48 lycéens en garde à vue : des parents et enseignants dénoncent les conditions d’interpellation des élèves



Les syndicats CGT, FSU, Solidaires et plusieurs organisations de jeunesse, dont l’Unef, avaient dénoncé vendredi «une répression sans commune mesure» contre ces lycéens, dans «un contexte de plus en plus autoritaire».

Des témoignages de lycéens violentés et humiliés. Une cinquantaine d’élèves, parents et enseignants se sont rassemblés ce lundi 10 juin au matin devant le lycée Hélène-Boucher à Paris pour dénoncer les conditions d’évacuation par la police et de garde à vue d’une cinquantaine de lycéens la semaine dernière après leur occupation de l’établissement.

Chine : Répression des commémorations du massacre de Tiananmen



35 ans après le massacre, des personnes tentant de le commémorer ont été emprisonnées et les familles des victimes sont toujours privées de réparations.

Le gouvernement chinois continue de réprimer toute discussion et commémoration du massacre de Tiananmen de 1989, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. À l’approche du 35ème anniversaire de ce massacre, le 4 juin 2024, les autorités chinoises ont de nouveau empêché toute tentative de commémoration.

RÉPRESSION EN RUSSIE : LES ENFANTS SONT LA NOUVELLE CIBLE DES AUTORITÉS



Les enfants de parents qui s’opposent à la guerre en Ukraine encourent le risque d’être placés en orphelinat. Voici l’une des méthodes de représailles des autorités russes pour écraser la dissidence. Une forme de répression peu documentée que nous mettons en lumière dans notre nouvelle recherche.

« Vos enfants iront en orphelinat  » c’est le titre de notre recherche qui expose comment les autorités russes instrumentalisent les enfants et leurs familles pour les dissuader de s’opposer à la guerre en Ukraine. Parmi les méthodes employées : endoctrinement via la propagande de guerre, séparation des familles, menaces de retraits des droits parentaux. En Russie, la menace est l’une des armes de répression du Kremlin.

Tunisie : Les autorités intensifient leur répression contre les médias et la liberté d’expression



Les personnes détenues devraient être remises en liberté et les poursuites pour délits d’expression abandonnées.

Les autorités tunisiennes ont intensifié leur répression contre les médias et la liberté d’expression ces dernières semaines, en condamnant deux journalistes et un fondateur de média à des peines de prison, en procédant à l’arrestation d’une autre figure médiatique et en intimidant des médias privés, ont déclaré aujourd’hui Amnesty International et Human Rights Watch. Les autorités devraient immédiatement remettre en liberté les personnes détenues et abandonner toute poursuite pour l’expression d’opinions, droit protégé par le droit international des droits humains.

Bélarus : Répression contre des avocats défenseurs des droits humains



Des avocats sont harcelés ou poursuivis par les autorités de l’État, qui exerce un contrôle total sur la profession juridique.

  • Les avocats qui représentent des clients dans des affaires à caractère politique ou qui dénoncent des violations de leurs droits sont confrontés à une répression systématique et généralisée au Bélarus.
  • Les autorités biélorusses ont pris le contrôle de la profession juridique, érodant ainsi son indépendance ; les barreaux sont devenus un outil de cette politique répressive du gouvernement.
  • Le Bélarus devrait mettre un terme à toute action politiquement motivée contre les avocats, et créer un climat de travail normal leur permettant d’exercer leurs fonctions professionnelles.

Les autorités biélorusses exercent une répression systématique et généralisée ciblant des avocats qui représentent des clients dans des affaires à caractère politique ou qui mettent en lumière des violations des droits humains, ont conjointement déclaré Human Rights Watch, l’Association biélorusse des avocats défenseurs des droits humains (BAHRL) et l’ONG Right to Defence Project dans un rapport publié aujourd’hui.

Dur, dur d’être lanceu(se)r d’alerte…


Australie: Un lanceur d’alerte condamné pour avoir révélé des crimes de guerre commis en Afghanistan


En Australie, un lanceur d’alerte a écopé de cinq ans et huit mois de prison, dont 27 mois ferme, pour avoir volé des documents militaires secrets. Ces documents jettent une lumière crue sur les crimes commis par certains des 26 000 soldats australiens qui ont combattu les talibans jusqu’en 2013 en Afghanistan aux côtés des Américains.

La condamnation de David McBride divise les Australiens. D’un côté, aux yeux des juges, David McBride a mis en danger la sécurité nationale et sapé la confiance des alliés. En revanche, pour ses partisans, cet ex-avocat militaire est un courageux lanceur d’alerte qui a permis de révéler des crimes de guerre longtemps étouffés par les généraux.





Affaire Goodyear. « Je passe le relais à la justice » : le combat de Sophie Rollet, cette veuve qui a fait vaciller le géant américain du pneu


Jeudi 16 mai, le parquet de Besançon officialisait la tenue d’une enquête contre le constructeur américain de pneus Goodyear, après plusieurs accidents mortels de poids lourds causés par des pneumatiques défectueux. À l’origine de ces investigations, l’abnégation d’une femme, Sophie Rollet. Après avoir perdu son mari, la Doubiste s’est transformée pendant 10 ans en lanceuse d’alerte. Entretien.

Nouvelle-Calédonie : les questions pour comprendre la crise



La situation dans l’archipel du Pacifique, tendue depuis des mois, a explosé depuis lundi 13 mai, faisant cinq morts et des dizaines de blessés. L’état d’urgence décrété par le gouvernement est désormais entré en vigueur. Alors que réapparaît le spectre d’une quasi-guerre civile, six questions pour comprendre les raisons complexes de ce nouvel embrasement.

En proie à des tensions depuis plusieurs mois, la Nouvelle-Calédonie est secouée depuis lundi 13 mai par des émeutes. Elles ont éclaté alors que l’Assemblée nationale allait se prononcer sur une révision constitutionnelle prévoyant une réforme du corps électoral vivement contestée par les indépendantistes de l’île.



Kanaky : milices coloniales, répression militaire


Contre Attaque



Ces vidéos montrent des colons tirer à balles réelles vers des habitants désarmés, des personnes touchées par des tirs, des milices blanches équipées de casques et de boucliers, des pick-ups qui patrouillent la nuit dans la ville et éclairent les rues à la recherche de Kanaks. Et l’envoi, pour épauler ces milices, de blindés, de centaines de policiers et de gendarmes par avion, et même d’escadrons de militaires qui viennent d’arriver sur place.


Menaces sur la liberté d’expression

Contre Attaque


Guillaume Meurice convoqué : fin de la liberté d’expression sur le service public ?


La liberté d’expression est-elle en danger sur le service public ? L’humoriste de France Inter Guillaume Meurice a été mis à pied par la direction de Radio France, dans l’attente d’une éventuelle sanction pouvant aller jusqu’au licenciement. Radio France reproche à l’humoriste d’avoir réitéré, dimanche 28 avril dernier, une blague déjà faite à l’antenne en fin octobre sur Benjamin Netanyahu. Il comparait le dirigeant israélien à une « sorte de nazi mais sans prépuce ».

En dépit d’une décision de justice favorable, l’humoriste est donc en passe d’être écarté et censuré par sa direction, même s’il a reçu le soutien de la rédaction de France Inter et de responsables politiques de gauche. Cette affaire apparait comme le symbole d’une période trouble où le soutien aux Palestiniens massacrés à Gaza par l’armée Israélienne, est de plus en plus réprimé.


Rachida Dati réagit à la suspension de Guillaume Meurice de France Inter


Interpellée mardi 7 mai à l’Assemblée sur la suspension de Guillaume Meurice de France Inter, la ministre de la Culture Rachida Dati a rappelé son attachement à la liberté de la presse mais a estimé que « Radio France ne pouvait pas ne pas réagir ».



Appel à la grève le 12 mai à Radio France, contre la suspension de Guillaume Meurice et les changements de grille, sur fond de crainte d’une mise au pas


Un préavis de grève intersyndical a été déposé pour le dimanche 12 mai par les syndicats de Radio France, reflet de la crise dans le groupe après la mise à pied de l’humoriste Guillaume Meurice et des aménagements de grille perçus comme politiques.

Pour protester contre la mise à pied de Guillaume Meurice, mais aussi contre un remaniement des grilles perçu comme «une casse sociale» et une menace sur des émissions emblématiques, le tout sur fond de projet de réforme de l’audiovisuel public, les six grands syndicats de Radio France (CGT, CFDT, FO SNJ, SUD, Unsa) ont appelé à une grève dimanche de minuit à minuit.



La justice ne suit pas nécessairement le mouvement général

Le Conseil d’Etat rejette la demande d’interdiction d’une conférence de Rima Hassan sur Gaza à Paris-Dauphine

La plus haute juridiction a confirmé lundi la décision du tribunal administratif de Paris, estimant que le risque de troubles à l’ordre public, tel qu’il était craint par la direction de l’université, n’était pas circonstancié.

Le Conseil d’Etat a finalement autorisé, lundi 6 mai, la tenue d’une conférence avec la militante franco-palestinienne Rima Hassan à l’université Paris-Dauphine, que la direction de l’établissement voulait voir annulée. Cette décision de la plus haute juridiction administrative confirme celle du tribunal administratif de Paris – dont l’ordonnance avait été rendue publique samedi – qui avait été saisi par deux syndicats de l’enseignement supérieur (Sud-Education et la Ferc-CGT)


Les universitaires non plus


1000 ancien·nes étudiant·es de Sciences Po pour la Palestine : « nous soutenons leur lutte »

Que nous soyons avocat·es, chercheur·ses, consultant·es, ou député·es, nous ressentons une impérieuse urgence à répondre à l’appel des étudiant·es mobilisé·es de Sciences Po et refusons de fermer les yeux sur les massacres en cours à Gaza. Nous demandons à l’administration de défendre ses étudiant·es face à l’agitation politico-médiatique insensée. Nous regrettons la nécessité de rappeler que défendre le droit international n’est pas un acte radical, mais la conclusion de notre éducation à Sciences Po.


Non à la répression policière à Sciences Po Lyon

Universitaires de Sciences Po Lyon, nous exprimons notre profonde indignation face à l’évacuation de l’amphithéâtre Pacaut par la police. Les images de nos étudiant·es aligné·es contre un mur et contrôlé·es par les forces de l’ordre sont choquantes. Nous ne saurions rester silencieux·ses devant la répression policière d’un mouvement étudiant et tenons à maintenir vivante une idée de l’Université comme sanctuaire dédié à la diffusion du savoir et à l’exercice de la discussion collective.



Gaza : notre silence n’est plus possible !

Nous, personnel de la communauté universitaire de Toulouse Jean Jaurès (UT2J) ne supportons plus la chape de plomb qui s’est abattue sur les universités, et notamment au Mirail : depuis les massacres du 7 octobre, l’offensive israélienne a fait près de 40.000 morts à Gaza dont 14.000 enfants, presque 100.000 blessé·es et deux millions de Gazaoui·es déplacé·es et chassé·es de leur domicile ; soit le plus grand nombre de déplacements forcés de Palestinien·nes depuis 1948. Nous avons la responsabilité de réagir.

« Les autorités françaises ont imposé des restrictions excessives et illégitimes du droit de manifester », accuse Amnesty International


L’ONG pointe notamment du doigt les arrestations, interdictions de manifester, et l’emploi de la force pendant la mobilisation contre les retraites, le projet de mégabassines à Sainte-Soline ou encore la guerre à Gaza.

Amnesty International dénonce de manière plus générale un « racisme institutionnel et systémique » qui peut transparaître à travers « les contrôles d’identité discriminatoires à l’égard des hommes et des jeunes gens noirs ou arabes ».



Rapport annuel 2023/2024 : un bilan sombre qui doit nous alerter 


Nous publions ce 24 avril notre rapport annuel. Un an d’enquêtes, 155 pays analysés par plus de 80 chercheurs et chercheuses indépendants et impartiaux. Cette année encore, nous dressons un bilan implacable des violations des droits humains partout dans le monde. Et nous alertons sur la défaillance des mécanismes internationaux.

« Le rapport annuel d’Amnesty International dresse un tableau affligeant caractérisé par une répression alarmante des droits humains et de multiples violations des règles internationales, sur fond d’accroissement des inégalités mondiales, de rivalités entre superpuissances pour la suprématie et d’aggravation de la crise climatique. »

Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International

Iran : Les forces de sécurité ont violé et torturé des personnes détenues


Des détenus kurdes, baloutches, azéris et membres d’autres communautés ethniques ont apparemment été ciblés.

Les forces de sécurité iraniennes ont violé, torturé et agressé sexuellement des détenu-e-s lors de leur répression de manifestations à grande échelle en 2022 et 2023, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Ces graves abus s’inscrivent dans un schéma plus large de violations graves des droits humains, menées afin de réprimer la dissidence.



Iran : des « patrouilles de moralité » à nouveau déployées pour arrêter les femmes non voilées



Un an et demi après le début des manifestations « Femme, vie, liberté », des patrouilles de moralité ont à nouveau arrêté les femmes qui enfreignent les règles strictes de la République islamique d’Iran en matière de hijab. Des policiers en uniforme, des policières en tchador, et les célèbres fourgonnettes blanches utilisées pour transporter les femmes arrêtées vers les postes de police, ont été vues à Téhéran et dans le reste du pays. Une étudiante arrêtée ces derniers jours témoigne.



« L’Iran vit des transformations profondes que le régime est incapable d’enrayer » : une réalisatrice donne la parole à la jeunesse iranienne


Dans « Nous, jeunesse(s) d’Iran », diffusé dimanche sur France 5, Solène Chalvon-Fioriti met en scène des témoignages rares, recueillis à distance grâce à trois Iraniennes et anonymisés à l’aide de l’intelligence artificielle.

Un an après son film Afghanes, la réalisatrice Solène Chalvon-Fioriti s’est plongé dans une autre pays très fermé. Dans le documentaire Nous, jeunesse(s) d’Irandiffusé dimanche 21 avril sur France 5, elle dresse le portrait d’une nouvelle génération iranienne aux multiples facettes, connectée, politisée, féministe ou conservatrice, mais toujours avide de liberté.

Marche du 21 avril : le gouvernement poursuit sa dérive liberticide


Alors qu’elle était prévue depuis des mois, la marche contre le racisme du dimanche 21 avril vient d’être interdite par la préfecture de Paris. Le collectif Tsedek! dénonce cette nouvelle attaque contre la liberté d’expression et appelle à la solidarité avec les organisatrices de la marche.

Les déclarations de Gabriel Attal continuent de soulever des critiques



Les annonces de Gabriel Attal jugées inutiles voire « catastrophiques » par des avocats et des magistrats


Le plan d’action présenté jeudi par Premier ministre pour lutter contre les violences impliquant des mineurs est « parfaitement populiste », affirme une avocate en Seine-Saint-Denis.


Annonces de Gabriel Attal sur la violence des mineurs : beaucoup de « sanctions », peu d' »accompagnement »


Après le discours de Gabriel Attal évoquant des propositions pour lutter contre la violence des mineurs, le premier syndicat des chefs d’établissements regrette « beaucoup d’annonces autour de sanctions » mais peu « autour de l’accompagnement et de la prévention ».



Pour lutter contre la violence scolaire, la rhétorique autoritaire de Gabriel Attal


A nouveau, la rhétorique des discours tente de suppléer l’absence d’action et de moyens. A Viry-Châtillon, en annonçant son plan contre la violence scolaire, Gabriel Attal fait le choix de la répression pour masquer une incapacité profonde à améliorer la situation.

France


Mineurs non accompagnés, les grands oubliés de la frontière franco-britannique


Une enquête a tenté de recenser le nombre de jeunes isolés étrangers, en cours de procédure pour faire reconnaître leur statut de mineur non-accompagné (MNA). Mené par la Coordination Nationale Jeunes Exilés en Danger, ce travail pointe une véritable zone d’ombre pour tous ces jeunes installés à la frontière franco-britannique.



Urgences saturées à Strasbourg : le syndicat FO a déposé plainte contre X pour « non-assistance à personne en danger »

 


Le syndicat dénonce « un refus de prise de responsabilité » alors que deux décès se sont produits en 2022.



« Dès la maternelle, les élèves de milieux défavorisés prennent moins la parole »

 


En classe de maternelle, les enfants de milieux favorisés prennent plus la parole que les autres et ils sont jugés plus « intelligents » par les autres élèves. Dans un entretien, Sébastien Goudeau, enseignant-chercheur en psychologie sociale, revient sur deux expériences qui permettent de mieux comprendre comment se forgent, très tôt, les inégalités.



« La répression contre le cannabis est un échec complet depuis au moins un demi-siècle »

 


Le cannabis récréatif est partiellement légal en Allemagne depuis le 1er avril. Le médecin et paysan Charles Hambourg plaide pour la fin de la politique répressive en France et pour reconnaître le potentiel thérapeutique de la substance.



Le gouvernement veut que les locataires les plus riches quittent leur HLM ; les associations rappellent que « le logement à vie » n’a « pas de réalité juridique »

 

Le ministre délégué au logement, Guillaume Kasbarian, chiffre à plus de 8 % le nombre des locataires de logement social qui ne seraient plus éligibles – en raison de leurs revenus – s’ils en demandaient un aujourd’hui.



SNU : la faute de l’Education nationale


Dans quelques semaines, la participation forcée des élèves de Seconde rend de facto le SNU obligatoire. Avec la mise au pas de la jeunesse autour d’une mystique identitaire par une contrainte de type militaire, c’est aussi le service public d’éducation, maître d’œuvre et maître d’ouvrage du dispositif, qui change de nature.


L’Assemblée vote une résolution condamnant le massacre d’Algériens à Paris le 17 octobre 1961


L’Assemblée nationale a approuvé jeudi une proposition de résolution qui « condamne la répression sanglante et meurtrière des Algériens commise sous l’autorité du préfet de police Maurice Papon le 17 octobre 1961 », au cours de laquelle entre une trentaine et plus de 200 manifestants pacifiques sont morts, selon les historiens.

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17 octobre 1961 : l’Assemblée ne reconnaît toujours pas le crime d’Etat

A ne pas manquer la semaine prochaine




Mardi 26 mars


Réunion d’information sur la rédaction des directives anticipées par l’association « Ultime Liberté » qui milite pour la légalisation du suicide assisté et de l’euthanasie volontaire et qui agit en référence à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. 

14h00  Maison des associations salle 100 à Troyes – Entrée libre



Mercredi 27 mars



Lectures par le Théâtre Populaire de Champagne dans le cadre de l’exposition « La répression nazie dans l’Aube »  qui se tient du 18 au 30 mars au Centre culturel de La Chapelle-Saint-Luc.


Iran: arrestations après la diffusion en vidéo d’une altercation entre une femme non voilée et un religieux


Quatre personnes ont été arrêtées en Iran pour avoir diffusé une vidéo, devenue virale, d’une vive altercation entre un religieux chiite et une femme ne portant pas le voile obligatoire, ont annoncé, mardi 12 mars, des médias locaux.

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Homophobie : « Ne pas se contenter d’une reconnaissance symbolique des persécutions d’État »


Discutée ce mercredi à l’Assemblée, une loi pourrait reconnaître la responsabilité de la France dans les peines homophobes prononcées entre 1942 et 1982. Chercheurs et militants appellent à des réparations matérielles pour les victimes, et à poursuivre le chantier mémoriel sur l’ensemble des répressions subies par les personnes LGBT+.

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Du monde entier


Iran: la peine de mort, «véritable outil de répression politique»


Ouïghours : vers une interdiction dans l’UE des produits issus du travail forcé


Spirale de violence au Burkina Faso : la FIDH demande la fin de l’impunité


Au Vietnam, trois importants opposants politiques ont été arrêtés, selon Human Rights Watch


Cambodge : Un projet de compensation carbone viole les droits d’une communauté autochtone


L’année 2023 a été la plus meurtrière de la décennie pour les migrants (ONU)

A69. L’ONU demande « des mesures et des sanctions », la Cour européenne saisie de l’affaire


Le projet controversé de l’A69 entre Castres et Toulouse prend depuis quelques jours une dimension internationale. Après la déclaration alarmante du rapporteur spécial de l’ONU, Michel Forst, sur les méthodes utilisées par les forces de l’ordre pour déloger les manifestants écologistes à Saïx, les opposants ont décidé de saisir la Cour européenne des droits de l’homme.

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Privés d’eau, harcelés : la difficile résistance des «écureuils» contre l’A69

Russie: des milliers de personnes rendent hommage à Alexeï Navalny lors d’obsèques, des dizaines arrêtées


Plusieurs milliers de partisans d’Alexeï Navalny se sont rassemblés vendredi 1er mars pour rendre un dernier hommage à l’opposant russe devant une église de Moscou avant ses obsèques, malgré le risque d’arrestation. Venus en nombre avec des fleurs, les soutiens de l’opposant présents ont scandé « non à la guerre ! », « nous ne t’oublierons pas ! » ou encore « nous ne pardonnerons pas ». Selon une ONG, au moins 45 personnes en été arrêtées partout dans le pays.

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Alexeï Navalny enterré dans un cimetière à Moscou, la foule scande « Non à la guerre ! »


Action d’interpellation pour demander la libération d’Oleg Orlov

Oleg Orlov, coprésident du Centre de défense des droits humains Memorial, une organisation membre de la FIDH, a été condamné à deux ans et six mois d’emprisonnement dans une colonie pénitentiaire pour avoir « discrédité de manière répétée » l’armée russe. Nous vous invitons à solliciter par courrier les autorités russes.

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Les séparatistes de Transnistrie demandent la protection de la Russie


Pourquoi la Russie n’est pas devenue une démocratie ?