël, indique un communiqué du ministère. Selon le texte, 110 725 personnes ont été blessées dans la bande de Gaza depuis l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien en Israël ayant déclenché la guerre le 7 octobre 2023.
« On ne travaille pas avec des photocopieuses mais avec des enfants handicapés », les personnels d’accompagnement en souffrance
Les syndicats FSU, CGT édu’action et Sud éducation, du Lot, appellent à la grève, le 16 janvier, les accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) et les assistants d’éducation (AED), ainsi qu’à une mobilisation à Toulouse. Deux AESH du Lot témoignent sur leurs conditions de travail.
Près d’un étudiant sur deux déclare limiter ses achats alimentaires ou y renoncer, pointe une étude de l’Ifop et de l’association COP1. En cascade, ces jeunes développent des carences et des troubles anxieux.
Le président élu américain a tenu une conférence de presse décousue depuis sa résidence en Floride multipliant les déclarations provocatrices aux accents expansionnistes.
Au lendemain de la certification de sa victoire à la présidentielle par le Congrès américain, Donald Trump a donné mardi une conférence de presse décousue et provocatrice, lors de laquelle il a répété ses ambitions d’annexer le canal de Panama et le Groenland, par la force si besoin.
Le collectif pas d’enfant à la rue demande l’ouverture d’hébergements d’urgence dans l’Eurométropole de Strasbourg
La trêve de Noël n’a pas réglé le problème des enfants qui dorment dehors en Alsace. Ils sont plusieurs dizaines dans l’Eurométropole de Strasbourg selon le collectif « pas d’enfants à la rue ». Il demande la mise en place d’hébergements d’urgence.
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Près de 34 000 faits de violences imputés à l’extrême-droite ont déjà été enregistrés par les forces de l’ordre allemandes l’année dernière, sans compter le mois de décembre, selon le média RedaktionsNetzwerk Deutschland.
Insultes, menaces, crimes… Les violences d’extrême-droite ont atteint «un nouveau record l’année dernière» en Allemagne, comme l’indique ce lundi 6 janvier le média RedaktionsNetzwerk Deutschland (RND). Selon la police allemande, au niveau national, 33 963 délits ont ainsi été enregistrés dans le domaine des «délits à motivation politique – de droite». Le décompte, réalisé du début de l’année au 30 novembre 2024, ne prend pas en compte le mois de décembre.
L’extrême-droite autrichienne aux portes du pouvoir
Sorti premier des législatives, agressivement pro-russe et anti-immigration, le FPÖ, avec qui personne jusqu’alors ne voulait gouverner, se retrouve soudain dans la position de conquérir la chancellerie.
Israël a menacé mercredi d’intensifier encore ses frappes sur Gaza, où 25 personnes ont été tuées depuis le passage à l’année 2025, selon les secours du territoire palestinien, qui s’inquiètent de la situation humanitaire déjà critique après plus d’un an de guerre.
Netanyahu demande un nouveau report des audiences de son procès pour corruption
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a demandé un nouveau report, cette fois de deux semaines, des audiences programmées dans le cadre de son procès pour corruption, en invoquant sa récente hospitalisation suite à une opération de la prostate, ont rapporté vendredi plusieurs médias israéliens, dont Haaretz.
« Quand on se noie, on s’accroche à une brindille. »
L’humeur générale, ces temps-ci, est à l’optimisme. Les gens veulent croire qu’un cessez-le-feu est proche. Et je les comprends. Ils ont tellement envie que la guerre s’arrête. Ils s’appuient sur les déclarations de Trump, qui a dit que ce serait l’enfer si la guerre ne s’arrêtait pas. On les voit comme un message adressé aux Palestiniens, et spécialement au Hamas, mais aussi à Nétanyahou. Les commerçants, eux aussi, semblent anticiper un arrêt de l’agression israélienne : ils commencent à baisser les prix, car ils veulent écouler leurs stocks pour faire place aux marchandises qui devraient entrer en quantité après le cessez-le-feu. Même le prix des cigarettes, importées en contrebande, a baissé. Le prix des cigarettes est devenu la boussole des marchés de Gaza.
L’optimisme est alimenté par les fuites dans les médias, qui parlent d’un rapprochement des positions israéliennes et de celles du Hamas, de concessions de part et d’autre. Je suis heureux de sentir que pour la première fois depuis quatorze mois les gens sont dans un état d’esprit positif, quelle que soit la difficulté des négociations. Comme on dit chez nous, quand on se noie, on s’accroche à une brindille.
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En 2017, Emmanuel Macron annonçait vouloir trouver une solution pour les sans-toit avant 2022. Vœu pieu. La gare du Nord abrite des victimes de la grande pauvreté. En huit épisodes, «Libération» raconte des vies brisées, parfois réparées.
« À l’Est, quel nouveau ? », titre en Une ce matin Libération. « Le Moyen-Orient en chantier, la Turquie enchantée », résume le journal français qui explique à quel point Ankara « a gagné le gros lot »avec la chute de Bachar el-Assad en Syrie. Cette chute est « l’une des répliques de ce tremblement de terre qu’ont été les attaques terroristes du Hamas en Israël, le 7 octobre 2023 ».
L’effondrement du régime pourrait aussi faire vaciller « le pouvoir des mollahs » en Iran, explique Libération. Et cela arrangerait bien sûr Benyamin Netanyahu, le Premier ministre israélien. Le quotidien israélien Haaretz estime d’ailleurs qu’Israël pourrait prendre les devants et pourrait « lance[r] d’ici février ou mars une attaque préventive contre les installations nucléaires iraniennes ». Selon l’éditorial, le pays vise plus ou moins l’Iran en répliquant aux frappes des rebelles Houthi du Yémen.
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« On a toujours vu personne » : à Mayotte, les habitants des bidonvilles attendent toujours de l’eau et de la nourriture
Les bidonvilles, qui représentent près d’un tiers des habitations de Mayotte et abritent une grande partie de personnes en situation irrégulière, ont été les endroits les plus dévastés par Chido. Cinq jours après le passage du cyclone, les habitants attendent toujours les premières distributions de nourriture qui tardent à se mettre en place. Ils sont livrés à eux-mêmes et leurs stocks de vivres s’amenuisent.
Mayotte : « Dans les ‘bangas’, les gens ont peur mais ils ne vont pas rester cachés, ils vont mourir de faim sinon »
Six jours après le passage du cyclone Chido, Desire (prénom d’emprunt), une mère de famille burundaise de 42 ans sans-papiers, raconte que la soif et la faim l’ont poussée à sortir de son appartement du quartier de Cavani, à Mamouzou, dévasté, pour aller chercher de l’eau. La peur d’être arrêtée et expulsée, l’avait conduite, les premiers jours, à rester cachée. Témoignage.
« C’est pas moi, le cyclone ! » : à Mayotte, Emmanuel Macron confronté à la colère des Mahorais
« Vous êtes contents d’être en France » : les oppositions s’indignent de propos d’Emmanuel Macron à Mayotte, après le cyclone Chido
Le chef de l’Etat, visé par des appels à la démission, s’est lancé, jeudi, dans un appel à l’unité en affirmant que les sinistrés seraient « 10 000 fois plus dans la merde » si Mayotte n’était pas un département français.
«Si c’était pas la France, vous seriez 10 000 fois plus dans la merde !» : les propos de Macron à Mayotte ne passent pas
Les déclarations présidentielles à Mayotte, jeudi 19 décembre, face à la colère des habitants démunis après le passage du cyclone Chido, ont été vivement dénoncées de toutes parts.
François Bayrou avait déjà été sous le feu des critiques, lundi 16 décembre, pour s’être rendu à Pau afin d’assister au conseil municipal de la ville dont il est maire plutôt que de rester à Paris pour assister physiquement à la réunion interministérielle de crise consacrée à Mayotte. C’est maintenant à Emmanuel Macron de susciter la polémique pour son attitude vis-à-vis du département français. Le chef de l’Etat y est en visite depuis jeudi et jusqu’à ce vendredi, une petite semaine après le passage de Chido. Sur place, Emmanuel Macron a fait face à la défiance des habitants en colère. Pris à partie et hué jeudi soir par une foule de personnes criant «Macron démission !» au terme de sa première journée dans l’archipel français dévasté, le président de la République s’est emporté.
Mayotte : un deuxième cyclone appelé Macron
Le passage du cyclone Chido a laissé Mayotte en ruines, ravageant les maisons, les familles, et les espoirs d’une population déjà éprouvée par les crises incessantes. Dans ces moments où tout semble s’effondrer, on aurait pu espérer que le président de la République vienne avec des paroles de réconfort, d’amour et de compassion. Mais à la place, c’est un tout autre spectacle qui s’est joué. Une scène digne du temps des colonies. Par Haidari Nassurdine et Soilihi Chahidati.
À Mayotte, le mépris colonial ordinaire d’Emmanuel Macron
Pour Rokhaya Diallo, c’est parce que son histoire s’inscrit dans celle de la domination coloniale qu’Emmanuel Macron croit que les Mahorais.es devraient se satisfaire de leur situation et exprimer une gratitude éternelle envers la France.
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Plusieurs militaires se sont mis en scène dans les villages détruits et les domiciles de Libanais ayant fui les combats. Franceinfo a vérifié et localisé ces images, qui gênent jusqu’au sommet de l’armée israélienne.
« Il fallait bien les aider – Quand les justes sauvaient des juifs en France »
« Il fallait bien les aider – Quand les justes sauvaient des juifs en France » Conférence débat avec l’auteur : FRANCOIS-GUILLAUME LORRAIN
Ecrivain et rédacteur en chef Histoire du journal LE POINT, François-Guillaume Lorrain publie un ouvrage sur les Justes. Finaliste du prix Renaudot, l’Agence Aube en Champagne Attractivité et la Maison Rachi ont invité l’auteur à présenter son ouvrage et débattre avec le public le dimanche 15 décembre prochain à 15h à La Maison Rachi à Troyes.
Les Justes sont entrés collectivement en 2007 au Panthéon, mais ce n’est pas une raison pour refermer sur eux et leurs tombeaux les lourdes portes de l’oubli. Qui sont-ils, pour quelles raisons ont-ils sauvé des Juifs en France, dans quelles circonstances, par quels moyens, pour venir en aide à ces dizaines de milliers de Juifs persécutés par le régime de Pétain et les Allemands? Ils ont été un peu plus de 4300 à avoir été reconnus, documents écrits à l’appui, par l’Institut Yad Vashem à Jérusalem, ils continuent à l’être, lors de cérémonies officielles, une vingtaine, organisées chaque année en France. C’est une histoire qui s’écrit encore, au jour le jour, ponctuées de gestes bouleversants, de rencontres poignantes. Impossible d’embrasser ces 4300 histoires singulières, mais grâce au Comité Français pour Yad Vashem, nous en avons raconté une quinzaine, en allant voir les derniers Justes vivants, leurs descendants, nés parfois du mariage entre le sauveur et la sauvée (ou réciproquement), tels les parents de Jean-Pierre Foucault, en retournant aussi sur les lieux de sauvetage. C’est un voyage en France pour ne pas désespérer des Français ni de l’humanité, capable du pire comme du meilleur, leçon que nous réserve toujours l’Histoire.
Un héros, aujourd’hui, a encore une force d’intimidation. Les Justes ne se sont pas vus comme des héros, ils n’ont jamais demandé cette récompense, certains l’ont parfois refusée, estimant que cette bonté spontanée, sans idéologie, mais non sans conviction, n’était qu’un geste ordinaire, normal, obligé, qui répondait par l’inclusion, le lien, l’aide, à la politique d’exclusion.
L’Histoire, qui n’est jamais écrite par avance, est parfois la réponse des faibles aux forts, des grains de sable qui opposent leur liberté individuelle à une machine collective, qui enrayent une machine administrative d’oppression et de mort. Blanchisseuse, étudiante, ancien combattant, notable, professeur, bergers, diplomate, fermière, patron de petite entreprise…. ils ont été ces grains de sable qui ont contrecarré le plan. Ils ont formé une chaîne d’entraide, – tous les maillons n’ont pas été reconnus – à laquelle répond aujourd’hui en écho une chaîne de mémoire, les bénévoles qui rassemblent les documents afin de constituer les dossiers pour Yad Vashem. Ce sont tous ces maillons que nous avons essayés, par de multiples rencontres, de reconstituer, ces petits riens, ces hasards de salut, ces regards, ces paroles, qui ont décidé souvent de plusieurs vies.
Ces Justes ont été aussi reconnus dans l’Aube. C’est pourquoi nous vous invitons à rencontrer l’auteur et son ouvrage le dimanche 15 décembre à 15h à la Maison Rachi. Entrée gratuite. Réservation obligatoire